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Les dessins animés et le sommeil des enfants

Alors que les enfants s’esclaffent devant Bugs Bunny qui sert une paire de gifles à Donald Duck, cette violence, qui peut nous sembler anodine, les empêcherait de bien dormir.

Un récent article publié dans le journal Pediatrics révèle les résultats d’une recherche sur le sujet. La qualité du sommeil d’enfants âgés de 3 à 5 ans a été analysée alors qu’ils avaient l’habitude d’écouter des dessins animés contenant une certaine forme de violence avant le dodo.

Ces enfants avaient tendance à avoir un sommeil plus agité que les enfants regardant des émissions ne comportant aucune ou très peu de violence.

Les émissions telles que ScoobyDoo, Bugs Bunny et Sponge Bob ont été nommées parmi celles qui affectaient le sommeil, alors que Sesame Street, Dora l’exploratrice et Curious George étaient considérées comme plus appropriées.

Les chercheurs spécifient qu’il n’est pas nécessaire de s’alarmer, mais qu’il faudrait tout de même considérer les meilleures options pour nos bambins.

En tant qu’adultes, nous sommes relativement désensibilisés à la violence, surtout celle qui nous semble plutôt banale dans les dessins animés, mais il n’en est pas de même pour les enfants.

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Les dessins animés aident les enfants qui doivent être anesthésiés

La revue médicale Anesthesia & Analgesia publie les résultats d’une étude portant sur 130 enfants, âgés de 3 à 7 ans, qui devaient subir des chirurgies de routine, en particulier l’ablation des amygdales.

Ceux-ci ont été séparés en trois groupes avant la procédure : les premiers ont pu regarder leur dessin animé préféré sur un ordinateur portable ou une tablette, les deuxièmes ont pu jouer avec un objet favori qu’ils avaient apporté de la maison, et les troisièmes ont tout simplement attendu.

Dans la salle d’attente, l’anxiété des enfants était la plus basse dans le groupe des jouets. Toutefois, une fois dans la salle d’opération, les enfants du groupe des dessins animés étaient les moins anxieux. Chez ceux-ci, l’anxiété a été évaluée comme « basse ou absente » dans 43 % des cas, comparativement à 23 % pour les enfants du 2e groupe, et 7 % des enfants du 3e groupe.

L’auteur de l’étude menée en Corée du Sud, le Dr Joengwoo Lee, a expliqué que « les jeunes enfants adorent souvent regarder des dessins animés, et ils peuvent devenir tellement concentrés qu’ils en viennent à peu réagir à leur environnement », selon ScienceDaily.

La méthode habituelle pour soulager les enfants avant une anesthésie est de leur donner un médicament sédatif, mais celui-ci peut entrainer des effets secondaires indésirables.

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Les dessins animés avant d’aller au lit aideraient les enfants à dormir

 

L’étude publiée dans la revue Pediatrics soutient que les enfants qui visionnent des films adaptés à leur âge s’endormiraient plus facilement que les autres.

Toutefois, il n’est pas recommandé d’interdire aux enfants de regarder la télévision.

« Nous savons que les médias jouent déjà un rôle important dans la vie de nombreuses familles. Nous avons estimé que simplement en changeant le contenu, nous pourrions avoir un impact sur la santé et le développement de ces enfants », explique la principale auteure de l’étude, Michelle Garrison.

De plus, Garrison ajoute qu’il est essentiel que les parents regardent la télévision avec leurs enfants.

Le manque de sommeil a plusieurs conséquences sur la santé des enfants. Il peut causer l’obésité, nuire au comportement et compromettre la réussite scolaire.

Rappelons cependant que les dessins animés à défilement rapide pourraient avoir une influence néfaste sur plusieurs aspects du développement de l’enfant. Regarder ce type d’émission amenuise la capacité des petits à maîtriser leur comportement et à garder leur attention concentrée. Leur capacité de résolution de problème en serait également diminuée.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Des dessins animés pour mieux communiquer

On lit dans Psychological Science que des enfants d’âge préscolaire avaient vu leur intelligence verbale s’améliorer de manière notable à la suite d’un programme en classe de seulement 20 jours.

