Catégories
Uncategorized

Le Botox associé à un risque accru de dépression

Si vous pensiez avoir recours au fameux Botox pour conserver votre mine des beaux jours, vous voudrez peut-être jeter un coup d’œil à cet article avant de passer à l’acte.

Selon une étude rapportée par Top Santé, les injections de Botox n’ont pas toujours l’effet escompté par le patient ou la patiente. Si le fait d’améliorer son image procure en soi un effet de joie, les chercheurs de l’Université de Cardiff croient qu’il existe également un effet retour.

En fait, les chercheurs pensent fermement qu’en « bloquant » ainsi les expressions du visage, le corps envoie des messages mixtes au cerveau. Lorsqu’une personne sourit, l’expression faciale affichée envoie un message au cerveau qui indique que nous sommes heureux, content.

Mais lorsque le sourire ne change plus notre expression, et que celle-ci est « figée », le cerveau ne reçoit jamais ces messages de bonheur et croit finalement, à long terme, que son propriétaire est dépressif.

« … les expressions de notre visage affectent aussi notre moral. Nous sourions parce que nous sommes heureux, mais c’est aussi le fait de sourire qui nous rend heureux », explique le Dr Lewis, en tête de l’étude.

Il faut noter que cette cause à effet est notable selon le type et l’endroit de l’intervention. Si l’on « fige » des parties du visage qui s’activent lorsque nous sommes fâchés ou déprimés, on pourrait alors être témoin de l’effet inverse, soit de moins ressentir les émotions négatives.

Catégories
Uncategorized

Une mauvaise alimentation mène aussi à la mauvaise humeur

Le fait de ne pas veiller à son alimentation ne mènerait pas qu’à des problèmes de santé physique chez la femme, selon Santé Log.

D’après une étude en provenance de la Pennsylvanie, les problèmes de comportement en alimentation sont aussi gages de troubles psychologiques, notamment en ce qui a trait à l’humeur.

Présentées lors du dernier congrès annuel de l’American Psychosomatic Society, ces conclusions font état de la relation des femmes avec la nourriture, et des résultats sur leurs émotions qui en découlent.

« Nous nous sommes intéressés à l’étude de femmes dans leur vie de tous les jours pour suivre leur humeur et leurs habitudes alimentaires, et obtenir ainsi une image plus précise de la relation entre les émotions et l’alimentation », expliquent les chercheurs de Penn State.

Les résultats démontrent cependant qu’une femme de bonne humeur ne devrait pas nécessairement voir celle-ci se dégrader, mais que celle qui s’avère déjà colérique ou dépressive a de grandes chances d’empirer son cas.

Les chercheurs précisent également que ces variations d’humeur sont relatives au degré d’intensité du trouble alimentaire, les pires troubles étant ceux comme l’anorexie et la boulimie.

Catégories
Uncategorized

Les livres de croissance personnelle au secours des gens dépressifs

On apprend par l’entremise de The National Library of Medicine qu’une nouvelle étude redonne ses lettres de noblesse aux livres de croissance personnelle retrouvés sur le marché.

Ceux-ci sont souvent victimes de préjugés, à tort ou à raison, mais il appert qu’ils pourraient bien s’avérer bénéfiques dans certaines situations données.

Ce serait le cas notamment en ce qui concerne les gens aux prises avec des troubles liés à la dépression, croient les chercheurs britanniques qui publient leurs conclusions dans l’édition du 26 février du BMJ.

C’est après avoir analysé le cas de plusieurs patients dépressifs et leurs réactions face à ce type de traitement « doux », comme les livres de croissance personnelle, qu’ils se sont rendu compte que la méthode pouvait porter des fruits.

Peter Bowers, de l’Université de Manchester, croit donc que les thérapeutes et praticiens devraient songer à utiliser ces outils dans le cadre de la thérapie offerte aux patients.

On souligne également le coût très bas de ces livres, par rapport à celui de thérapies extensives et onéreuses.

