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Attention aux produits imperméabilisants

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) dévoile les résultats d’une enquête concernant certains produits imperméabilisants retrouvés sur le marché, et qui auraient causé des problèmes de santé à certains consommateurs.

Le Devoir rapporte en effet qu’entre 2012 et 2013, près de 80 appels concernant ces produits imperméabilisants auraient été faits au Centre Antipoison du Québec, la plupart du temps pour des problèmes respiratoires.

Les consommateurs en question risquent cependant de ne pas avoir beaucoup de munitions contre les fabricants de ces produits, car selon le rapport de l’INSPQ, ces problèmes seraient surtout dus à l’inexpérience et au manque de vigilance des utilisateurs.

« En regardant les dossiers, on s’est rendu compte que les utilisateurs ne prenaient pas les mesures de protection recommandée, ou ils ne comprennent pas nécessairement ce que veut dire : “utiliser l’aérosol dans un endroit aéré” », explique Pierre-André Dubé de l’INSPQ.

On rappelle donc aux consommateurs de ces produits de bien lire les directives, de ne pas les utiliser à l’intérieur (maison, tente, etc.) et de demeurer vigilants.

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Le Centre de prévention du suicide de Québec lance un site web pour les hommes

La Presse et Radio-Canada rapportent la mise sur pied d’un site web destiné à venir en aide aux hommes victime de détresse et de pensées suicidaires, une initiative largement saluée par de nombreux observateurs et spécialistes de la santé.

Créé par le Centre de prévention du suicide de Québec et destiné à répondre à un besoin criant au sein de la population du Québec, le site internet a été inauguré jeudi (6 février).

« Plus de 7000 personnes ont déjà consulté le site jusqu’à maintenant. Ça démontre qu’il y a un réel besoin », lance la directrice générale du Centre de prévention du suicide de Québec, Lynda Poirier.

En utilisant des formules comme « allume » et « laisse faire l’orgueil », le slogan officiel du projet, les instigateurs du projet souhaitent interpeller les hommes en détresse et ainsi les convaincre de quérir de l’aide.

Plusieurs outils se retrouvent sur le site, ainsi qu’un questionnaire et des liens qui mènent aux différentes ressources possibles pour les hommes en détresse et en proie à des troubles de santé psychologique.

Pour mieux connaître le projet et ce qu’il propose, visitez le www.allume.org.

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Le stress chez les parents d’enfants qui ont le cancer

Des chercheurs ont analysé le taux de stress et de détresse psychologique de 104 parents qui avaient tous un enfant atteint d’un cancer à un stade avancé.

Ces parents remplissaient des questionnaires qui permettaient d’évaluer ce taux de difficultés émotionnelles : un résultat supérieur à 7 indiquait « une détresse élevée », tandis qu’un résultat plus haut que 13 signalait « une détresse psychologique sérieuse ».

Le résultat moyen de ces parents était de 7,9, ce qui, on le comprend, est beaucoup plus élevé que le 2,5 des adultes américains moyens. La moitié des parents ayant participé à l’étude avaient un résultat supérieur à 8, et 16 % d’entre eux étaient en état de détresse psychologique sérieuse.

Ceux qui avaient espoir que leur enfant guérisse et ceux qui comprenaient bien que le pronostic était bien aligné avec les buts du traitement éprouvaient moins de stress que les autres. Les parents en détresse psychologique étaient plutôt ceux qui savaient que leur enfant souffrait à cause du traitement, et qui avaient des problèmes financiers reliés au cancer, selon ce que rapporte MedPageToday.

Les résultats ont été publiés dans le journal JAMA Pediatrics.

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Les parents qui utilisent la culpabilité rendent leurs enfants malheureux

Dans le cadre d’une étude finlandaise, des chercheurs ont analysé les interactions entre 150 enfants de première année et leurs parents. Les enseignants de ces enfants ont également participé à l’étude, en rapportant le comportement des enfants tout au long de l’année scolaire, notamment par le biais de cahiers de bord.

Les chercheurs ont constaté que lorsque les parents utilisaient beaucoup la culpabilité dans leurs rapports avec leurs enfants, ces derniers devenaient fâchés et même en détresse. Cet effet était même encore visible le lendemain à l’école.

