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Nouvelle technologie créative pour les enfants handicapés

Il s’agit d’une percée technologique phénoménale. C’est le docteur Tim Holmes, du département de psychologie du Royal Holloway, Université de Londres, qui a développé ce nouveau programme. Medical News Today rapporte les détails quant au fonctionnement du nouvel outil.

Des chercheurs se sont penchés sur la problématique des enfants handicapés quant à leur créativité. Le dessin, le coloriage et le bricolage sont des activités essentielles au développement cognitif. Les enfants qui souffrent d’un handicap physique ou mental les empêchant de participer à ces activités passent donc à côté d’un élément important de leur évolution créative.
 
La technologie développée par Holmes consiste en un programme informatique qui captera, analysera et interprètera le mouvement des yeux du jeune faisant face à l’écran. Un système complexe qui adaptera les mouvements oculaires aux préférences de l’usager et lui permettra de dessiner, bricoler ou colorier virtuellement. Nul besoin de souris ou de clavier.
 
« En reconnaissant la requête ou l’intention de l’usager par le seul mouvement des yeux, l’application permettra à ces jeunes d’explorer la créativité, chose qu’ils croyaient impossible », affirme Tim Holmes.
 
Ce mardi (19 juillet) et jusqu’à la fin de l’été, les chercheurs inviteront des visiteurs au Musée des sciences pour tester la nouvelle technologie. « Cette expérience nous permettra de valider le programme sur un vaste échantillonnage de la population, tout en évaluant les commentaires des volontaires ».
 
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Nouvel espoir pour les bébés prématurés

On apprend sur Action Medical Research que des travaux de recherche ont cours pour mettre au point un nouveau test de détection de l’entérocolite nécrosante.

Mentionnons que cette maladie est en fait une ulcération et une nécrose (mort de cellules) touchant le côlon et l’iléon (la partie finale de l’intestin grêle). On évalue, au Royaume-Uni seulement, que 3 000 bébés sont atteints chaque année de cette maladie de l’intestin.
 
Près de 35 % de ceux qui en souffrent en décéderont. Le test en question permettrait de détecter plus tôt cette maladie de l’intestin touchant principalement les bébés prématurés. On évalue à 8 % le nombre de ces enfants qui la développeront.
 
Les autres personnes qui souffrent habituellement de ce mal sont celles qui sont atteintes d’un cancer.

Ainsi, en ayant un diagnostic hâtif de la maladie, les chances de survie des enfants seraient grandement améliorées. En ce moment, lorsqu’on arrive à reconnaître hors de tout doute l’entérocolite nécrosante, les bébés sont déjà très malades.

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Déceler l’autisme très tôt : nouvelles méthodes

Des chercheurs de l’École de médecine de San Diego, à l’Université de la Californie, ont élaboré une nouvelle stratégie pour déceler l’autisme en bas âge.

La détection de ce syndrome et d’un retard de langage ou du développement aura un impact important sur la vie des bébés atteints. Nous savons qu’une thérapie entamée très tôt peut avoir d’importantes répercussions sur le développement du cerveau de ces enfants.
 
Grâce à ce programme de détection systématique, on pourra déceler l’autisme avant même que les enfants aient un an, ce qui augmentera l’efficacité des traitements et de la thérapie.
 
Pour arriver à ces résultats, les chercheurs ont étudié le cas de 10 479 bébés de 1 an vivant dans la région de San Diego. Les parents des enfants devaient répondre à un questionnaire portant sur le contact visuel, les sons, les mots, les gestes et la reconnaissance des objets, entre autres.
 
Par la suite, tout enfant ayant échoué à cette première évaluation était suivi tous les six mois, et ce, jusqu’à l’âge de trois ans. Il a par ailleurs été remarqué que les parents devenaient plus réceptifs quant aux différents signes de développement de leur enfant.

Les résultats complets de cette recherche sont parus récemment dans le Journal of Pediatrics.

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Un nouvel outil pour détecter les mélanomes

En Colombie-Britannique, des chercheurs ont mis au point un appareil capable de détecter les mélanomes.
 
En utilisant la fibre optique, cet outil envoie un rayon laser sur la peau. Celle-ci réagit par des molécules qui émettent des longueurs d’onde. En une seconde, l’appareil est capable de les analyser et de voir s’il y a une trace de maladie, car les maladies de la peau ont une signature spécifique.
 
Le mélanome est la forme de cancer de la peau la plus agressive et peut s’avérer mortel.
 
1 000 lésions ont été traitées pour l’étude rapportée par le Globe and Mail. On a identifié 274 cas de mélanomes à l’aide d’une biopsie d’abord et tous ont été repérés par l’appareil. Toutefois, ce dernier a également diagnostiqué des lésions comme étant des mélanomes alors qu’elles n’en étaient pas. Tout de même, on parle d’une fiabilité d’au moins 70 %, ce qui permettrait de détecter les cancers à des stades précoces également.
 
L’appareil peut analyser tous les grains de beauté du corps humain en moins de 15 minutes, ce qui permettrait ainsi de réduire les listes d’attentes pour un diagnostic.
 
Santé Canada n’a pas encore approuvé l’appareil en question, mais pourrait le faire bientôt.
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Un nouveau moyen de détecter les cancers de la peau

Des chercheurs américains ont mis au point une nouvelle technique pour permettre des diagnostics plus précis de cancer de la peau.
 
Présentée lors de la Conférence internationale des spécialistes de l’optique à Rochester, dans l’État de New York, cette technique utilise la microscopie à deux photons. Cette imagerie permet de voir les cellules à un dixième de millimètre sous la surface de la peau, et ce, sans faire de biopsie.
 
Habituellement, les médecins utilisent une lentille mobile, de la lumière très forte, la microscopie ou la dermoscopie pour examiner la peau de leurs patients. Le problème est que les images obtenues permettent de voir uniquement la surface de la peau, les changements plus profonds passant inaperçus.
 
« Les diagnostics varient beaucoup selon ces techniques. La meilleure façon de diagnostiquer un mélanome reste la biopsie, l’ablation et l’analyse de tissus du grain de beauté suspect. Mais même dans ce cas, les médecins ne font pas toujours le même diagnostic. Les mauvais diagnostics positifs accroissent les dépenses de santé et infligent des traitements inutiles à des patients; et de mauvais diagnostics négatifs peuvent être fatals », explique Thomas Matthews, chercheur de l’Université Duke, en Caroline du Nord.
 
Cette nouvelle technique ouvre maintenant la voie à des diagnostics plus précis.
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La détection du cancer du poumon grandement facilitée

Selon des chercheurs oncologues de l’Université de Nottingham, en Angleterre, la présence d’un taux élevé de certains anticorps dans le système immunitaire pourrait signifier un cancer du poumon chez l’individu observé.

En effet, le taux de ces anticorps serait normalement bas chez une personne en bonne santé.

À l’heure actuelle, le cancer du poumon est souvent diagnostiqué lorsque les dommages sont irréversibles. Cette découverte pourrait entraîner une méthode de détection permettant le diagnostic de la maladie à un stade précoce. Ainsi, le traitement serait envisageable et plusieurs vies pourraient être sauvées.

Les chercheurs feront d’autres travaux complémentaires afin que peut-être une prise de sang soit disponible pour détecter le cancer du poumon.