Catégories
Uncategorized

L’insomnie pourrait mener droit au suicide

C’est une nouvelle qui frappe, alors que Santé Log rapporte une étude de la Georgia Health Sciences University qui trace un lien possible entre l’insomnie et le suicide.

On parle plus spécifiquement d’un point de non-retour où la personne qui souffre d’insomnie perd carrément l’espoir de s’endormir un jour… et pourrait alors entrevoir que mettre fin à ses jours s’avère une « solution » efficace.

Publiée dans le journal Clinical Sleep Medicine, l’étude analyse les réactions en chaîne que peut causer une insomnie chronique.

« Il s’avère que l’insomnie peut conduire à un type très spécifique de désespoir puissant prédicateur de suicide », conclut le Dr W. Vaughn McCall, du département de psychiatrie de l’Université de Géorgie.

C’est après avoir analysé les cas de 50 patients âgés de 20 à 80 ans, souffrant de problèmes connexes à la dépression en milieu hospitalier, que les chercheurs sont arrivés à ce constat. On a ensuite établi des liens avec les problèmes de sommeil des sujets, qui peuvent finir par causer un effet de spirale.

Ceux qui commençaient à douter sérieusement de trouver le sommeil un jour démontraient des symptômes suicidaires alarmants.

Bien qu’il reste encore des preuves à faire pour parler de cause à effet, les chercheurs semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

Catégories
Uncategorized

Alcool et déprime vont de pair

Si vous buvez parce que vous êtes déprimé et que vous ne semblez jamais voir le fond (du problème), c’est peut-être parce que vous buvez que vous êtes déprimé.

C’est au fond le constat que proposent des chercheurs de l’Université de Californie à San Diego en publiant une étude sur le sujet dans la prochaine édition du Journal of Studies on Alcohol and Drugs, rapportée par Santé Log.

Pour eux, le lien entre déprime et alcool est très facile à établir. L’inverse ne serait pas nécessairement vrai, cependant, c’est-à-dire de « boire parce qu’on est déprimé ». Les gens qui utilisent cette excuse pourraient bien retrouver un peu de joie de vivre en lâchant le goulot, concluent les spécialistes américains.

Ces derniers croient également qu’il faudrait regarder du côté des habitudes de consommation d’alcool des patients avant de prescrire des antidépresseurs pour les plus déprimés et dépressifs.

Peu importe la façon dont on analyse les données de l’étude, les résultats sont clairs : l’alcool déprime. Et elle sera difficile à contrer, cette étude, puisqu’elle comptabilise des données sur 397 sujets masculins depuis 30 ans!

Catégories
Uncategorized

Le blues de l’hiver, pas nécessaire

Allez! On se retrousse les manches et on ne se laisse pas aller à la déprime hivernale!

Pour plusieurs personnes susceptibles de souffrir de dépression saisonnière, le « blues de l’hiver » semble être un incontournable. Voilà qui n’est pas la bonne attitude pour la contrer, bien au contraire. Ne vous laissez pas abattre par le froid et votre prédisposition à la déprime hivernale!

Voici d’ailleurs quelques suggestions pour vous aider à garder le moral malgré les froids sibériens, selon The National Library of Medicine.

D’abord, vous aurez sans doute remarqué qu’une bonne partie du blâme de votre morosité repose sur la luminosité, ou le manque de lumière en hiver. Il serait alors bon de revisiter votre routine de sommeil. Essayez de vous coucher plus tôt, afin de vous lever plus tôt. Ainsi, vous profiterez de plus de lumière qu’en utilisant ces heures le soir et la nuit.

Variez aussi vos activités, et reprenez ce passe-temps ou cette passion que vous chérissez tant! Pas d’excuses, l’hiver n’est pas la période de l’année pour s’empêcher de faire ce que l’on aime.

Même chose en matière d’alimentation, ce n’est pas du tout le moment de faire de la culpabilité et de vous mettre au régime draconien.

