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La mauvaise humeur augmente les risques d’AVC

Selon des chercheurs de l’Université du Minnesota, les gens stressés, agressifs ou déprimés courent autant de risques que les personnes qui fument, souffrent d’un taux élevé de cholestérol ou de tension artérielle de développer des accidents vasculaires cérébraux et des accidents ischémiques transitoires (AIT) (ou blocage temporaire du flux sanguin vers le cerveau) indique Santé Log.

Selon Susan Everson-Rose, professeure agrégée de médecine à l’Université du Minnesota et auteure principale, la population devrait – pour diminuer les risques – apprendre à s’adapter positivement à certaines situations, notamment le stress lié aux problèmes de santé personnels, aux problèmes de santé des proches, au travail, aux relations et à l’argent.

Publiés dans la revue Stroke de l’American Heart Association, les résultats de l’analyse effectuée auprès de 6700 candidats âgés de 45 à 84 ans pendant une période de 8 à 11 ans démontrent que des symptômes dépressifs élevés peuvent augmenter de 86 % les risques d’AVC ou d’AIT.

Quant au stress chronique, les chances passent à 59 % d’AVC ou d’AIT. Ces dernières seraient multipliées par deux lorsqu’il y a signes d’agressivité ou d’hostilité élevés.

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Les hommes hésitent à demander de l’aide pour des troubles de santé mentale

Les données proviennent d’une analyse des données du Canadian Community Health Survey, un sondage rassemblant des informations de 2002 à 2011 sur des gens de 18 à 74 ans.

Les chercheurs de l’ICES et de l’Hôpital St. Michaels ont évalué les effets de 4 maladies physiques chroniques sur la santé mentale des gens. « Les maladies chroniques peuvent mener à la dépression », a expliqué Dre Flora Matheson, scientifique.

« Nous tentons de déterminer qui recherchera de l’aide pour un trouble de santé mentale afin de mieux les aider », mentionne Matheson. Les 4 maladies physiques analysées étaient l’asthme chronique, la bronchopneumopathie chronique obstructive, le diabète de type 2 et la haute pression.

Les chercheurs ont découvert qu’il existait une division bien nette entre les femmes et les hommes souffrant des mêmes maladies. Les femmes étaient 10 % plus enclines à demander de l’aide psychologique, et le faisaient au moins 6 mois avant les hommes.

Le détail de l’étude a été publié dans la revue britannique Journal of Epidemiology and Community Health.

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Dwayne Johnson a vécu une dépression sévère

Avant de porter le surnom qui le caractérise, The Rock, l’acteur de Hercules, Dwayne Johnson, a sombré dans ses jeunes années en voyant ses rêves de jeunesse s’écrouler.

Johnson jouait dans la ligue canadienne de football après avoir été refusé dans la ligue américaine. Alors qu’il croyait faire carrière dans ce sport, on l’a remercié de ses services, au même moment où sa copine, Dany Garcia, le laissait tomber.

Il a confié : « Je n’étais pas blessé. C’était juste ça. Tu n’es pas assez bon. » Puis, l’acteur ajoute qu’il ne savait pas ce qu’il vivait à l’époque. « Je ne voulais rien faire. Je ne voulais aller nulle part. Je pleurais sans cesse. »

L’ancien lutteur de 42 ans explique aussi à The Hollywood Reporter pourquoi il a choisi de sculpter son corps. Il a pris cette décision à l’âge de 14 ans, lorsque sa mère a été expulsée de leur demeure.

Voyant qu’elle était sans défense, il a voulu réussir dans la vie. « Tous les hommes que je connais qui ont réussi s’étaient entraînés. »

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Le stress chronique peut détériorer la mémoire et engendrer des troubles mentaux

Le cortisol est l’hormone associée au stress, qui augmente la capacité cérébrale à encoder et rappeler des événements traumatiques.

Selon les neuroscientifiques de l’Université de Californie à Berkeley, le stress chronique peut engendrer des changements à long terme dans le cerveau à travers le développement de la matière blanche. Trop de matière blanche peut modifier la connexion des circuits et dégrader la qualité de communication entre les neurones.