Ce niveau de détresse variait même de manière significative selon les techniques employées par les parents : plus ils essayaient de rendre l’enfant coupable, plus celui-ci avait du mal à fonctionner.

Les parents qui se servent de la culpabilité pour élever leurs enfants tentent d’avoir un impact sur leur comportement en jouant sur le côté psychologique au lieu d’établir des limites claires. Par exemple, ce type de parent va constamment rappeler à l’enfant tous les efforts et les sacrifices qu’il a faits pour lui, et à quel point son enfant suscite de la honte.

Ces parents sont souvent épuisés et en détresse eux-mêmes. Même si ce comportement était néfaste pour l’enfant de la part des deux parents, le rôle du père est particulièrement important, rapporte Science Daily.

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Intimidation : les enfants sont plus susceptibles de s’automutiler

Les filles seraient plus concernées que les garçons par ce comportement autodestructeur.

S’infliger des blessures et des dommages physiques peut se traduire par s’entailler les bras, se mordre, se brûler, se frapper certaines parties du corps, s’arracher les cheveux, rouvrir d’anciennes cicatrices et ingérer des produits toxiques.

Le comportement fatal peut même aller jusqu’au suicide par strangulation, révèle l’étude anglaise et américaine dans le BMJ.

Les chercheurs spécifient que les enfants victimes d’intimidation sont également souvent entourés d’éléments qui augmentent les risques d’automutilation, comme les mauvais traitements durant l’enfance (négligence, sévices, etc.), les histoires de famille perturbatrices, les problèmes affectifs et autres.

C’est en observant des jumeaux nés entre 1994 et 1995 et leur comportement six mois avant leur douzième anniversaire que les enquêteurs ont constaté que sur 2141 participants, 237 enfants étaient victimes d’intimidation.

Parmi ces derniers, 8 % avaient déjà commis un acte d’automutilation, contre 2 % dans le groupe jamais intimidé.

Les spécialistes croient que plus de programmes devraient être mis en place dans les écoles et cliniques pour soutenir les enfants pris dans cette détresse psychologique et les victimes de l’intimidation.

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Les pleurs de bébé affectent les gens

Des scientifiques britanniques ont déclaré que les pleurs de bébés provoquaient des réactions plus hâtives auprès de la population.

Une étude a été menée par des chercheurs de l’Université d’Oxford par le biais du jeu d’arcade classique Whack-A-Mole.

Ils ont constaté que la dextérité et les coups de pied des adultes dans le jeu étaient plus rapides, plus immédiats et plus forts lorsqu’ils entendaient des bébés en pleurs plutôt que des sons d’adultes en détresse ou de forts gazouillis d’oiseaux.

L’équipe de recherche a comparé les résultats de 40 bénévoles jouant Whack-A-Mole, ce jeu vidéo qui consiste à frapper aléatoirement des indices lumineux.

Selon les spécialistes, peu de sons provoquent une réaction aussi viscérale que le cri d’un bébé. Ils déclarent : « Par exemple, il est presque impossible d’ignorer un bébé qui pleure en avion, en dépit de tous les autres bruits et les distractions autour ».

Les scientifiques ont déclaré que leur travail n’était pas un exercice purement théorique, alors qu’il pourrait aider les chercheurs qui étudient les femmes atteintes de dépression postnatale. Selon eux, elles souffrent peut-être d’une quelconque sorte de perturbation, en lien avec les cris et les pleurs de bébé.

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Les pleurs de bébé affectent les gens

Des scientifiques britanniques ont déclaré que les pleurs de bébés provoquaient des réactions plus hâtives auprès de la population.

Une étude a été menée par des chercheurs de l’Université d’Oxford par le biais du jeu d’arcade classique Whack-A-Mole.

Ils ont constaté que la dextérité et les coups de pied des adultes dans le jeu étaient plus rapides, plus immédiats et plus forts lorsqu’ils entendaient des bébés en pleurs plutôt que des sons d’adultes en détresse ou de forts gazouillis d’oiseaux.

