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La caféine permettrait de lutter contre le développement de l’Alzheimer

Une nouvelle étude avance et confirme que la caféine permettrait bel et bien de lutter contre le développement de la démence et de la maladie d’Alzheimer, rapporte Santé Log.

C’est une équipe de l’Université de Bonn, en Allemagne, et de l’Université de Lille, en France, qui s’est penchée sur les effets bienfaiteurs présumés de la caféine en prévention de l’Alzheimer.

L’équipe conjointe franco-allemande a rapidement observé les effets protecteurs de la caféine sur des souris, qui se voyaient mieux protégées contre le développement de certaines protéines (notamment la protéine Tau) associées à la maladie d’Alzheimer.

Cette récente étude va de pair avec de précédentes recherches sur le sujet, qui confirmaient presque toutes les effets préventifs du café et de la caféine sur la mémoire et le déclin cognitif.

Les effets seraient observables à la suite d’une consommation « régulière à modérée », ce qui laisse entendre que les accros du café possèdent un avantage marqué en prévention de l’Alzheimer.

D’autres études seront nécessaires avant de confirmer ces observations, mais les chercheurs ont bon espoir de pouvoir confirmer la théorie, et même d’utiliser d’autres molécules relatives à la caféine pour possiblement créer une forme de traitement de la maladie.

Les conclusions tirées de l’étude franco-allemande ont été publiées dans le magazine Neurobiology of Aging.

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L’exercice pendant la jeunesse entraine une structure osseuse plus résistante

Une nouvelle recherche effectuée par le professeur Stuart Warden et son équipe a été réalisée auprès de joueurs de baseball professionnels. Leur parcours pendant la jeunesse, leur carrière et leur retraite ont été pris en considération.

Warden a réalisé que l’exercice physique pendant l’enfance et l’adolescence permettait d’augmenter la force et même la grosseur des os, rapporte Medical News Today. Cela dit, ces caractéristiques perduraient, selon les résultats, pendant toute la vie, c’est-à-dire même jusqu’à 80 ans.

Plus spécifiquement, la moitié de la grosseur des os demeurait, ainsi que le tiers de la force de ceux-ci. « C’est un niveau de maintien impressionnant », rapporte le professeur, « particulièrement considérant que certains joueurs de baseball ne s’étaient pas exercés pendant plus de 50 ans ».

Ainsi, Warden conseille fortement aux enfants de faire au moins une heure d’exercice par jour, dont le tiers doit être consacré à une activité faisant travailler tout le squelette. Entre autres, la course, la corde à sauter, le tennis, le soccer, le basketball ou le volleyball.

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Les yogourts faibles en gras pourraient prévenir le diabète

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des yogourts faibles en gras en prévention du diabète.

L’étude en question, publiée par des chercheurs britanniques, suggère de fortes propriétés préventives en matière de diabète à ces produits, qui pourraient contribuer à réduire le nombre de cas de diabète de type II.

Les chercheurs parlent d’une réduction des risques pouvant même aller jusqu’à 30 % chez les personnes qui consomment ces yogourts quotidiennement, comparativement à celles qui n’en consomment pas du tout.

D’autres produits laitiers fermentés pourraient avoir des impacts similaires sur la santé, selon l’équipe de chercheurs basée à l’Université de Cambridge, par exemple certains fromages à faible teneur en gras.

« Ce que notre étude démontre surtout est que le yogourt devrait faire partie d’un régime équilibré », lance le Dr Nita Forouhi, qui dirige ces recherches.

Foruhi fait cependant remarquer que cette étude ne démontre pas de cause à effet, mais que certaines statistiques ne mentent pas.

Les apports en calcium, magnésium et vitamine D seraient tous des facteurs qui contribueraient à un risque réduit de développement du diabète de type II.

Ces conclusions et observations ont été publiées dans le journal Diabetologia.

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Quand les enfants sont endeuillés

Si votre enfant perdait un ami, sauriez-vous être à son écoute et répondre à ses questions? Voilà de quoi parle la thérapeute Heather Edwards sur le site PsychologyToday.com.

Elle explique que le processus de deuil des enfants est similaire à celui des adultes et qu’ils doivent comme nous vivre leurs émotions, les comprendre, en parler, etc.

En tant que parents, il peut être dur de voir son enfant vivre une telle tristesse. Que ce soit un camarade de classe, un membre de la famille ou un animal domestique, l’enfant aura grand besoin de soutien et de réconfort.

