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À quel moment intervenir auprès des adolescents qui se mettent en danger

Une conduite à risque, informe Le Figaro, comprend la consommation de tabac, alcool et cannabis, mais encore, il s’agit de danger physique comme une mauvaise conduite automobile ou autre.

Le Dr Chambry met en garde devant le comportement « naturel » de l’adolescent qui n’a pas confiance en lui. Souvent, il s’agit d’une réponse à des difficultés relationnelles, mais comme il se refermera sur lui-même, il est difficile pour le parent de deviner ce qui se passe.

« Il peut alors surinvestir des sensations qui lui donnent l’illusion d’une maîtrise qu’il n’a pas avec autrui. » C’est pourquoi les adolescents s’accrochent facilement à toute substance ou activité qui leur donnera la sensation d’être plus forts, mieux dans leur peau.

Là où le parent doit intervenir, c’est lorsque les conduites dangereuses se répètent ou se multiplient. Il faut dès lors consulter, puisqu’on rappelle que le suicide à l’adolescence est bien moins lié à la dépression qu’à l’intolérance et à la déception. « Ils n’ont pas envie de mourir, mais ne veulent pas être déçus. »

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La kétamine pour prévenir et éviter le suicide

Ce sont des experts de l’University of New South Wales qui affirment que la kétamine, également utilisée pour des fins récréatives, serait utile pour améliorer l’humeur des gens suicidaires sévèrement déprimés.

La professeure Colleen Loo, en tête de la recherche, affirme même que le « spécial K » pourrait devenir le tournant dans le traitement de la dépression sévère. « L’avantage dans le cas présent, c’est que l’effet est pratiquement instantané, et il semble que cela fonctionne pour la majorité des patients », rapporte-t-elle.

Les antidépresseurs prennent en moyenne 8 semaines pour s’ajuster à l’organisme et déployer leur plein effet bénéfique, rappelle Science World Report. Sans compter qu’il est difficile de trouver le bon médicament pour chaque patient.

La kétamine agit directement sur l’humeur et diminue les pensées suicidaires, en plus de pouvoir être utilisée en combinaison avec d’autres antidépresseurs pouvant aider à maintenir le sommeil et l’appétit du patient.

« La kétamine est puissante pour renverser les changements structuraux du cerveau qui se produisent lorsqu’une personne est dépressive », explique Loo.

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Penser au présent influence négativement les choix alimentaires

On nous parle souvent de l’importance de profiter du moment présent et de privilégier celui-ci au lieu d’avoir la tête dans le futur, mais cette idéologie pourrait bien être plus néfaste qu’autre chose en matière d’alimentation.

Selon une étude américaine en provenance de l’Université du Delaware, les personnes aptes à manger de façon équilibrée ou à tenir le coup face à un régime seraient celles dont les pensées sont axées vers le futur, rapporte Top Santé.

Parfois hors de contrôle, le réflexe de se concentrer sur le présent et sur les choses réconfortantes de l’environnement immédiat survient souvent lors de mauvaises passes et de moments de déprime, selon le professeur Meryl Gardner.

Cette dernière, qui dirige l’étude, explique : « Lorsque nous nous sentons mal à l’aise ou de mauvaise humeur, nous savons que quelque chose ne va pas. C’est logique de se concentrer sur ce qui est proche de nous physiquement et temporairement. Si les personnes de mauvaise humeur choisissent souvent des aliments qui leur fournissent une récompense immédiate, il serait plus efficace de les encourager à améliorer leur humeur d’une autre façon. Si vous ne vous sentez pas en phase avec vous-même, au lieu de vous concentrer sur la nourriture et les étiquettes, essayez de parler à des amis ou d’écouter de la musique ».

Comme ces recherches l’indiquent, il est possible de conditionner un patient à prendre les bonnes décisions alimentaires lors de phases de déprime ou de détresse psychologique, et ainsi éviter de compenser ou de se réconforter dans la nourriture.

La clé résiderait donc dans la capacité à penser au futur et à se tourner vers l’avenir, afin de se concentrer sur de meilleurs jours à venir et les conséquences de mauvais choix alimentaires, et non sur ce gâteau au chocolat disponible au présent.

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Des femmes veulent sensibiliser à la cause de la dépression post-partum

Le mois de janvier est un mois idéal pour parler de certains troubles de l’humeur et de santé mentale et psychologique, alors que plusieurs journées ou semaines officielles sur le sujet se déroulent à travers le monde.

Ici, on peut notamment penser à l’initiative de Bell On Cause Pour la Cause, qui connaît beaucoup de popularité et qui vise à sensibiliser la population aux troubles de santé mentale.

En Saskatchewan, c’est le mois officiel de la sensibilisation à la dépression post-partum, un mal qui frappe plusieurs femmes à la suite d’un accouchement. Pourtant, peu de gens acceptent d’en parler même aujourd’hui, et le phénomène est considéré à tort comme marginal.

