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Quoi manger pour éviter la dépression post-partum?

Certains aliments ont de bonnes vertus, c’est le cas notamment des produits laitiers, poissons gras et fruits de mer, graines de lin et certaines huiles, tout comme les fruits et légumes.

Bien qu’ils soient bons dans plusieurs sphères, ce que ces aliments ont en commun réside également dans leurs bienfaits contre la dépression post-partum.

Les produits laitiers sont importants autant pendant qu’après la grossesse. Selon Top Santé, des études démontrent que les femmes qui n’ont pas de carence en calcium sont 2 fois moins susceptibles de vivre la déprime suivant la grossesse.

Les omégas-3, selon une récente recherche, sont nocifs pendant la grossesse. Cependant, dès que bébé est né, vous pouvez changer votre alimentation et réintégrer les poissons gras ainsi que les graines de lin, l’huile de noix et de colza, ou l’huile de foie de morue. Vous vous assurerez ainsi une meilleure régulation de votre humeur.

Le sélénium est un autre ingrédient favorisant la bonne humeur. Il se retrouve dans la viande et le poulet, mais surtout dans les fruits de mer.

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Développement de la mémoire, un indicatif pour la schizophrénie et la dépression à l’adolescence

Les structures associées se situent dans l’hippocampe et ses connexions au cortex préfrontal et pariétal. Ceux-ci sont responsables de l’amélioration de la capacité à conserver des souvenirs en mémoire.

Selon les chercheurs du département de psychologie et du centre du cerveau et de l’esprit de la UC Davis : « On a longtemps présumé que l’hippocampe ne se développait plus suivant les premières années de vie ».

Cette hypothèse a été modifiée récemment grâce à la résonnance magnétique effectuée sur 39 enfants de 8 à 14 ans. Ce sont les chercheurs Simona Ghetti et Arne Ekstrom qui ont procédé à cette analyse, la première du genre sur des enfants.

« C’est important pour nous », a déclaré Ghetti. « Cela nous permet de comprendre l’hétérogénéité de l’hippocampe, qui avait déjà été examinée chez les humains adultes et d’autres espèces. »

Les régions du cerveau étudiées étaient la corne d’Ammon (CA1) et le gyrus dentelé (CA3), ainsi que le subiculum. Les chercheurs ont découvert que les enfants qui obtenaient les meilleurs tests de mémoire étaient ceux avec un gyrus dentelé plus développé.

Cette nouvelle variable, selon Medical News Today, peut être associée à des troubles dépressifs ou schizophréniques.

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Papa aussi peut souffrir d’une dépression post-partum

Une nouvelle étude, rapportée par SheKnows, affirme que « les pères plus jeunes ont démontré une augmentation de 68 % des symptômes de la dépression ». On parle ici de pères de 25 ans en moyenne.

Les chercheurs ont cumulé les données de 10 623 hommes. Particulièrement au niveau de ceux qui présentaient déjà de légers symptômes, la naissance de leur enfant a considérablement aggravé leur état par la suite.

La dépression affectait ces nouveaux pères pendant environ les 5 premières années de vie de leur enfant. Il est important de rechercher de l’aide, puisque cet état peut mener à de la négligence ou de la violence corporelle.

Les signes à observer sont les suivants :

– Sentiment persistant d’anxiété, de tristesse et d’impuissance;

– Difficulté à se concentrer et à prendre des décisions;

– Moins d’énergie, plus de fatigue, en plus de changements dans la routine du sommeil;

– Changements au niveau de l’appétit;

– Irritabilité et agitation.

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Dépression dans les facultés de droit

On pourrait croire que d’être admis à l’université afin de poursuivre des études supérieures en droit serait suffisant pour contribuer au bonheur de ces élus, mais une spécialiste dévoile plutôt le côté sombre de la chose et rapporte de nombreux cas de dépression chez ces étudiants.

Les propos de la professeure Marilyn Poitras, rapportés par Radio-Canada, ont de quoi surprendre.

« Certains étudiants nous disent qu’ils voudraient mourir. D’autres vomissent régulièrement avant les examens. Pour d’autres encore, tout s’effondre à la venue des examens, et les familles se désagrègent », explique Mme Poitras.

Cette dernière croit donc qu’il est important d’accompagner et d’offrir de l’aide à ces étudiants, une pratique peu commune sur les différents campus.