Dans le cas de déséquilibre chimique causé par un surplus de cortisol, le cerveau se retrouve vulnérable à la maladie mentale, incluant la perte de mémoire à court terme et diverses formes de démence.

Une anormalité de la matière blanche est aussi associée à la dépression, la schizophrénie, le trouble bipolaire, les troubles obsessifs compulsifs et le trouble de stress post-traumatique, rapporte Science World Report.

L’expérience d’un stress chronique a été menée sur des souris, puisque la connectivité de leur cerveau est très similaire à celle de l’humain. La responsable de la recherche, Daniela Kaufer, mentionne que les résultats étaient alarmants.

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Lana Del Rey souhaiterait être déjà morte

Ce sont des propos durs, sombres et un peu inquiétants qu’a livrés la belle et énigmatique Lana Del Rey au journal The Guardian, rapporte le Rolling Stone.

La chanteuse n’a pas hésité à parler de son ennui pour la vie et de ses sombres pensées envers la mort, après que le journaliste dirigeant l’entrevue ait décidé d’inclure Kurt Cobain et Amy Winehouse dans la discussion.

« Je ne veux pas avoir à continuer de faire tout ça, mais je le fais. Et par “ça”, je veux dire tout. C’est juste comment je me sens, sinon je ne le dirais pas. J’aurais peur si je savais que la mort s’en venait, mais… », mentionne Lana Del Rey, alors que la fin de sa phrase n’aurait pas été publiée.

Cette étonnante déclaration survient quelque temps après que l’artiste ait dévoilé au Fader qu’elle souffre d’une anomalie médicale que les médecins sont incapables de cerner.

« Je me sens juste vraiment malade très souvent, et je n’arrive pas à comprendre pourquoi », explique-t-elle.

L’interprète de Born To Die prépare le lancement de son très attendu nouvel album, Ultraviolence, prévu le 17 juin prochain.

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Lana Del Rey souhaiterait être déjà morte

Ce sont des propos durs, sombres et un peu inquiétants qu’a livrés la belle et énigmatique Lana Del Rey au journal The Guardian, rapporte le Rolling Stone.

La chanteuse n’a pas hésité à parler de son ennui pour la vie et de ses sombres pensées envers la mort, après que le journaliste dirigeant l’entrevue ait décidé d’inclure Kurt Cobain et Amy Winehouse dans la discussion.

« Je ne veux pas avoir à continuer de faire tout ça, mais je le fais. Et par “ça”, je veux dire tout. C’est juste comment je me sens, sinon je ne le dirais pas. J’aurais peur si je savais que la mort s’en venait, mais… », mentionne Lana Del Rey, alors que la fin de sa phrase n’aurait pas été publiée.

Cette étonnante déclaration survient quelque temps après que l’artiste ait dévoilé au Fader qu’elle souffre d’une anomalie médicale que les médecins sont incapables de cerner.

« Je me sens juste vraiment malade très souvent, et je n’arrive pas à comprendre pourquoi », explique-t-elle.

L’interprète de Born To Die prépare le lancement de son très attendu nouvel album, Ultraviolence, prévu le 17 juin prochain.

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La dépression frappe chez les personnes âgées

Depuis quelques années, les statistiques de cas de dépression chez les personnes âgées surprennent. Le Devoir rapporte une fois de plus quelques chiffres qui démontrent que le phénomène n’a probablement pas ralenti depuis l’an dernier.

Selon le quotidien, qui prend ses chiffres de l’Enquête québécoise sur les limitations, les maladies chroniques et le vieillissement (EQLAV) et des analyses de l’Institut de la statistique du Québec, une personne âgée sur cinq souffrirait de troubles de l’humeur et/ou de dépression. 20 %, en somme, de nos aînés perdent le goût de vivre, alors qu’ils ont traversé tant d’épreuves.

La statistique grimpe à 60 % chez les personnes âgées déclarées invalides ou en incapacité grave. Passé l’âge de 85 ans, une personne âgée sur quatre serait touchée par la dépression.

Les femmes seraient davantage touchées, ainsi que les personnes seules ou sous le seuil de pauvreté.