Il s’agissait d’écouter des dessins animés interactifs basés sur la musique et la cognition. Les améliorations quant à la cognition des enfants ont été de l’ordre de 90 %, lorsque ces derniers avaient suivi le programme de 4 semaines.

Les changements ont par ailleurs été soutenus par des données recueillies grâce à l’imagerie numérique, lesquelles ont indiqué des changements d’ordre cérébral s’étant faits après le programme.

Les améliorations du langage et de l’attention ayant été remarquées dans des domaines non liés à ceux employés dans le cadre du programme, on comprend que les résultats obtenus sont des plus intéressants.

Cette découverte ouvre la voie à de nouvelles possibilités quant à la bonification de programmes d’éducation liés à la neurologie adressés à des enfants, mais aussi, potentiellement, à des personnes âgées.

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Les dessins animés sur la sellette

Selon une récente étude parue dans Pediatrics, les dessins animés à défilement rapide pourraient avoir une influence néfaste sur plusieurs aspects du développement de l’enfant.

Il semble effectivement que de regarder ce type d’émission amenuise la capacité des petits à maîtriser leur comportement et à garder leur attention captive. Leur résolution de problème en serait aussi touchée.

Ces aspects font partie de ce que l’on appelle « la fonction exécutive ». Ce concept de la neurologie consiste en divers processus cérébraux qui aident les personnes à relier leur expérience à l’action. Cela inclut des aptitudes telles que la mémorisation des détails, l’attention, l’organisation et la planification, entre autres.

Des enfants de quatre ans ont donc été invités, dans le cadre de cette étude de l’University of Virginia, à écouter neuf minutes de SpongeBob Squarepants (dessins animés à défilement rapide) et la même durée de Caillou (dessins animés à défilement lent). Un autre groupe d’enfants du même âge s’est adonné à faire du dessin.

Des tests ont par la suite suivi afin d’évaluer des aptitudes reliées à la fonction exécutive. Une différence plus mince a été remarquée entre le groupe qui avait dessiné et celui qui avait regardé Caillou.

Les chercheurs expliquent donc qu’une émission où les personnages se déplacent rapidement et qui comprend beaucoup d’éléments fantaisistes (comme SpongeBob Squarepants) aurait tendance à diminuer, chez l’enfant, l’aptitude à se concentrer longtemps.

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La publicité encore pointée du doigt

Il semble que les personnages animés que les enfants voient à la télévision aient bel et bien un impact sur leurs envies. Ils seraient responsables de la convoitise pour les aliments sucrés chez les tout-petits.

C’est ce que démontre une étude parue dans le Journal of Children and Media. Si les médias en général ne semblent pas présenter d’influence sur les goûts alimentaires des enfants, certaines publicités de la télévision en auraient pourtant une.

L’emballage, les personnages présentés et le temps d’exposition à de telles publicités font aussi partie des facteurs.

Dans le cadre de cette recherche, 64 mères d’enfants de 3 à 5 ans – pour une moyenne de 3 enfants par famille – ont été questionnées sur le sujet. En moyenne, il y avait deux télévisions à la maison.

L’une des solutions est d’offrir un choix de remplacement. En d’autres mots, si l’enfant voulait cette sorte de céréales avec des guimauves, mais ne peut l’avoir, lui proposer alors deux autres sortes, ces dernières constituant un choix santé.

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Shrek et Dora rendent les céréales meilleures

Il a été démontré dans une récente étude parue dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine qu’un personnage de dessins animés fera en sorte qu’un enfant aimera plus une sorte de céréales en particulier.

C’est ce qu’ont prouvé des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie par un test de goût auprès de 80 enfants âgés de 4 à 6 ans dans un centre commercial.

Certaines boîtes de céréales proposées avaient un personnage sur la boîte, d’autres non. Les personnages choisis pour représenter les boîtes étaient très connus des enfants en général.

Si les enfants avaient tendance à préférer les céréales avec un personnage, on a aussi remarqué que l’image influençait encore plus les résultats si elle était associée à des céréales plus nutritives que sucrées.

Il semble donc que l’attrait d’un personnage l’emporte hautement sur la décision de l’enfant ainsi que sur le possible apport nutritionnel de l’aliment.