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Que faire si bébé combat la sieste d’après-midi?

Comme l’indique le site Parenting, ce sommeil réparateur est le remède tout indiqué pour l’irritabilité des bébés. En fait, entre 6 et 9 mois, les nourrissons devraient faire deux siestes ou dormir environ 3 heures durant la journée.

Voici donc quelques trucs pour vous aider :

Soyez attentif aux signaux de fatigue – Tenez un journal quotidien, jusqu’à ce que vous soyez en mesure de déterminer la ou les heures auxquelles votre enfant est fatigué. Remarquez les changements abrupts de comportement, s’il passe d’une phase énergique à inactive, s’il baille ou s’il frotte ses yeux. Dès lors, mettez bébé au lit.

Faites une sieste avec lui – Déterminez deux moments dans la journée, en matinée et en après-midi, où vous vous sentez fatigué. Profitez-en pour coordonner ces moments avec le biberon ou l’allaitement et sombrez vous aussi dans les bras de Morphée. Votre état encouragera votre enfant à se laisser aller également.

Portez-le jusqu’à ce qu’il s’endorme – Non, ce n’est pas une mauvaise habitude. Au contraire, si vous bercez votre enfant ou vous promenez avec lui jusqu’à ce qu’il ferme les yeux, il appréciera ce moment de détente. Ensuite, faites la transition vers le lit ou la balançoire pour bébé.

Faites dormir bébé pendant que vous faites votre jogging – Plusieurs nourrissons s’endorment plus facilement lorsqu’ils sont en mouvement. Pourquoi ne pas en profiter pour faire votre exercice?

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Trop de temps d’écran réduit les capacités intellectuelles des enfants

Comme le mentionne SheKnows, il y a plus de 30 ans, il n’y avait que Sesame Street et son pendant francophone, Passe-Partout, qui constituaient des émissions de télévision éducatives pour les enfants.

Aujourd’hui, toutes les chaînes de télé se disputent les cases horaires pour abreuver les jeunes d’émissions de toutes sortes. Sans compter que désormais, nous avons les tablettes et iPod qui maximisent le temps passé devant les écrans.

Or, selon la Dre Rita Eichenstein, spécialisée en développement psychologique et en neuropsychologie, le phénomène de l’abrutissement devant l’écran influence directement la pensée de l’enfant. « C’est principalement dû au caractère passif du visionnement à l’écran. »

C’est une étude canadienne, menée auprès de 2000 enfants de 2 ans et demi, qui mentionne que chaque heure de trop passée devant la télévision indispose les enfants d’âge préscolaire à effectuer la transition vers la maternelle. Les chercheurs ont noté que plus les enfants étaient exposés à la télévision, pires étaient leurs aptitudes mathématiques, leur vocabulaire et leur attention.

De même, ceux-ci avaient des capacités physiques réduites, et un risque beaucoup plus élevé de subir de l’intimidation à la maternelle.

Pour l’article complet, suivez ce lien.

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Viagra féminin : le dossier avance rondement

Encore une étape vers la matérialisation et la commercialisation d’un « Viagra féminin » semble avoir été franchie, selon ce que rapporte Top Santé.

« Plusieurs médicaments visant à doper le désir sexuel des femmes sont en cours d’essai aux États-Unis. Ils s’adressent aux 10 à 30 % de femmes qui souffrent d’un manque de libido », titre le magazine Libération.

Contrairement au Viagra déjà connu, qui favorise l’érection chez l’homme de façon physiologique, le produit destiné aux femmes stimulerait plutôt la libido.

Le dossier provoque beaucoup de réactions à travers le monde, tantôt sympathiques, tantôt réfractaires, alors qu’on approche d’un lancement probable du produit.

Un spécialiste américain, Andrew Goldstein, affirme clairement la « nécessité de ne pas transformer les femmes en nymphomanes », alors que pour Odile Buisson, gynécologue, plusieurs femmes « présentent une insensibilité cérébrale aux stimulations sexuelles, et ces troubles du désir peuvent générer une détresse psychique ainsi que des difficultés dans les rapports aux autres ».

