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Un animal domestique pour les jeunes

Vous faites peut-être partie des milliers de parents s’étant fait demander un animal domestique pour Noël.

Vous savez qu’un animal est un être vivant qui requiert de l’attention, des soins et des dépenses. Mais qu’en est-il de vos jeunes? Alors que plusieurs jugent leurs enfants trop irresponsables pour en prendre soin, avoir un animal domestique pourrait les responsabiliser et leur apprendre beaucoup sur les bonnes valeurs.

Un article paru sur le site Lovingyourchild.com explique comment le fait d’avoir la responsabilité d’un animal peut bénéficier au développement de l’enfant.

Préparer les jeunes à un éventuel ami à poil en achetant, par exemple, une litière à l’avance, y verser un peu d’eau de temps à autre permet de voir si les enfants font un bon travail en la nettoyant assez régulièrement. Pour un chien, vous pouvez acheter les bols de nourriture et d’eau et les vider de temps à autre, afin de vérifier si les enfants vont remplir les contenants vides régulièrement.

L’Europeen Pet Food Industry, pour sa part, mentionne la grande quantité d’études qui démontrent que les enfants ayant la responsabilité d’un animal tendent à avoir une meilleure emprise sur certains concepts de la vie. Ils développent plus facilement de l’empathie en apprenant à être responsables du bonheur, de la santé et du comportement de leur animal, qui offre en retour amour et loyauté.

Jugez-vous vos enfants prêts?

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Grossesse multiple et nutrition

Lorsqu’on attend un bébé, notre apport calorique doit augmenter. Quand on attend plusieurs bébés, les besoins augmentent en conséquence.

Selon un article paru sur Parenting.com, plusieurs ajustements devraient être apportés à votre mode de vie afin d’offrir à vos bébés tout ce dont ils nécessitent pour bien se développer.

D’abord, il serait préférable de changer les communs 3 repas par jour en 5 repas, soit 3 repas complets et 2 bonnes collations. Les éléments à prioriser sont, entre autres, le fromage, la viande, les noix et les oeufs ainsi que beaucoup de fruits et légumes.

Un ajout de 300 calories par bébé, quotidiennement, est recommandé. Alors qu’il est normal de prendre entre 20 à 25 livres par bébé, n’hésitez pas à consulter si vous trouvez que vous prenez trop ou trop peu de poids.

À l’aide de votre médecin de famille, vous devriez toujours mettre au point la diète appropriée à votre condition personnelle et voir avec lui si vous avez besoin de suppléments vitaminés. Assurez-vous également de boire assez d’eau pour que votre urine soit incolore.

En suivant bien les directives reçues, vous augmenterez les chances de mettre au monde de beaux bébés en santé et de diminuer les risques de naissances prématurées.

 

Crédit Photo: Freedigitalphoto.net
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Le syndrome de l’illusion du bébé

Parus dans la revue Current Biology, les résultats d’une recherche australienne expliquent le syndrome de l’illusion du bébé.

C’est à l’université de Swinburne que des chercheurs ont découvert que les parents ont souvent la fausse perception que le plus jeune de la famille est plus petit qu’il ne l’est en réalité.

Lors de la naissance d’un deuxième enfant, par exemple, ce n’est pas moins de 70 % des mères qui vivraient cette illusion. Qui plus est, après l’arrivée d’un nouveau bébé, l’enfant plus âgé semblerait souvent avoir grandi d’un trait au court de la nuit.

Les experts expliquent que ce lien n’est pas seulement dû au fait que le premier enfant est physiquement plus grand que le nouveau-né, mais qu’il est alors aussi dorénavant perçu comme plus vieux qu’il ne l’est vraiment.

La déformation de la perception a été d’autant plus concrétisée lorsque les chercheurs ont demandé à 747 mères d’évaluer la grandeur de leur plus vieux et de leur nouveau-né. Alors qu’elles estimaient assez précisément la grandeur du plus âgé, elles ont sous-estimé la taille du nouveau-né d’une moyenne de 7,5 cm.

L’expression « le bébé de la famille » serait donc plus qu’un rang familial. Le petit dernier sera toujours considéré comme le « bébé ».

Crédit Photo: Freedigitalphotos.net

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Le Pape François glorifie l’allaitement

Lors d’une entrevue accordée à La Stompa, le Pape François s’est fait questionner au sujet des enfants affamés.