Ce sera cependant le cas de l’Université de Saskatchewan, qui lance l’initiative Droit et bonheur, un séminaire qui propose aux étudiants de l’aide afin de traverser leurs études et de faire face adéquatement aux problèmes de dépression et de dépendance auxquels ils peuvent être confrontés.

« Droit et bonheur est devenu un événement où les étudiants peuvent parler de ce qu’ils vivent. C’est devenu un groupe tissé très serré », lance Marilyn Poitras.

La professeure et ses collègues souhaitent maintenant que l’idée fasse des petits un peu partout, en entend même mettre sur pied un programme qui viendrait en aide aux juges et aux avocats.

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La dépression est un facteur de risque d’insuffisance cardiaque

Alors qu’on pourrait croire que la dépression et les troubles dépressifs nous font tourner au ralenti et que, par conséquent, ils nous éloignent de la crise ou du problème cardiaque, il semble que ce soit le contraire.

Une nouvelle étude dévoile des statistiques alarmantes en la matière, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs norvégiens évaluent la hausse du risque d’insuffisance cardiaque à 40 % chez les personnes dépressives.

« Nous avons constaté une relation entre les symptômes dépressifs et le risque de développer une insuffisance cardiaque. Cela signifie que le plus vous vous sentez déprimé, plus vous êtes à risque d’infarctus » explique l’infirmière Lise Tuset Gustad.

C’est en évaluant 1500 cas d’insuffisance cardiaque au cours de l’étude que les chercheurs ont découvert que 40 % d’entre eux vivaient des problèmes de dépression. On recommande maintenant aux personnes qui se sentent déprimées de consulter rapidement un spécialiste.

« Les personnes qui ont perdu tout intérêt pour les choses auxquelles elles prenaient plaisir, comme lire ou regarder une série télévisée, peuvent présenter les premiers signes de la dépression. C’est une bonne idée de les inciter à consulter le médecin pour obtenir quelques conseils sur la façon de réduire le niveau de dépression », estime Mme Lise Tsuet Gustad.

Les conclusions de l’étude ont été présentées dans le cadre de l’EuroHeartCare, un congrès annuel de la Société européenne de cardiologie.

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La vitamine D et la dépression : des études contradictoires

Les études qui s’attardent aux effets de la vitamine D sur la santé mentale et les symptômes de la dépression sont pour le moins contradictoires. Après une première vague d’études qui avaient démontré un lien entre la consommation de vitamine D et les risques de dépression, une seconde vague venait invalider l’énoncé.

Cette deuxième vague d’études laissait même entendre que la vitamine D pouvait en fait réduire les symptômes de dépression, de quoi rendre le tout franchement confus pour le consommateur et le patient moyen.

Pour ajouter à cela, Medical News Today rapporte la publication d’une toute nouvelle étude sur le sujet, qui semble trancher le débat. Selon cette recherche en provenance de l’Université Columbia (New York), la vitamine D ne réduit pas les symptômes de dépression et pourrait n’avoir aucun impact sur la santé mentale.

Le Dr Jonathan A. Schaffer, qui dirige les travaux à Columbia, estime que les essais précédents étaient presque tous « caractérisés par une limitation de la méthodologie ».

Le Dr Schaffer affirme également que malgré qu’il « soit tentant » de tracer un tel lien, de plus vastes études sur le sujet devront être conduites. Pour l’instant, rien ne permettrait d’affirmer un lien entre la vitamine D et la dépression.

Les conclusions du Dr Schaffer ont été publiées dans le journal Psychosomatic Medicine.

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Les mères souffrent-elles toutes d’anxiété?

Une mère, par définition, s’inquiète du bien-être de ses enfants. Mais voici quelques raisons fournies par SheKnows qui vous indiquent pour quelle raison vous devez apprendre à lâcher prise.

L’anxiété cause :

Une immense dépense d’énergie – Si vous faites le bilan de la dernière journée. Parmi vos inquiétudes, lesquelles se sont réalisées? Aucune? Une seule? La réalité, c’est que l’anxiété dépense une quantité énorme d’énergie mentale et vous épuise.

Une diminution de l’honnêteté de vos enfants – En voyant que vous êtes constamment anxieuse, vos enfants finiront par cacher la vérité, puisqu’ils craindront de vous inquiéter encore plus. Ils camoufleront leurs propres peurs et émotions.