Il semble que les plus récents essais cliniques aient été suffisamment concluants, et que la commercialisation serait envisageable au courant de l’année 2015 ou 2016.

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La France s’attaque au problème des ondes

Le débat sur les ondes et leurs impacts sur nos sociétés fait rage depuis l’explosion technologique que l’on connait, mais aussi depuis que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu les dangers potentiels de l’émission massive d’ondes diverses.

La France décide donc de se pencher activement sur le dossier, rapporte Top Santé, et dépose un rapport sur l’exposition aux ondes par ses concitoyens.

Ce dernier, rédigé par un comité d’experts, conclut que l’exposition aux ondes doit être réduite par une diminution de sa concentration, donc qu’elle doit être mieux répartie.

En clair, au lieu de compter sur quelques antennes superpuissantes, il faudrait plutôt les disséminer et compter sur plusieurs antennes et relais, ce qui en donnerait à peu près trois fois plus qu’en ce moment, sur le territoire français.

La polémique entourant les ondes et leur potentiel cancérigène est à son paroxysme avec l’arrivée des nouvelles technologies et du système WiFi, par exemple, offerts partout.

Une députée française, Catherine Grèze, termine avec cette réflexion : « … à l’heure de la course vers toujours plus de fonctions sur nos téléphones mobiles, nécessitant une couverture toujours plus forte, a-t-on vraiment besoin d’avoir accès à la télévision mobile où que l’on soit? »

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Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

anté Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Des apports en poisson réduiraient les risques d’arthrite

Plusieurs bienfaits du poisson et des huiles de poisson ont maintes fois été démontrés, mais de récentes études ajoutent une nouvelle corde à leur arc.

Selon les renseignements rapportés par Medical News Today, des apports hebdomadaires en poisson (une portion de poisson gras par semaine, ou encore quatre de poisson maigre) permettraient de réduire de façon significative les risques de développer des problèmes d’arthrite.

C’est une étude publiée dans le magazine Annals of the Rheumatic Diseases qui soulève cette hypothèse, notamment en ce qui concerne l’arthrite rhumatoïde.

Réalisée par des chercheurs suédois basés à la Karolinska Institute, l’étude parle de risques réduits de l’ordre de 30 % à 50 % chez les personnes qui consomment régulièrement du poisson depuis une période d’environ 10 ans.

Ces conclusions se basent sur les observations effectuées auprès de 32 000 femmes de 2003 à 2010, des femmes qui avaient auparavant déjà participé à ce genre d’étude dans les années 1990. 

En ajoutant les habitudes alimentaires, notamment en matière de poisson, aux données précédemment obtenues, les chercheurs concluent à la véracité de la théorie. 

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Retarder la maternelle : pour ou contre?

SheKnows rapporte les conséquences avantageuses, mais également le côté moins positif d’une telle décision. Est-ce que vous patienterez 1 an de plus avant d’envoyer votre enfant à la maternelle?

Avantages

Une recherche du National Bureau of Economic Research démontre que les enfants qui vont à la maternelle 1 an plus tard sont moins enclins à doubler la 3e année. Ils obtiennent également de meilleurs résultats en mathématiques et en lecture plus tard dans leur cheminement scolaire.

Les parents, quant à eux, décident de retarder d’un an pour que leur enfant soit mieux préparé socialement, et plus mature pour la discipline et l’apprentissage. Ils n’ont pas tort. Une année supplémentaire fait une grande différence. Certains parents, qui en sont à leur 2e enfant, sont justement encouragés dans cette voie à la suite des difficultés rencontrées par le premier enfant.

Inconvénients

Bien entendu, il y a des études pour contredire les résultats cités plus haut. Notamment, ceux qui vont à la maternelle plus tard, selon l’École de médecine de l’Université de Rochester, développent plus de problèmes comportementaux.

La différence sur le plan physique est flagrante pour des enfants de 4 à 6 ans. Ceux qui sont plus âgés ressentent cette différence et peuvent être rejetés.