Entre autres choses, il a déclaré : « Les mères qui allaitent ne devraient pas avoir honte de le faire quand leurs petits ont faim. » 

 

Il ajoute ensuite une anecdote :« L’autre jour, lors de l’audience générale de mercredi, une mère qui se tenait de l’autre côté de la barrière avait son bébé d’à peine quelques mois dans les bras. Quand je suis passé juste à côté, le petit pleurait à chaudes larmes. La mère le caressait. J’ai dit : “Madame, je crois qu’il a faim ‘ à quoi elle a répondu : ‘Oui, je crois qu’il est temps.’ Je lui ai dit de le nourrir. Elle était timide et n’a pas voulu l’allaiter en public alors que le Pape était là. Je souhaite dire la même chose à toute l’humanité : Donnez à manger à ceux qui ont faim!»

Crédit Photo: Freedigitalphotos.net

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Les antidépresseurs et l’autisme

Alors que le fardeau de la prise de traitements médicamenteux contre les troubles d’humeur continue d’augmenter, des chercheurs se sont penchés sur l’effet de ces médicaments sur l’état de santé des enfants à naître, plus particulièrement les troubles cognitifs et les risques d’autisme.

C’est dans la revue scientifique New England Journal of Medecine que les résultats d’une récente étude sur le sujet ont été publiés.

Les médicaments spécifiquement visés dans cette recherche étaient ceux de recapture de sérotonine comme Zoloft, Prozac et Paxil, pour ne nommer que ceux-là.

Les chercheurs danois stipulent que « rien ne prouve que les antidépresseurs pris pendant la grossesse augmentent le risque d’autisme chez le futur enfant ».

Malgré que les risques de donner naissance à en enfant mort-né est complètement exclu, le risque d’avoir un enfant souffrant d’autisme augmente réellement quand les traitements sont pris avant de devenir enceinte. On parle ici de 46 % d’augmentation de risque quand la future mère a consommé des antidépresseurs quelques mois avant la grossesse.

Peu importe ces résultats, dès l’annonce d’une grossesse, il est important de consulter un médecin et de l’aviser de vos récentes et actuelles habitudes afin d’offrir à votre futur bébé les meilleures chances de naître en santé.

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Stimulez le cerveau de bébé à naître avec le sport

C’est une étude menée par le professeur canadien Dave Ellemberg qui révèle les bienfaits du sport chez les femmes attendant un enfant.

Pour en arriver à ces résultats, le site psychoenfants.fr explique que les chercheurs ont divisé un groupe de femmes enceintes en deux. Un groupe était constitué de futures mamans sédentaires, et celles de l’autre groupe étaient sportives.

Les bébés nés de mères actives ont démontré un système d’activation cérébrale plus développé que les autres. Plus simplement dit, le cerveau des bébés s’en est trouvé mieux développé.

Peu d’efforts sont requis pour arriver à de tels résultats. En effet, tout ce qui était demandé à ces femmes était de faire une activité sportive, notamment de la marche, de la natation ou encore du vélo, et ce, pendant 20 minutes, 3 fois par semaine.

Les responsables de cette étude espèrent que ces informations encourageront les futures mères qui, bien entendu, n’ont pas de grossesse à risque, à faire du sport dès qu’elles apprennent l’arrivée d’un enfant.

De plus amples recherches seront effectuées auprès des mêmes enfants lorsqu’ils atteindront l’âge d’un an afin de voir si leur cerveau continue à se développer mieux que les autres.

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Les garçons préfèrent les poupées aux camions

Alors que nous offrons généralement des camions et bonshommes aux petits garçons, et des poupées de toutes sortes aux petites filles, une nouvelle recherche dévoile que nous faisons peut-être un faux pas.

En effet, selon le MedicalXpress, les chercheurs du MARCS Institute Babylab d’une université de Sydney dévoilent que les bébés garçons préféreraient les poupées aux camions et aux voitures.

Pour en venir à ce résultat, les spécialistes ont exposé des bébés de 4 et 5 mois à des images d’humains, hommes et femmes, et ensuite de poupées, de voitures et de fours de cuisine.

Ils ont ensuite observé l’intensité et la longévité du regard des bambins pour chacune des images. « Aussi surprenant que ça puisse être, alors que la chose commune à faire est d’offrir des poupées aux filles et des camions aux garçons, l’expérience suggère que les garçons préfèrent en fait les poupées », déclare l’auteure de la recherche, la Dre Paola Escudero.