L’équipe de recherche a comparé les résultats de 40 bénévoles jouant Whack-A-Mole, ce jeu vidéo qui consiste à frapper aléatoirement des indices lumineux.

Selon les spécialistes, peu de sons provoquent une réaction aussi viscérale que le cri d’un bébé. Ils déclarent : « Par exemple, il est presque impossible d’ignorer un bébé qui pleure en avion, en dépit de tous les autres bruits et les distractions autour ».

Les scientifiques ont déclaré que leur travail n’était pas un exercice purement théorique, alors qu’il pourrait aider les chercheurs qui étudient les femmes atteintes de dépression postnatale. Selon eux, elles souffrent peut-être d’une quelconque sorte de perturbation, en lien avec les cris et les pleurs de bébé.

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Cancer du sein : la plupart des parents disent le résultat aux enfants

C’est ce qui est ressorti d’une nouvelle étude publiée dans la revue scientifique Cancer du journal de la Société américaine du cancer.

Pour les parents, ce qui les pousse principalement à se faire tester pour un cancer héréditaire, c’est de connaître les risques que courent leurs propres enfants.

Sur 253 parents interrogés lors de cette étude, 29 % couraient un risque accru de développer un cancer du sein.

La majorité des parents de l’étude ont partagé leurs résultats avec au moins un de leurs enfants. Parmi 505 enfants, 334 ont appris la nouvelle.

Les parents étaient plus susceptibles de déclarer leurs résultats si les enfants étaient plus âgés et s’ils étaient de sexe féminin. Bien sûr, ils étaient également plus portés à divulguer les résultats des tests négatifs.

La plupart des parents ont également déclaré que ce genre de conversation ne semble pas déclencher de panique chez plusieurs enfants.

Sans vouloir provoquer un stress inutile, les spécialistes croient que discuter de résultats médicaux est une bonne occasion de promouvoir des comportements sains — comme manger une alimentation saine et ne pas fumer — qui pourraient aider à garder leurs enfants en santé.

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La détresse des cancéreux doit être dépistée rapidement

Selon Lise Filion, chercheuse en oncologie psychosociale, les médecins devraient faire un suivi plus précis de la détresse des personnes atteintes de cancer et des personnes qui les aident. Ce dépistage devrait se faire plus rapidement afin de ne pas alourdir le fardeau qu’elles vivent.
 
Selon ce que Mme Fillion a affirmé durant la Conférence nationale pour vaincre le cancer qui s’est tenue à Montréal, l’état psychologique devrait être mesuré comme le sont le pouls, la pression et les autres signes de santé.
 
« Même si on survit au cancer aujourd’hui, l’annonce de cette maladie a une connotation de mort et ça ébranle plusieurs dimensions de l’être humain sur les plans émotionnel, physique, psychologique et social. D’où l’importance de considérer tous les problèmes non médicaux qu’une personne peut vivre au début – et même plusieurs fois en cours de traitement – afin de faciliter son adaptation à la complexité de la trajectoire de soins en oncologie. »
 
Parmi les signes qui peuvent être notés, on parle de tristesse, de peur, de désespoir et parfois même de dépression, d’angoisse et de panique. Tous des éléments qui entravent le bon fonctionnement des traitements.
 
De plus, si une personne a besoin d’aide, elle doit en parler aux professionnels qui s’occupent de son dossier afin d’être dirigée vers les bonnes ressources.
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Le statut d’employé et la dépression

Selon Amélie Quesnel-Vallée, sociologue à l’Université McGill, le statut précaire chez les employés semble avoir des conséquences sur leur santé mentale.

« Il semble que les travailleurs temporaires, qui ne peuvent compter sur un emploi stable à long terme, sont susceptibles de voir leur santé mentale décliner, et ce, aussi longtemps qu’ils continuent d’occuper des fonctions pouvant être perçues comme " jetables " ou " de deuxième classe " », a expliqué cette dernière lors de l’assemblée annuelle de l’Association américaine de sociologie.
 
Parmi les conséquences observées, on note davantage de symptômes de dépression et de détresse psychologique que chez les employés bénéficiant d’un statut permanent au sein d’une entreprise.