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L’iode dans le pain est insuffisant pendant la grossesse

Publiée sur le site MedicalXpress, une étude menée par l’Institut Robinson de l’Université d’Adélaïde en Australie a démontré que la consommation de pain iodé n’empêchait pas les carences en iode auprès des femmes enceintes et leur bébé à naître.

L’auteure de la recherche, la professeure Vicki Clifton, mentionne que malgré que ce ne soit pas largement connu, l’iode est un élément nécessaire pour le bon développement du cerveau humain ainsi que pour celui des fonctions thyroïdiennes.

Elle explique : « En 2009, les producteurs de pain australiens ont mis en place un programme obligatoire exigeant l’utilisation de supplément d’iode dans le pain afin de renforcer son apport à la communauté. Notre étude visait à déterminer s’il y avait un impact positif sur les femmes enceintes ».

Malgré l’effort des producteurs, les résultats ont dévoilé une carence de l’élément chimique chez les participantes. Ceci dit, les chercheurs insistent auprès des futures mamans pour qu’elles ne se fient pas qu’à ce produit, qui leur donne l’impression d’obtenir les doses nécessaires.

Il est recommandé de prendre des suppléments d’iode afin d’éviter des problèmes de développement du cerveau du foetus, en plus de maintenir un niveau suffisant pour sa propre santé.

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Une nouvelle manière d’évaluer le développement cérébrovasculaire des bébés

Quatre millions de bébés naissent chaque année aux États-Unis. Parmi ceux-ci, il y a 12 % de prématurés, 8 % qui ont un petit poids, et 1 à 2 % qui souffrent de détresse respiratoire.

Ceci mène à un taux de décès de 6 nouveau-nés par 1000 naissances. Même si ce nombre est beaucoup moins élevé qu’auparavant, il reste catastrophique.

Des médecins ont donc mis au point une manière efficace d’évaluer s’il y a présence de lésions cérébrales, et s’il y a une progression de celles-ci. Il s’agit d’un test effectué avec un outil de mesure optique qui est appliqué directement sur la tête du nouveau-né, mais qui ne cause aucun danger pour lui.

Jusqu’à présent, il n’était pas possible de bien surveiller le développement du cerveau chez ces bébés à risque.

« Nous voulons mesure le développement cérébrovasculaire et l’état du cerveau chez les nouveau-nés », a expliqué la Dre Maria Franceschini, citée par Science Daily.

« Cette technologie va nous permettre de mieux suivre les bébés qui pourraient avoir des convulsions, des hémorragies cérébrales et d’autres problèmes du cerveau qui demandent une attention immédiate », a ajouté la chercheuse.

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Des problèmes cervicaux pour les prématurés qui grandissent plus lentement

Des chercheurs canadiens ont analysé les résultats de tests de résonnance magnétique portant sur le cerveau de 95 bébés prématurés, qui étaient nés entre 8 et 16 semaines avant leur date prévue. Ces tests avaient été effectués peu après la naissance, puis de nouveau autour de la date à laquelle ils auraient dû naître.

Les bébés qui avaient une croissance plus lente que la moyenne avaient des retards dans le développement de leur cortex cérébral, une membrane de 2 à 4 millimètres d’épaisseur qui enveloppe le cerveau et est impliquée dans les processus cognitifs, comportementaux et moteurs.

L’auteur de l’étude, Steven Miller, a affirmé que « ces résultats correspondent à une première étape importante, parce que comprendre la croissance du cerveau pourrait éventuellement mener à de nouvelles découvertes ainsi qu’à l’optimisation du développement du cerveau de ces enfants », selon Science Daily.

L’étude est toujours en cours afin de permettre aux chercheurs de suivre ces enfants, pour mieux comprendre le lien entre le développement de leur cerveau et leurs retards ou difficultés potentiels.

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Danger : siège d’auto

Selon Le Figaro.fr, il ne serait pas si prudent d’asseoir bébé dans son siège en voiture. Un organisme américain, Ecology Center, soutient qu’environ la moitié des sièges d’auto de ce pays contiendraient des produits chimiques présentant un danger pour la santé.
 
