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Cyclistes : gare à votre fertilité!

Qui a dit que le sport était si bon pour la santé? En tout cas, pas le vélo pour la santé sexuelle…
 
En effet, selon une étude de l’UCLA School of Nursing, qui a observé le développement hormonal de 107 hommes, ceux qui s’adonnent au cyclisme sont davantage victimes d’un déséquilibre hormonal qui engendrerait des difficultés à concevoir un bébé.
 
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont comparé la production hormonale de 45 athlètes récréatifs, 16 triathloniens et 46 cyclistes.
 
Des études plus approfondies devront être effectuées pour justifier si le vélo est à la base de réels problèmes hormonaux chez les hommes, affirme Lea FitzGerald, auteure de l’étude parue dans l’European Journal of Applied Physiology.
 
Il semble que le vélo n’est pas seulement « mauvais » pour l’appétit sexuel de l’homme, mais aussi pour celui de la femme. Une autre étude, cette fois-ci de l’Université Yale, a démontré que le cyclisme pouvait diminuer « le plaisir sexuel chez la femme ».
 
Les informations publiées le Journal of Sexual Medicine expliquent que les femmes qui pratiquent beaucoup de vélo, et particulièrement celles qui conduisent un engin dont le guidon est plus bas que la selle, développent une altération de la sensation génitale.
 
Les nerfs et les vaisseaux sanguins des organes génitaux seraient trop souvent compressés, suggère cette deuxième étude.
 
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Un déséquilibre de consommation entre les omégas-3 et omégas-6 favorise l’obésité

Depuis un moment déjà, on a démontré les effets bénéfiques des omégas-3 et omégas-6 sur la santé. Mais des chercheurs français viennent de découvrir qu’un déséquilibre dans la consommation augmentait les risques d’obésité, et ce, sur plusieurs générations.

 

En moyenne, en Occident, on consomme 15 omégas-6 pour 1 oméga-3, alors que les spécialistes préconisent plutôt 5 omégas-6 pour 1 oméga-3, selon ce que rapporte le Journal of Lipid Research.

Cet important déséquilibre favorise l’obésité de génération en génération, selon les travaux du Dr Gérard Aihaud et ses collègues de l’Université de Nice. « On connaît le rôle bénéfique des omégas-6 dans le traitement de l’hypercholestérolémie et celui des omégas-3 dans le fonctionnement cérébral. Toutefois, consommés de manière déséquilibrée, ils augmentent les facteurs favorisant l’obésité et peuvent avoir des conséquences graves, à long terme, sur la santé humaine », affirment les chercheurs.

Ces omégas sont essentiels à l’organisme. On retrouve surtout les omégas-3 dans les graines de lin, les noix et les poissons gras comme le saumon, et les omégas-6 dans les huiles végétales, les graines, les céréales comme le maïs, ainsi que les œufs.