Stéphanie Grand, rapporte Radio-Canada, est de celles qui cherchent à faire connaître ce mal et ses conséquences sur la santé mentale, physique et même sociale.

« Je n’ai pas dit à qui que ce soit que j’étais dépressive. Je croyais avoir échoué dans mon rôle de mère, comme si j’étais une mère indigne », lance Stéphanie Grand, qui veut maintenant convaincre d’autres femmes de chercher de l’aide.

L’exemple de Grand est repris par Tania Bird, une auteure qui signe The Smiling Mask, un livre qui relate sa propre dépression post-partum, et qui déconseille vivement le réflexe qu’ont plusieurs femmes de « cacher leur détresse derrière un sourire ».

Bird et Grand en appellent aux femmes dépressives à demander de l’aide, mais aussi aux conjoints et maris de celles-ci, qui sont, selon elles, les premiers témoins des signes précurseurs et des symptômes du trouble.

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Les garçons déprimés sont ceux qui se jugent trop minces

Ce ne sont pas que les filles qui se préoccupent beaucoup de leur poids. Mais chez les garçons, c’est tout le contraire. S’ils n’ont pas de « masse » suffisante, leur confiance se détériore encore plus que chez les adolescents obèses.

Les résultats de l’étude, mentionne MedicalNewsToday, sont attribuables à Aaron Blashill de l’équipe de psychologues du Massachusetts General Hospital et membre de la faculté Harvard Medical School.

Les garçons trop minces sont victimes d’intimidation et sont plus enclins à prendre des stéroïdes et à déprimer. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), on estime que 3,5 % des enfants et adolescents de 2 à 19 ans ont un poids sous la normale. Celui-ci, cependant, cache souvent un problème sous-jacent.

Ce sont 2139 garçons de 16 ans qui ont été suivis pendant 13 ans pour la recherche. Les facteurs évalués étaient les symptômes dépressifs, l’image corporelle et l’indice de masse corporelle (IMC).

Les garçons qui considéraient que leur poids était sous la normale – même s’ils étaient en réalité à un poids santé et plus – avaient le taux le plus élevé de symptômes dépressifs, ce qui persistait même à l’âge adulte.

Blashill demande aux médecins d’être attentifs aux adolescents qui sont dans cette situation, puisqu’ils sont plus déterminés à utiliser des méthodes drastiques comme les stéroïdes.

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Lire pour guérir

Top Santé rapporte une tendance des plus intéressantes en matière de thérapie et de méthodes de traitements alternatives contre la dépression et les troubles de l’humeur : la lecture.

En effet, il semble que de plus en plus de thérapeutes et de spécialistes s’attardent sur ce qu’il serait convenu d’appeler la bibliothérapie. Ils décident ainsi de « prescrire » des lectures aux patients en mal de vivre ou sous le coup d’un épuisement moral et/ou professionnel.

C’est particulièrement le cas du côté des États-Unis et maintenant de l’Angleterre, alors que l’on a mis sur pied un programme intitulé The Reading Agency, permettant aux praticiens et thérapeutes de prescrire des choix de lecture à leurs patients.

Des troubles comme l’anxiété, l’angoisse, la dépression, le sentiment de vide ou d’épuisement, le manque de foi ou encore le manque de confiance pourraient être soulagés partiellement ou complètement par des lectures adéquates.

« Les romans peuvent aider les personnes à se reconnaître, à s’identifier à un problème, à se sentir moins seules, à se dire que des solutions existent, ou encore à se poser des questions », lance un spécialiste et psychothérapeute européen.

Certains organisent même des séances d’échanges sur les livres prescrits, afin que les patients puissent discuter entre eux et avec leur psychothérapeute des émotions et des perceptions proposées par ceux-ci.

Il s’agit incontestablement d’une alternative des plus intéressantes à la prescription systématique d’antidépresseurs.

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Le temps des fêtes et le deuil

Le temps des fêtes ne revêt pas la même signification pour tous, et les niveaux de joie et de célébrations sont souvent variables en fonction de certains facteurs.

Les personnes aux prises avec des difficultés financières, notamment, peuvent ressentir une pression ou une certaine tristesse. The National Library of Medicine s’intéresse également au cas des personnes qui vivent un deuil à l’approche du temps des fêtes, ou qui doivent le revivre chaque année à Noël.

« Les problèmes personnels ne disparaissent pas par magie juste parce que le calendrier passe de novembre à décembre. Les problèmes relationnels, d’emploi, financiers ou de santé peuvent prendre de l’importance durant la période des fêtes supposément “heureuse” », résume Josh Klapow, de l’Université de l’Alabama.

Quelques suggestions sont apportées pour pallier cette situation extrêmement difficile. En voici quelques-unes.

D’abord, on conseille vivement de ne pas se mettre de pression inutile, que ce soit pour recevoir ses proches ou encore pour assister à des soirées auxquelles on n’a pas vraiment envie d’aller. On suggère ensuite d’être en phase avec ses émotions, et de ne pas se « forcer » à être de bonne humeur contre son gré. Il faut également baisser son niveau d’attentes envers le temps des fêtes, ou l’émotion pourrait prendre le dessus.