L’organisme en question a réalisé une étude sur 150 sièges avant de présenter cette conclusion. Il soutient aussi que les rayons ultra-violets accéléreraient le processus desdites substances dangereuses.
 
Du brome, du chlore ou des PVC ont été identifiés dans 60 % des sièges d’auto testés. Ces substances font toutes parties des produits cancérigènes reconnus aux États-Unis, pouvant représenter un danger pour le système reproductif et immunitaire. Rappelons que le brome est aussi pointé du doigt pour entraver le bon développement du cerveau.
 
Les bébés se retrouvent donc très exposés à ces substances, étant plus vulnérables parce que leur corps est encore en développement. Ecology Center demande aux entreprises fabriquant les sièges d’auto d’éviter les produits chimiques.
 
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Anesthésie et développement du cerveau

On peut lire dans le New England Journal of Medicine que l’on se questionne quant à l’anesthésie durant l’enfance. Il semble que cette procédure médicale ait des impacts possibles sur le développement du cerveau.

Des membres de la FDA (Food and Drug Administration, aux États-Unis) ont donc répertorié quelques risques connus de l’anesthésie sur le cerveau des enfants. On avait déjà remarqué, au cours de la dernière décennie, que cette procédure semblait avoir un lien avec la cellule du suicide chez de jeunes singes et rats.

Maintenant, on pense qu’elle en aurait aussi avec les difficultés d’apprentissage. En effet, selon une étude datant de 2009, les enfants qui subissent deux anesthésies ou plus avant leurs 4 ans courraient 59 % plus de risques de vivre de telles embûches.
 
Toutefois, ce lien n’est pas considéré comme fermement confirmé, car nous ne possédons pas encore suffisamment de renseignements sur le sujet. On recommande donc que d’autres études soient faites sur le lien entre l’anesthésie et le développement du cerveau.

Malgré tout, n’oublions pas que les substances anesthésiantes et sédatives sont essentielles aux interventions médicales. On a pourtant suggéré, à la suite d’un comité de la FDA en 2007, que ces substances ne devraient être administrées qu’à partir de l’âge de 3 ans.

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Une faible alimentation affecte le cerveau du foetus

Il a été remarqué, chez les femmes ayant moins mangé durant la première moitié de leur grossesse, une baisse de la connexion des cellules, de leur division et d’éléments du développement chez le fœtus.

Ce sont là les résultats d’une récente étude de l’Université du Texas ayant porté sur deux groupes de primates et récemment parue dans Proceedings of the National Academy of Sciences.

L’un desdits groupes a reçu une alimentation 30 % plus petite que le second durant la période citée.

On savait déjà que la famine pouvait atteindre le cerveau du fœtus, mais c’est la première fois que l’on démontre qu’une variation de l’alimentation peut en atténuer le développement.

Les effets en sont par la suite nombreux, comme un plus faible quotient intellectuel et un plus haut risque de troubles du comportement, par exemple.

Dans la présente étude, on a aussi remarqué une augmentation de l’incidence de l’autisme, de la schizophrénie, de la dépression et d’autres problèmes mentaux.

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Apprendre à nager ferait croître l’intelligence de l’enfant

D’après Times of India, des chercheurs de l’Université Griffith à Queensland, en Australie, ont pu constaté l’influence de la nage sur les jeunes enfants.

Ils souhaitaient déterminer quels étaient les effets sur leurs compétences physiques, sociales, intellectuelles et celles reliées au langage.

Pour ce faire, ils ont suivi pendant 2 ans plus de 10 000 enfants. Ces derniers étaient âgés de cinq ans et moins.

Une première constatation a été que les enfants de cet âge qui font de la natation sur une base régulière ont tendance à avoir plus confiance en eux que les autres enfants de leur âge.

L’étude menée par la professeure Robyn Jorgensen a été réalisée selon les progrès observés en classe de natation. Elle s’est poursuivie auprès de 60 petits nageurs, lesquels fréquentaient des écoles australiennes choisies au hasard.

C’est de cette façon que l’on a pu remarquer que les enfants ayant appris à nager dès leur tout jeune âge avaient un QI plus élevé que ceux qui ne l’avaient pas appris au même moment.