Mme Edwards souligne l’importance d’expliquer à l’enfant endeuillé qu’il est tout à fait normal de pleurer, que ça fait partie du processus de guérison. Ensuite, vous pouvez aider l’enfant à mieux comprendre ce qu’est la mort en lui répondant franchement, mais avec finesse.

Encouragez l’enfant à se remémorer les beaux souvenirs associés à la personne ou l’animal décédé. Cela lui permettra entre autres de réaliser que même après la mort, une partie reste, en dedans de nous, et que nous pouvons la faire revivre par nos souvenirs.

Finalement, tentez le plus possible de conserver leur routine habituelle; école, repas, devoir et sport. Vous lui offrirez ainsi un sentiment de sécurité et de normalité, chose nécessaire pour un enfant vivant un tel événement.

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Le stress des mères est contagieux

Les bébés peuvent non seulement ressentir le stress de leur mère, mais ils seraient aussi affectés physiologiquement.

Les résultats d’une récente recherche menée par Sara Waters, chercheuse postdoctorale à l’Université de Californie à San Francisco, ont été publiés dans le journal Psychological Science.

« Notre recherche démontre que les enfants “attrapent” et incarnent le résidu physiologique des expériences stressantes de leur mère », explique-t-elle.

Alors que le synchronisme émotionnel entre partenaires amoureux a déjà été identifié, la même chose à cette fois été observée entre mère et enfant. Une expérience simple a été effectuée auprès de 69 mères et leurs bébés de 12 à 14 mois.

Munies de capteurs cardiovasculaires, les mères avaient entre autres à prononcer un discours de 5 minutes devant des évaluateurs. Selon l’évaluation reçue, la lecture cardiovasculaire était de bonne à négative. Une fois l’exposé terminé, les bébés, aussi munis de capteurs, étaient réunis avec les mères.

Ceux dont la mère avait reçu de mauvais commentaires ont démontré une augmentation du rythme cardiaque. Plus la mère se sentait stressée, plus le bébé le démontrait aussi.

Voilà qui fournit un important rappel sur l’impact de notre vie, nos choix et nos émotions sur ceux de nos enfants.

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Votre enfant de 4 ans se masturbe, comment réagir?

Il peut être difficile d’accepter de voir son enfant de 2, 3 ou 4 ans toucher ses parties intimes avec insistance. Mais dites-vous que les spécialistes répondront tous la même chose à votre interrogation : « Ils le font parce que c’est agréable », informe une psychologue en milieu scolaire citée par She Knows.

Malgré ce jeune âge, les enfants apprennent à explorer les plaisirs sous toutes ses formes. Pour eux, leurs parties intimes, tout comme les jouets, sont simplement à leur disposition.

Bien entendu, il faut intervenir si votre jeune prend l’habitude trop fréquente d’y glisser sa main à la moindre occasion ou devant les gens. Vous devez lui mentionner que ces gestes se font dans l’intimité de sa chambre.

Les deux éléments importants à retenir sont, d’une part, l’inquiétude si l’enfant semble en connaître un peu trop sur le sujet à un très jeune âge. Cela pourrait signifier un abus, et il serait avisé de garder l’œil ouvert et de faire appel à un spécialiste de la santé.

Ensuite, votre réaction ne doit pas être désapprobatrice ou laisser sous-entendre que le geste est honteux. « La réaction de l’adulte peut avoir des conséquences importantes sur la santé sexuelle de l’enfant », informe la thérapeute spécialisée Tammie Easton.

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Un pesticide lié à des cas d’Alzheimer

Top Santé rapporte les conclusions proposées par une équipe de chercheurs américains concernant un type de pesticide, le DDT, qui pourrait favoriser le développement de la maladie d’Alzheimer.

C’est ce que croient les spécialistes des universités Rutgers et Emory, qui publient leurs observations dans le Journal of the American Medical Association.

L’étude, menée notamment par le Dr Allan Levey, révèle : « Le DDE, composant actif restant après que le DDT a été métabolisé par le corps, est près de quatre fois plus élevé dans le sang des personnes atteintes d’Alzheimer que dans celui des témoins sains. C’est l’une des premières études à identifier un important risque environnemental pour la maladie Alzheimer ».