« En identifiant ces personnes vulnérables, cela permet de faire de la prévention et d’éviter d’éventuels recours aux services de santé. Ces indicateurs peuvent aussi permettre de suivre l’évolution de la clientèle des personnes âgées, de voir comment le système de santé doit s’adapter à cette réalité et appliquer les interventions les plus utiles », explique Maxime Murphy, qui dirige l’étude.

Des conclusions bien tristes, surtout à une époque où le système de santé québécois démontre tant de signes de fatigue qu’il est devenu de plus en plus difficile d’aider les plus démunis et les personnes aux prises avec des troubles mentaux ou dépressifs.

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Une nouvelle étude confirme le lien entre le stress et le risque cardiaque

On sait depuis un bon moment que les personnes stressées et anxieuses courent plus de risques cardiovasculaires à long terme, mais ce lien demeure toutefois souvent théorique et sans de réels fondements.

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus ce lien entre le stress et les problèmes cardiaques à long terme, et tente d’en expliquer les causes, rapporte The National Library of Medicine.

La recherche proposée par des chercheurs américains se base sur des analyses physiques de 150 sujets adultes, à qui l’on soumettait des images ou circonstances stressantes afin d’observer les réactions physiologiques inhérentes à cette émotion.

Les participants à l’étude ont démontré une série de réactions et de symptômes liés au développement et au risque de problème cardiovasculaire.

« Ces découvertes abondent dans le même sens que la croyance populaire qui veut que les émotions soient connectées au cœur humain », lance l’auteur de l’étude, Peter Gianaros.

D’autres études ont confirmé que le stress, la colère, l’anxiété et la dépression étaient des émotions capables d’augmenter le risque de maladie cardiaque.

Les résultats de cette plus récente recherche ont été publiés dans le journal Biological Psychiatry.

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Un questionnaire simple pour détecter la dépression chez l’adolescent

Quelques minutes à peine pour aider le praticien à déterminer si l’adolescent en face de lui nécessite un réacheminement vers un spécialiste.

L’étude a été réalisée par Sharolyne Dihigo et ses collègues de l’UT Arlington College of Nursing. Ils ont examiné 14 recherches pour déterminer les questions à inclure dans le formulaire, afin que celui-ci soit représentatif et efficace.

« Voir à ce que les adolescents aient le traitement dont ils ont besoin a le potentiel de sauver des vies », explique Dihigo, directrice par intérim du programme de soins infirmiers.

Le formulaire de 20 questions permet aux jeunes de contourner les difficultés et l’hésitation associées à « l’expression de leurs émotions et comportements liés à la dépression ».

Dre Dihigo a donc trouvé une façon très peu coûteuse pour le système de santé pour évaluer l’état mental des adolescents. Elle met celui-ci en pratique à l’heure actuelle dans sa propre clinique pour appuyer son étude.

Il est estimé, selon Medical News Today, que 5 à 20 % des adolescents souffrent de la dépression, mais ne reçoivent pas les traitements appropriés.

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Une étonnante banque de cerveaux

Radio-Canada, par l’entremise de Michel C. Auger, rapporte et dévoile les détails de la création d’une banque de cerveaux, un projet étonnant qui pourrait faire grandement avancer les progrès de la science et la compréhension du cerveau humain.

Située au Québec, plus précisément à l’Institut Douglas de Verdun, la banque de cerveaux dont il est question comprendrait plus de 3000 cerveaux offerts à la science. Les spécialistes croient que ce genre de projet permettra de mieux comprendre certaines maladies mentales, et d’en apprendre davantage sur le suicide, notamment.

« C’est impressionnant, franchement », lance l’invitée de Michel C. Auger à l’émission15-18, Tamara Altéresco.

Cette dernière a pu visiter les lieux et rencontrer la coordonnatrice de la banque de cerveaux montréalaise, Mme Danielle Cécyre, qui explique que de sérieuses recherches sur le suicide et les troubles dépressifs sont possibles grâce à cette initiative et aux gens qui décident de léguer leur cerveau « à la science ».

Mme Cécyre rappelle du même coup qu’un formulaire doit être dûment rempli afin de céder son cerveau aux chercheurs à la suite de son décès, et que la section au dos de la carte d’assurance-maladie ne couvre pas ce don.

D’autres banques de cerveaux existent ailleurs dans le monde, mais le phénomène demeure assez rare.