En terminant, si une personne en deuil ou triste est spirituelle ou trouve sa force dans la foi, on suggère de favoriser les échanges et les contacts avec les personnes qui partagent ce genre de philosophie, au détriment de gens plus sombres et sans croyance qui pourraient contribuer aux idées noires et à la déprime.

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Attaquer la fatigue hivernale de plein fouet

Avec les premières neiges qui s’installent arrive souvent la fameuse dépression saisonnière, mais aussi ce qu’il serait convenu d’appeler la « fatigue hivernale », alors que notre corps se met à l’heure d’une nouvelle saison froide et grise, en plus du changement apporté à l’horloge qui provoque l’obscurité plus tôt qu’à l’habitude.

Inutile de sous-estimer le phénomène ou d’attendre que celui-ci se pointe sournoisement, alors que Top Santé fait part de quelques conseils pour attendre cette vague de fatigue de pied ferme et pour la contrer de façon proactive.

Certaines sources font état d’une statistique qui indique qu’une personne sur deux serait frappée de ce mal à l’arrivée de l’hiver, notamment à cause d’une alimentation inadéquate, d’un manque de sommeil, du stress quotidien et du manque de luminosité.

Il est donc convenu de mettre en veilleuse les vieilles habitudes alimentaires néfastes et axées vers la nourriture grasse, au profit d’un festival de fruits et légumes, de vitamines et de repas équilibrés.

La vitamine B, notamment, semble être l’une des clés du bon fonctionnement en hiver, alors que la B1, la B6, la B9 et la B12 permettent une amélioration du système immunitaire et des hausses d’énergie.

On suggère aussi fortement de ralentir le rythme professionnellement, c’est-à-dire de prévoir une charge moins lourde de travail, en plus de congés. Il est important de s’offrir un ou deux mois de réduction de stress, et ce genre de tour de force n’est possible que par la volonté personnelle.

Dans la même veine et en terminant, la première étape pour éviter la fatigue ou le surmenage d’hiver, c’est d’avouer que le phénomène existe et de ne pas jouer au surhomme avec votre corps.

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Facebook peut s’avérer néfaste pour les femmes célibataires

Une spécialiste des relations, mademoiselle Zoe Strimpel, lance un sérieux avertissement aux personnes seules qui utilisent Facebook de façon quotidienne, et spécialement les femmes, rapporte le Daily Mail (UK).

C’est que selon Strimpel, les nombreuses images de bonheur presque hollywoodien sur Facebook peuvent s’avérer néfastes pour la santé psychologique en minant progressivement le bonheur et l’humeur.

L’envie, le voyeurisme, l’apitoiement et les idées noires sont des réactions ou des symptômes qui peuvent ensuite apparaître chez les personnes qui ne sont pas en phase avec leur situation.

En somme, la spécialiste croit que les nombreuses représentations de mignons bébés et de mariages heureux, entre autres, tendent à envoyer le message que le célibat est un problème, une « lacune ».

Strimpel n’y va pas de main morte en suggérant carrément de se débarrasser de son compte Facebook, lors d’une conférence présentée récemment.

Pour la spécialiste, Facebook est porteur de messages souvent négatifs, narcissiques, faux, et les informations proposées sont souvent carrément inutiles à l’expansion du bonheur et au mieux-être de l’humain.

Si on réfléchit un instant, il devient difficile de la contredire.

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Les problèmes liés au retour à l’heure normale

C’est déjà le retour de ce moment où chaque personne effectuera presque simultanément un même geste simple, mais fort important : changer d’heure.

C’est le dimanche 3 novembre à 3 :00 AM, donc dans la nuit de samedi à dimanche, que nous devrons revenir à l’heure dite « normale », et ainsi reculer de 60 minutes horloges et cadrans.

Mais selon Top Santé, plusieurs problèmes liés à ce changement peuvent survenir, peu importe l’âge.

Les enfants peuvent sembler de moins bonne humeur le matin, par exemple, ce simple changement d’une heure pouvant affecter leur cycle de sommeil et leur « routine » biologique.

Mais le phénomène peut également attaquer les parents et les adultes, dont certains disent ressentir une certaine fatigue, une déprime ou encore une baisse de régime au travail suivant le retour à l’heure normale.

Qu’on parle ici d’effet placebo ou de déprime hivernale, puisque ce changement d’heure annonce bel et bien l’arrivée de l’hiver, il ne faut jamais prendre nos symptômes et nos humeurs à la légère, croient les spécialistes.

On suggère plutôt de vaquer à nos occupations à notre rythme, d’éviter le stress et de ne pas hésiter à consulter, ne serait-ce qu’une fois, si les troubles de l’humeur ou les baisses d’énergie deviennent soudainement trop importantes.