En plus, si votre enfant prend de la maturité plus rapidement que prévu, il peut facilement s’ennuyer à la maternelle, et vous aurez plus de difficulté à le motiver quant à l’école par la suite.

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Formule pour nourrisson : prudence!

Un seul pays sur 5 respecte les recommandations du Code international de commercialisation des substituts du lait maternel de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Juste à temps pour la Semaine mondiale de l’allaitement maternel, l’OMS publie un rapport rappelant l’importance du lait maternel au cours des 6 premiers mois de vie d’un bébé.

En fait, il est recommandé de les en nourrir exclusivement pendant cette période. Nourrir son enfant au sein lui permet de jouir d’une prévention de surpoids, d’obésité et de diabète, d’un développement cognitif maximisé et d’anticorps.

Sur Santé Log, on fait le point sur la situation en expliquant bien les recommandations et les chiffres y étant liés. Surtout, on rappelle l’importance de l’allaitement et on lève le voile sur les risques des substituts de lait maternel.

Entre autres, ces préparations ne contiennent pas les anticorps nécessaires aux nourrissons pour se développer adéquatement et peuvent entraîner la malnutrition par leur trop forte dilution.

Vous pouvez prendre connaissance du rapport entier en cliquant ici (anglais seulement).

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Tabagisme passif et l’agressivité chez l’enfant

Le site Psychoenfants.com publie un article concernant les effets du tabagisme passif sur le comportement des jeunes.

La fumée secondaire ayant une plus grande concentration de polluants que celle inhalée par les fumeurs, c’est elle qui a été mise de l’avant dans cette recherche.

Linda Pagani et Caroline Fitzpatick de l’Université de Montréal ont lancé un sérieux cri d’alarme à la suite de leur recherche sur le sujet. L’étude menée par les deux femmes a analysé 2055 enfants canadiens exposés à la fumée de cigarette, de leur naissance jusqu’à l’âge de 10 ans.

Nous savons depuis longtemps que le tabagisme passif est nocif pour les non-fumeurs, adultes et enfants. Elle est mauvaise pour la santé physique, et les résultats de cette recherche ont démontré qu’une exposition à long terme ou temporaire à la fumée secondaire serait bel et bien liée à des comportements agressifs et antisociaux chez les enfants.

Les chercheuses sont même arrivées à prédire l’agressivité et l’anti-sociabilité des enfants uniquement par ce lien. C’est-à-dire que les troubles comportementaux étaient présents même s’ils n’étaient exposés que pendant la grossesse ou encore s’ils ne venaient pas d’un milieu agressif ou violent.

Le tabagisme passif est donc pointé du doigt directement comme étant une des causes principales de ces troubles comportementaux.

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Les cauchemars chez les petits

Nous avons tous de mauvais rêves à l’occasion. En tant qu’adultes, nous sommes plus en mesure de distinguer la réalité de la fiction, mais ce n’est pas si aisé pour les petits.

Sur le site PsychologyToday, un article conseille les parents pour gérer les crises nocturnes des enfants ayant des cauchemars. Alors que certains pourraient être tentés de laisser l’enfant dormir auprès d’eux ou même de s’endormir avec lui dans son lit, il serait fortement déconseillé de le faire.

Comme les cauchemars sont souvent le miroir de notre état d’esprit, une observation de ce qui se passe dans la vie de notre enfant et une intervention pourraient aider.

À plus court terme, plusieurs trucs peuvent être aussi, sinon plus efficaces pour faire comprendre à l’enfant que les cauchemars font partie de la vie et l’aider à combattre ses peurs.

Le rassurer, prendre une minute pour fouiller la chambre avec lui pour lui montrer qu’il n’y a pas de monstres ou de méchants, lui laisser une lampe de poche à portée de main et même mettre une affiche sur sa porte mentionnant « Monstres interdits » peut avoir un effet positif.

Le lendemain, encouragez-le à parler de son mauvais rêve et même à dessiner le monstre ou le méchant. En y ajoutant des éléments drôles ou sympathiques, votre enfant pourrait ainsi apprendre à moins craindre ce type de personnage.