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Parler sexe et intimité avec les jeunes

Alors qu’il se pourrait que le sujet soit plutôt tabou dans certains foyers, il n’en reste pas moins que le sexe fait partie de la vie de tous, et qu’il est préférable d’en parler en famille que de laisser vos jeunes tenter d’apprendre par eux-mêmes sur le web.

Cité sur PsychologyToday, le Dr John Chirban de Harvard explique l’importance de l’approche holistique du sujet afin de bien faire comprendre que le sexe n’est pas seulement l’acte physique ou faire des bébés. Le sexe, c’est aussi l’intimité, le plaisir, l’amour, l’amitié, la passion et la communication.

Il mentionne d’ailleurs que pour vous, en tant qu’être sexué et parent, il serait infiniment plus facile de faire comprendre la sexualité à vos enfants si vous vous êtes vous-même questionné sur le sujet. 

En analysant votre propre sexualité, vos attentes et ce que cela vous procure sur le plan des cinq sphères reliées (physique, émotionnelle, sociale, relationnelle et spirituelle), il vous sera plus aisé de bien communiquer avec vos enfants sans tomber dans les clichés et ce que les anciens apprentissages vous ont possiblement inculqué.

Une base solide les aidera à faire l’important lien entre le sexe, l’intimité et l’amour.

 

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L’insécurité alimentaire liée aux troubles de comportement

Une longue étude menée par les chercheurs de l’INSERM a démontré un lien plutôt direct entre la précarité alimentaire et certains problèmes comme la dépression, la difficulté de concentration, l’anxiété et l’hyperactivité chez l’enfant.

À noter que l’INSERM qualifie la précarité alimentaire d’« accès restreint, inadéquat ou incertain à des aliments sains et nutritifs » causé par « des difficultés financières ».

Malheureusement, ce serait plus de 10 % des Occidentaux qui seraient dans cette situation, ce qui est plutôt alarmant.

Pour l’étude, ce sont les données de 2120 enfants québécois qui ont été analysées en deux étapes. D’abord entre 18 mois et 4 ans et demi, puis à l’âge de 4 à 8 ans. Les enfants ayant vécu cette insécurité comptaient pour 5,9 % du groupe.

Le constat est que ces jeunes étaient 3 fois plus enclins à souffrir des troubles mentionnés plus haut. Les enfants se retrouvent souvent à consommer trop de sucre et de matières grasses, en plus d’une ration insuffisante de fer, entre autres.

Dans le rapport publié par la revue scientifique Plos One, il est mentionné : « L’incapacité des parents à s’occuper de façon régulière et satisfaisante de l’alimentation de la famille pourrait fragiliser le lien parents-enfants dans la petite enfance, avec des effets sur le développement des enfants à long terme ».

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Pourquoi bébé n’a-t-il pas peur des hauteurs?

Ce n’est pas avant l’âge d’environ 9 mois qu’un bébé commencera à comprendre le danger de se « lancer » dans le vide.

Par exemple, il saisira qu’il ne faut pas rouler en bas de la table à langer ou qu’il ne doit pas aller dans les marches. Avant cet âge, les petits sont de véritables casse-cou!

Selon une nouvelle étude publiée dans le Psychological Science, une revue de l’Association for Psychological Science, les nourrissons développent la peur des hauteurs à la suite de leurs expériences mobiles dans leur environnement.

Alors qu’il s’agit d’une habileté essentielle à la survie, des chercheurs ont tenté de déterminer pourquoi elle n’était pas développée plus tôt.

En plaçant les enfants près d’un vide virtuel, dans ce cas une table recouverte de verre qui révélait l’étage en dessous, plutôt que d’en avoir peur, ils se sont montrés captivés par le vide.

Les chercheurs présument que cette période d’intrépidité pourrait servir à explorer notre environnement et à l’élaboration de stratégies de déplacement, ce qui aide à s’adapter au terrain. Étrangement, les chutes et blessures liées à cette inhibition ne jouent aucun rôle sur le développement de la crainte.

« Paradoxalement, une tendance à explorer des situations à risque peut être l’une des forces du développement des compétences », écrivent les chercheurs.

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Les appareils électroniques à bannir de la chambre

C’est du moins ce que prétendent certains spécialistes si l’on se fie à un article paru sur le Daily Mail.

Des chercheurs finlandais se sont penchés sur le sujet en questionnant 353 enfants de 10 et 11 ans sur leurs habitudes d’utilisation de la télé et de l’ordinateur ainsi que leurs habitudes de sommeil. Les mêmes enfants ont été questionnés à nouveau 18 mois plus tard.

Comme on pouvait s’y attendre, ceux jouant plus à l’ordinateur et regardant plus la télévision ne cessaient pas à une heure raisonnable pour se coucher. Même chose pour les soirs de semaine, alors qu’ils avaient de l’école le lendemain.

Alors que ces enfants bougent généralement moins, ils ont plus d’énergie vers l’heure du coucher et restent donc éveillés plus longtemps que les enfants plus actifs physiquement. De plus, la lumière des écrans causerait certains changements sur le plan hormonal, ce qui nuirait au processus de la fatigue.