Le choix traditionnel de jouet pour les tout-petits devrait peut-être être modifié pour mieux répondre aux intérêts réels de l’enfant.

Cependant, il est aussi démontré que vers l’âge de 3 ans, les garçons préfèrent en effet jouer à la construction et aux camions plutôt qu’à des jeux considérés comme féminins.

Offririez-vous une poupée à votre garçon?

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Un nouveau traitement aux multiples fonctions serait en développement

Top Santé rapporte que des spécialistes français travaillent à l’élaboration d’un nouveau type de médicament possiblement capable de traiter, ou plutôt de prévenir, plusieurs maladies et troubles de la santé simultanément.

Ce médicament découlerait de la découverte d’une molécule bien spéciale appelée LNP 599, capable de freiner le développement du diabète, réduire les risques d’AVC, ralentir la progression de l’obésité et améliorer la santé cardiovasculaire.

Les chercheurs français, basés à Strasbourg, considèrent la molécule comme l’une des plus grandes découvertes médicales potentielles du 21e siècle, après plus de 15 ans de recherche. La particularité de la molécule et du médicament subséquent résiderait dans le fait qu’elle agit sur le système nerveux, et non sur les organes.

« Notre idée était de chercher une espèce de chef d’orchestre qui nous permettrait, en modifiant le rythme de ces régulations par une cible unique de modifier tous les symptômes à la fois. Et nous avons réussi avec cette molécule », lance non sans fierté et avec beaucoup d’optimisme le spécialiste Pascal Bousquet, à la chaîne France 3.

Les essais cliniques se poursuivent, après plusieurs tests concluants sur des rongeurs, et l’équipe française croit pouvoir terminer ses recherches sur ce médicament du futur au cours des prochaines années.

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Des chercheurs découvrent un nouveau code génétique

Des scientifiques et chercheurs ont fait la découverte d’un « nouveau » code génétique de l’ADN humain, une trouvaille incroyable, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

La découverte de ce deuxième code, ou langage, de l’ADN serait celui qui indique les impacts des changements génétiques sur la santé, explique l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington.  

« Depuis quarante ans, nous avons présumé que les changements de l’ADN affectant le code génétique affectaient seulement comment les protéines sont produites. Maintenant, nous savons que cette présomption ratait la moitié du portrait global. Le fait que le code génétique puisse écrire simultanément deux types d’information signifie que les changements qui altèrent les séquences de protéines pourraient causer des maladies en changeant les contrôles génétiques, ou même les deux mécanismes en même temps », tente d’expliquer le Dr John Stamatoyannopoulos, directeur de ces incroyables travaux.

Ces recherches pourraient changer la donne en matière de diagnostic et de traitements de plusieurs maladies, grâce à l’étude et l’analyse de l’ADN d’un sujet donné, et pourraient radicalement changer la compréhension du processus génétique.

Le tout premier code génétique avait été découvert en 1960.

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Les enfants adoptés peuvent souffrir de l’interruption du lien mère-enfant

Une nouvelle étude a utilisé l’imagerie du cerveau par résonnance magnétique chez 67 jeunes de 4 à 17 ans, lesquels étaient orphelins ou adoptés, pour mesurer les conséquences de l’interruption du lien maternel.

Lorsque ce cordon invisible est coupé chez l’enfant, il appert que le développement de l’amygdale, partie du cerveau responsable des émotions, du plaisir et de la peur, se trouve altéré.

Cela engendre une « convivialité aveugle », qui fait en sorte que les enfants peuvent être tentés de rechercher ce lien maternel sans la réticence habituelle qu’un enfant ressent envers un étranger. 

Une photo de leur mère adoptive était présentée aux enfants participants, puis une photo d’une femme inconnue. Les tuteurs devaient répondre à un questionnaire relativement à la curiosité et l’exploration de l’enfant, ainsi qu’à sa capacité à faire confiance.

« Même si les enfants ont développé un attachement envers leurs parents adoptifs, la période de privation du lien mère-enfant dans la petite enfance avait déjà modifié la structure du cerveau.  Et les comportements conséquents peuvent persister plus tard », a expliqué Aviva Olsavsky, psychiatre au Semel Institute for Neuroscience and Human Behavior.

Le détail de la recherche a été publié dans la revue Biological Psychiatry.