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Grossesse : un manque de vitamine D peut affecter le futur langage des enfants

Selon une étude australienne, les enfants nés de mères qui avaient un niveau de vitamine D de moins de 46 nmol/L, notamment lors du deuxième trimestre de la grossesse, ont été presque deux fois plus susceptibles d’avoir des problèmes de langage, une fois qu’ils ont été âgés de 5 à 10 ans.

Si des difficultés de développement du langage et neurologiques, et éventuellement des facultés affaiblies, ont été remarquées par les chercheurs, aucune relation n’a toutefois été découverte entre le manque de vitamine D maternel et les problèmes comportementaux ou affectifs chez les enfants, rapporte Pediatrics.

Depuis une dizaine d’années, plusieurs analyses mettent en lumière l’impact de la réduction ou du manque de vitamine D chez les femmes en âge de procréer sur la santé des futurs enfants. Une étude précédente avait d’ailleurs identifié une association entre le moment de la grossesse (premier trimestre au printemps ou en hiver, manque de soleil) et le risque de sclérose en plaques.

L’analyse actuelle a inclus 743 femmes blanches qui ont fourni des échantillons de sang à 18 semaines de grossesse, un moment clé pour le développement neurologique du fœtus.

Bien qu’une étude observationnelle ne puisse pas prouver un lien de causalité, il existe un lien biologique entre le taux de vitamine D de la mère et le développement du fœtus.

La vitamine D a un rôle de signalisation dans la différenciation neuronale, un rôle de régulation dans le métabolisme des facteurs neurotrophiques et les neurotoxines, et un rôle protecteur lors de l’inflammation du cerveau, confirment les auteurs de l’étude.

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Le cadmium nuit au développement neurologique des enfants

Des scientifiques de la Harvard School of Public Health, à Boston, ont découvert que les jeunes, majoritairement des garçons, qui avaient un haut taux de cadmium dans leur urine étaient plus susceptibles d’avoir des troubles d’apprentissage ou d’avoir recours à des services d’éducation spécialisée.

Cependant, aucune relation entre l’exposition au cadmium et un trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDHA) n’a été décelée, rapporte le site Environmental Health Perspectives.

Le cadmium peut inhiber le flux de calcium nécessaire à la libération de neurotransmetteurs, et peut ainsi perturber la communication neuronale nécessaire à la formation du réseau synaptique au cours du développement.

Il y a aussi des preuves que le cadmium pourrait affecter indirectement le développement du cerveau en perturbant la fonction des hormones thyroïdiennes, affirment les chercheurs.

Le cadmium est présent naturellement dans la croûte terrestre, et les gens y sont exposés à la fois par des processus naturels et des activités humaines, telles que la combustion de combustibles fossiles et l’incinération des déchets. Ce métal pénètre dans l’approvisionnement alimentaire en étant absorbé par les plantes et les animaux.

En plus de nuire au développement neural des enfants, ce dernier est également connu pour être nocif pour les reins.

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Le cadmium nuit au développement neurologique des enfants

Des scientifiques de la Harvard School of Public Health, à Boston, ont découvert que les jeunes, majoritairement des garçons, qui avaient un haut taux de cadmium dans leur urine étaient plus susceptibles d’avoir des troubles d’apprentissage ou d’avoir recours à des services d’éducation spécialisée.

Cependant, aucune relation entre l’exposition au cadmium et un trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDHA) n’a été décelée, rapporte le site Environmental Health Perspectives.

Le cadmium peut inhiber le flux de calcium nécessaire à la libération de neurotransmetteurs, et peut ainsi perturber la communication neuronale nécessaire à la formation du réseau synaptique au cours du développement.

Il y a aussi des preuves que le cadmium pourrait affecter indirectement le développement du cerveau en perturbant la fonction des hormones thyroïdiennes, affirment les chercheurs.

Le cadmium est présent naturellement dans la croûte terrestre, et les gens y sont exposés à la fois par des processus naturels et des activités humaines, telles que la combustion de combustibles fossiles et l’incinération des déchets. Ce métal pénètre dans l’approvisionnement alimentaire en étant absorbé par les plantes et les animaux.

En plus de nuire au développement neural des enfants, ce dernier est également connu pour être nocif pour les reins.

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Tabagisme et grossesse : plus grave encore

Selon une nouvelle étude parue dans le Journal of Human Capital, le tabagisme durant la grossesse augmenterait de 40 % les risques pour le bébé de vivre des problèmes de développement entre 3 et 24 mois.

Ce nouveau constat est pire que ce que l’on croyait jusqu’ici. Il semble que les bébés dont la mère a fumé la cigarette pendant la grossesse sont plus enclins à souffrir de problèmes de développement neurologique.

On espère que cette nouvelle découverte encouragera encore plus de futures mamans à arrêter de fumer durant la période prénatale.

La recherche en question a porté sur près de 1 600 enfants, lesquels provenaient d’Argentine, du Brésil et de la Chine.

Près de 11 % des mères de l’étude avaient fumé durant leur grossesse. Il s’agit de la plus vaste étude ayant porté sur le développement neurologique en lien avec le tabagisme qui ait été réalisée jusqu’ici.

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Retards cognitifs dus aux pesticides

Une récente recherche a démontré que les enfants qui sont exposés à des insecticides ont plus souvent des retards. Un ingrédient a été ciblé, le pipéronyl butoxide, une substance mélangée aux pesticides pyréthrinoïdes pour augmenter l’efficacité des produits.

Ayant suivi 350 enfants, des chercheurs américains ont pu constater que l’exposition à ces substances était liée à des retards de développement mental à l’âge de 3 ans. En fait, les risques en étaient plus élevés de 1,32 fois, peut-on lire dans Pediatrics.

De plus, les enfants qui avaient été le plus exposés aux insecticides avaient trois fois plus de risques d’accuser un retard dans leur développement mental. Aucun lien n’a toutefois été fait avec le développement psychomoteur.

La présente étude vient donc soutenir ce que l’on a déjà tenté de démontrer plusieurs fois auparavant et les résultats préliminaires seront utiles pour établir de futures hypothèses.