« L’ampleur de l’effet du DDT est importante, comparable au facteur génétique le plus courant prédisposant à la maladie d’Alzheimer. Le DDT peut rester dans l’organisme de huit à dix ans et le DDE, son métabolite, s’accumule dans les tissus alors que les personnes vieillissent. Ceci pourrait aider à expliquer le fait que l’âge est le plus grand facteur de risque d’Alzheimer. »

Même si le pesticide DDT est interdit sur le territoire américain depuis 1972, le Dr Levey et ses collègues expliquent que nous mangeons toujours des fruits et légumes en provenance d’autres pays qui n’ont pas les mêmes législations que les pays nord-américains.

L’équipe derrière ces résultats veut poursuivre et pousser ses recherches encore plus loin.

On estime que les cas d’Alzheimer vont doubler d’ici 2020, notamment en lien avec le vieillissement de la population.

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L’importance du babillage dans le développement de la parole chez l’enfant

« Notre analyse démontre que le babillage du bébé, lors de l’échange entre le parent et l’enfant, représente un indice important du développement présent et futur de la parole », a déclaré Patricia Kuhl, coauteure de la recherche, dans un communiqué.

Pour les besoins de la recherche, les enfants participants, âgés d’un an, portaient des vestes contenant des enregistreurs audio. L’objectif était de relever des indices sur l’environnement sonore de chaque enfant sur une période de 8 heures, pendant 4 jours consécutifs. On calculait ainsi le nombre d’interactions sociales.

D’autre part, les chercheurs ont analysé des milliers d’extraits vocaux de 30 secondes entre des parents et leur bébé pour relever la répétition de schémas spécifiques.

Il appert que les parents qui mettent l’accent sur les voyelles et changent le ton de leur voix ont une meilleure réponse de la part de l’enfant. Celui-ci tente plus souvent de reproduire les mots.

« Il ne faut pas simplement parler, parler, parler à l’enfant », explique Kuhl. « Il est plus important de travailler l’interaction et l’intérêt autour du langage. »

Les détails de l’étude peuvent être consultés ici

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Combattre la migraine chez l’enfant par la thérapie

Selon TopSanté.com, des séances de thérapie cognitivo-comportamentale seraient une bonne alternative aux traitements médicamenteux pour les enfants souffrant de migraine.

L’Institut National de la Santé (Inserm) nous informe que la prise de médicaments pour combattre les épisodes migraineux chez les jeunes entraine une accoutumance doublée d’une résistance accrue à la médication.

Le 25 décembre dernier, les résultats d’une recherche intéressante sont parus dans un article du Journal of the American Medical Association.

Les chercheurs du Centre de la migraine de l’hôpital de Cincinnati, aux États-Unis, ont soumi 135 migraineux chroniques âgés de 10 à 17 ans à un traitement médicamenteux. Ceux qui avaient aussi participé à des séances de thérapie cognitivo-comportementale ont montré de meilleurs résultats que ceux n’ayant eu que le médicament.

Pour le docteur Luigi Titomanlio, pédiatre et neurologue à l’hôpital Robert-Debré de Paris, il s’agit d’une excellente nouvelle. Il explique au journal Le Figaro qu’il est démontré scientifiquement que l’appréhension de la crise de migraine fait que l’enfant se concentre sur la douleur, ce qui en amplifie l’intensité.

La thérapie aide à gérer les craintes et diminue donc l’intensité. Par la bande, on prévient ainsi l’abus de médicaments antalgiques.

Il reste à savoir si c’est un moyen qui pourrait aussi être utilisé par les adultes.

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Manger des noix pendant la grossesse?

Selon Gwen Dewar, anthropologue biologique et créateur de Parenting Science, il est grand temps de revoir certaines pratiques concernant l’alimentation durant la grossesse et l’allaitement.

Selon elle, il ne serait possiblement pas nécessaire d’éviter d’exposer l’enfant aux allergènes. Par exemple, on craignait qu’exposer un bébé aux arachides via l’allaitement puisse faire en sorte que son système immunitaire réagisse négativement.

Cependant, malgré la hausse de l’abstinence des nouvelles mères depuis des années, l’allergie aux noix a atteint des hausses record. C’est pourquoi il va de soi de supposer qu’en exposant les bébés aux substances potentiellement allergènes, le système immunitaire les considérerait comme sécuritaires plutôt que dangereuses.

De plus amples recherches devront être conduites avant de pouvoir prouver l’un ou l’autre. En effet, celles déjà menées faisaient fi de certains facteurs comme la consommation du père avant la conception et la possibilité de transmission génétique.

N’empêche, il semblerait pour le moment que les enfants de mères ayant consommé plus de 5 portions de noix par semaine soient moins nombreux à souffrir d’allergie.

Tenez-vous au courant et informez-vous auprès d’un allergologue.