Les résultats ont aussi démontré que les garçons seraient plus affectés que leurs congénères féminines.

En conclusion, Teija Nuutinen, de l’Université de Helsinki, dit que les appareils électroniques devraient être gardés hors de la chambre des enfants.

Elle a ajouté : « Les enfants ont besoin de sommeil supplémentaire, car ils passent par la puberté, et notre étude montre que la télévision et l’ordinateur ont une incidence négative sur le sommeil des enfants. Cela est particulièrement vrai au cours de la semaine, alors qu’il peut y avoir des répercussions sur leur travail scolaire ainsi que leur développement ».

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Est-ce que bébé se développe normalement?

Des conseils d’Anne Zachry, une professionnelle du développement de l’enfant, sont énoncés sur le site Parenting Squad.

Entre autres, si votre enfant présente une ou plusieurs des anomalies suivantes, il serait très important de consulter.

Vers 3 mois, s’il ne peut suivre un objet des yeux, ne sourit pas, ne contrôle pas les mouvements de sa tête ou semble trop mou ou trop raidi lorsqu’il est tenu.

Vers les 6 mois, s’il n’arrive pas à se retourner du ventre vers le dos, n’utilise qu’un seul côté de son corps, n’attrape pas d’objet, ne rit pas ou ne réagit pas à des jeux de style « coucou ».

Vers 9 mois, s’il ne peut s’asseoir, n’arrive pas à se retourner dans les 2 sens, ne gazouille pas ou ne raidit pas les jambes pour se tenir debout quand vous le tenez.

Vers 12 mois, s’il ne parle pas du tout, ne pointe pas du doigt, évite les contacts visuels, fait des mouvements répétitifs de la tête ou des mains.

Vers 18 mois, s’il démontre une mauvaise sociabilité, des tremblements ou n’arrive pas à pointer les parties de son corps.

Vers 2 ans, s’il n’arrive pas à imiter des actions simples ou répéter des mots et/ou faire des phrases d’au moins 2 mots ou encore répète continuellement une action telle que vider un panier et y remettre le contenu.

Tous ces signes pourraient vouloir dire que votre enfant souffre d’un retard du développement. N’hésitez pas à vous informer auprès de votre pédiatre.

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Dormir ailleurs que chez lui affecte bébé

Publiés sur le site MedicalXpress.com, les résultats d’une recherche menée à l’Université de la Virginie dévoilent que les bébés dormant une à plusieurs nuits par semaine ailleurs que chez eux développeraient une insécurité.

L’attachement est défini par un lien émotionnel profond et durable entre un bébé et son principal fournisseur de soins, qui se retrouve majoritairement être la mère. Il se développe principalement durant la première année de vie.

Ce type d’attachement joue un rôle important alors qu’il fournit une base pour les relations et l’attachement plus tard dans la vie adulte. Avec le nombre grandissant de séparations, les enfants se trouvent souvent déplacés de chez un parent à l’autre.

Pour cette raison, Dre Samantha Tornello, auteure principale de cette étude, mentionne le besoin pour la justice de se pencher sur les besoins réels de l’enfant lors des procès pour sa garde. « Les juges se trouvent parfois à offrir la garde à un ou l’autre des parents sans vraiment tenir compte des besoins réels de l’enfant ni savoir ce qui se passe chez un parent ou l’autre », dit-elle.

« Je voudrais que les nourrissons et les tout-petits soient solidement attachés aux deux parents, mais je suis plus inquiet qu’il ne soit solidement fixé à aucun des parents », a déclaré M. Emery, le conseiller en recherche de Mme Tornello.

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L’attachement est défini par un lien émotionnel profond et durable entre un bébé et son principal fournisseur de soins, qui se retrouve majoritairement être la mère. Il se développe principalement durant la première année de vie.

Ce type d’attachement joue un rôle important alors qu’il fournit une base pour les relations et l’attachement plus tard dans la vie adulte. Avec le nombre grandissant de séparations, les enfants se trouvent souvent déplacés de chez un parent à l’autre.

Pour cette raison, Dre Samantha Tornello, auteure principale de cette étude, mentionne le besoin pour la justice de se pencher sur les besoins réels de l’enfant lors des procès pour sa garde. « Les juges se trouvent parfois à offrir la garde à un ou l’autre des parents sans vraiment tenir compte des besoins réels de l’enfant ni savoir ce qui se passe chez un parent ou l’autre », dit-elle.

« Je voudrais que les nourrissons et les tout-petits soient solidement attachés aux deux parents, mais je suis plus inquiet qu’il ne soit solidement fixé à aucun des parents », a déclaré M. Emery, le conseiller en recherche de Mme Tornello.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les bienfaits des soins kangourou pour les prématurés

Selon une étude dont les résultats ont été publiés dans le Journal of Newborns & Infant Nursing Reviews, le contact constant entre la mère et son bébé prématuré aurait une quantité de bienfaits assez surprenants.