Une inversion du rôle parent-enfant – En réalisant que vous devenez sans cesse agitée et stressée au moindre risque qu’il se produise un incident, vos enfants finiront par s’inquiéter de vous et tenteront de prendre soin de leur mère.

La dépression – À long terme, l’anxiété mène à un état dépressif. Chaque événement, chaque chose à faire et chaque incertitude finissent par gruger le moral, et l’épuisement fait le reste.

Le psychologue John Hopkins affirme que près de 65 % des enfants qui vivent avec un parent anxieux risquent eux aussi de développer un trouble de l’anxiété.

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Les parents de jeunes enfants sont-ils tous en manque de sommeil?

La Presse rapporte les conseils de Francine Ferland, ergothérapeute et auteure du livre Pour parents débordés et en manque d’énergie. Elle affirme qu’il faut d’abord dissocier fatigue physique et fatigue mentale. La fatigue mentale étant la plus souvent reliée à la dépression.

On parle de jeunes enfants lorsqu’ils sont âgés de 0 à 8 ans. C’est la période durant laquelle ils demandent le plus d’attention. Les horaires sont souvent surchargés, les deux parents travaillent et le stress de la maison s’ajoute au stress professionnel.

« Non, les parents ne sont pas condamnés à être fatigués », assure Mme Ferland. Le premier remède à la fatigue, c’est de prendre du temps pour soi et de faire de l’exercice.

Mais avant tout, le problème, il ne faut pas se le cacher, ce sont les parents qui se l’imposent. La barre est simplement trop haute. Ils ne se donnent pas le droit de reprendre leur souffle, de diminuer la qualité du ménage, de réduire les activités et le couple en souffre.

La pression sociale extérieure est également très forte. Les enfants doivent répondre à des « standards ». Sachez donc décrocher, vous verrez, la fatigue mentale et physique diminuera d’elle-même.

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Le premier biomarqueur relié à la dépression chez les garçons adolescents

Medical News Today rapporte que selon la National Institute of Mental Health, 11,2 % des adolescents américains âgés de 13 à 18 ans ont déjà souffert d’une dépression sévère. Les chercheurs du Royaume-Uni viennent d’établir un biomarqueur qui pourrait aider à déceler et prévenir la dépression chez les garçons.

Les spécialistes ont mesuré le niveau de cortisol, une hormone de stress, présente dans les échantillons de salive d’adolescents qui devaient par la suite répondre à un questionnaire évaluant les symptômes de dépression. En se basant sur le niveau de cortisol et les symptômes, ceux-ci ont été séparés en 4 groupes.

Après un suivi échelonné entre 12 et 36 mois, les chercheurs ont réussi à établir quel groupe était le plus à risque de développer des troubles psychiatriques. Ils ont découvert qu’un niveau élevé de cortisol chez les garçons était le messager de la dépression.

Le professeur Goodyer a expliqué que cette percée permettra de réduire le nombre de personnes souffrant de la dépression en s’assurant de la traiter de façon préventive.

Les résultats de la recherche ont été publiés dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

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La douleur reliée à la santé mentale chez les adolescents

Pour la toute première fois, des chercheurs se sont penchés sur les douleurs physiques qui peuvent entraîner notamment la dépression et l’anxiété chez les jeunes de 13 à 18 ans.

L’étude a englobé 566 adolescents qui présentaient des symptômes dépressifs, mais aussi des troubles de l’alimentation, le TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité) et même de différents niveaux d’autisme.

Selon le professeur Marit Sæbø Indredavik, de la Norwegian University of Science and Technology (NTNU), les travailleurs du domaine de la santé ont tout intérêt à prêter une plus grande attention aux douleurs chroniques chez ces jeunes.

En tout, ce sont 70 % des répondants qui ont avoué vivre avec une douleur physique chronique. Ce taux était encore plus élevé chez les adolescents dépressifs, où ce sont 8 jeunes sur 10 qui souffraient physiquement. La douleur la plus fréquente était au niveau musculo-squelettique, prédominant chez les filles.

« Ces données sont tellement élevées que tout le système de soutien des besoins des enfants et adolescents doit être sensibilisé », affirme le professeur Indredavik.

Le prochain lien à effectuer pour les chercheurs est de comparer le niveau d’activité physique chez ces jeunes, par rapport à ceux qui ne vivent pas ce genre de douleur.