Faites-vous plaisir et essayez de pratiquer une ou des activités extérieures! Si vous y parvenez, vous verrez sans doute un changement radical dans votre humeur… et votre attitude.

Catégories
Uncategorized

Dépression saisonnière : soyez proactifs

On parle beaucoup de dépression saisonnière avec l’arrivée de l’hiver et bien qu’elle soit dite « normale », cela ne veut pas dire que rien n’est possible pour tenter d’en inverser les effets.

Si vous êtes victime d’une baisse de régime, d’énergie, de vitalité ou de moral en cette saison hivernale, ne restez pas les bras croisés à attendre que ça passe. Soyez proactifs, suggère notamment www.nlm.nih.gov.

Car si vous ressentez massivement les effets de la dépression saisonnière, de simples gestes sont à votre portée pour améliorer votre sort.

Notamment, on suggère de sortir faire des marches à l’extérieur lors des pointes de soleil, afin de faire le plein d’énergie et de luminosité tout en pratiquant un effort physique (aussi moindre soit-il).

Il est d’ailleurs fortement conseillé de poursuivre, ou d’entamer, son programme d’activité physique durant l’hiver. On suggère trois fois 30 minutes par semaine, pour un effet maximal.

Pour ceux qui ne peuvent profiter de l’extérieur ou pour les victimes de tempêtes hivernales, il est possible de se procurer certaines lampes de luminothérapie.

Au final, il semble que la socialisation soit parmi les meilleurs moyens de garder la forme mentalement, alors ce n’est pas le temps de vous enfermer et d’hiberner! Visitez vos proches et amis, et sortez aussi souvent que vous le pouvez.

Catégories
Uncategorized

L’effet de la déprime sur une nouvelle maman

À l’aide d’images par résonnance magnétique, des chercheurs ont découvert que les pleurs d’un bébé provoquaient une réaction moins positive dans le cerveau des mères qui étaient déprimées que dans celui des mères qui ne l’étaient pas, rapporte HealthDay News.

L’auteure principale de cette étude, Heidemarie K. Laurent, a déclaré que contrairement à une étude précédente, « il semble que les mères déprimées ne répondent pas de manière plus négative que les mères non déprimées. Ce que nous avons observé était plus comme une lacune quant à la réponse positive ».

Cette étude, qui apparaît en ligne dans le journal Social Cognitive and Affective Neuroscience, est la première à examiner la façon dont le cerveau de mères déprimées répond aux pleurs du bébé.

Les chercheurs ont étudié le cerveau de 22 femmes en utilisant une technique d’imagerie par résonance magnétique, ce qui mesure l’activité du cerveau à travers les changements du débit sanguin. Toutes les mères ayant été observées durant l’étude avaient un enfant de 18 mois et étaient mères pour la première fois.

Laurent révèle : « Dans ce contexte, il était intéressant de voir que les mères non déprimées étaient capables de répondre au son de pleurs par un signal positif. Leur réponse était constante dans leur désir de vouloir s’approcher de leur enfant. Les mères déprimées avaient clairement un manque, du côté de cette réaction. »

Le but de cette étude est donc de démontrer que la dépression peut avoir un impact de longue durée sur les relations entre une mère et son enfant en affaiblissant la réponse du cerveau face aux signaux émotionnels d’un bébé.

Catégories
Uncategorized

Pluie et mauvaise humeur vont de pair

Une récente étude, dont les résultats complets sont publiés dans l’édition d’octobre du magazine Emotion, affirme que la température a un effet direct sur le moral des gens.

Ainsi, si le manque de soleil en hiver augmente la sensation de fatigue, le temps gris rime avec sentiment déprimé et irritabilité.

Le retour du beau temps n’a toutefois pas un impact direct sur l’humeur des gens, croient les chercheurs de l’université de Humboldt, en Allemagne, qui ont observé 1 233 sujets âgés de 13 à 68 ans pour en arriver à ces conclusions.