En effet, le contact peau contre peau apporterait au bébé né avant terme un meilleur développement du cerveau et un sommeil amélioré. De plus, cela lui offrirait une meilleure régulation de sa température et de son rythme cardiaque, car il copierait celle de sa mère, en plus d’absorber certains bénéfices immunitaires via la peau de maman.

Les soins kangourou (SK), « Kangaroo care », ou « KC », en anglais, nécessitent un grand dévouement de la part des parents, puisqu’un contact peau à peau est requis pratiquement 24 heures sur 24, le père prenant la relève pour laisser à maman certaines pauses bien méritées.

Cette pratique permettrait entre autres aux petits de quitter l’hôpital trois semaines en moyenne avant les autres prématurés. L’auteur de l’étude, Susan Ludington-Hoe, de Case Western Reserve University’s Frances Payne Bolton School of Nursing, dit que « [l]es SK sont maintenant considérés comme une thérapie essentielle afin de promouvoir un meilleur développement chez les bébés nés avant terme. »

Des hôpitaux partout dans le monde devraient donc commencer à promouvoir ce processus afin d’aider la petite famille à retourner à la maison le plus vite possible, et ce, avec un bébé à la santé maximisée.

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En effet, le contact peau contre peau apporterait au bébé né avant terme un meilleur développement du cerveau et un sommeil amélioré. De plus, cela lui offrirait une meilleure régulation de sa température et de son rythme cardiaque, car il copierait celle de sa mère, en plus d’absorber certains bénéfices immunitaires via la peau de maman.

Les soins kangourou (SK), « Kangaroo care », ou « KC », en anglais, nécessitent un grand dévouement de la part des parents, puisqu’un contact peau à peau est requis pratiquement 24 heures sur 24, le père prenant la relève pour laisser à maman certaines pauses bien méritées.

Cette pratique permettrait entre autres aux petits de quitter l’hôpital trois semaines en moyenne avant les autres prématurés. L’auteur de l’étude, Susan Ludington-Hoe, de Case Western Reserve University’s Frances Payne Bolton School of Nursing, dit que « [l]es SK sont maintenant considérés comme une thérapie essentielle afin de promouvoir un meilleur développement chez les bébés nés avant terme. »

Des hôpitaux partout dans le monde devraient donc commencer à promouvoir ce processus afin d’aider la petite famille à retourner à la maison le plus vite possible, et ce, avec un bébé à la santé maximisée.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Un nouvel analyseur de pleurs de bébé

Comprendre les pleurs de bébé… ne serait-ce pas magnifique? Nous ne sommes apparemment plus si loin de ce qui semblait relever de la science-fiction il y a quelques années à peine, lit-on sur Medical News Today.

Pourtant, des chercheurs de l’Université Brown et de la Women & Infants Hospital du Rhode Island ont mis au point un outil qui le rend possible. L’appareil analyse les différentes acoustiques produites et les compartimente par son, par volume, par silence et par caractéristique de fréquence.

L’intérêt des chercheurs ne date pas d’hier. Ce sont en fait de vieilles recherches des années 1960 qui ont été reprises. À ce moment, le phénomène du « cri du chat » avait attiré l’attention des spécialistes.

La maladie du cri du chat, ou syndrome de Lejeune, est un trouble génétique rare qui est dû à une délétion d’une partie du chromosome 5. Le nom de cette maladie vient du cri monochromatique aigu qui permet son diagnostic. La plupart des enfants atteints décèdent à un jeune âge, et les survivants ont un profond retard mental.

Comme cette maladie est détectable par les cris, on pense que plusieurs autres pourraient ainsi être découvertes très tôt après la naissance d’un bébé, pour ainsi lui offrir un soutien le plus tôt possible.

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Coucher son enfant à heures fixes contribue à un bon développement cérébral

Des recherches anglaises montrent que le développement cérébral des jeunes enfants peut dépendre d’un horaire de coucher régulier.

Des scientifiques de l’University College de Londres ont trouvé que le manque de rigueur sur l’heure du coucher au quotidien pouvait avoir des effets sur l’horloge biologique de l’enfant et, par conséquent, sur les aptitudes cérébrales à se souvenir et à enregistrer de nouvelles informations.

Leurs résultats ont montré que les effets étaient particulièrement frappants chez les petits de trois ans. Les enfants de cette classe d’âge avaient de moins bons résultats en mathématiques, en lecture et en repérage dans l’espace que les petits du même âge qui se couchaient tous les jours à la même heure. 

« Trois ans semble être l’âge où l’on perçoit les effets les plus importants », a noté la chercheuse Amanda Sacker.

« Si un jeune enfant se couche à des horaires irréguliers, il ne synthétise pas toutes les informations autour de lui et aura plus de difficultés lorsqu’il sera plus grand. Cela lui fait prendre une direction plus compliquée. »

Amanda Sacker et son équipe ont analysé des données de 11 178 Anglais alors âgés de sept ans qui entrent désormais dans l’adolescence.

Alors que l’heure à laquelle les enfants se couchaient n’avait que très peu voire aucune conséquence sur leur performance à différents tests, le fait de ne pas avoir d’horaire de coucher fixe influait grandement sur les résultats. 

Les résultats étaient plus significatifs pour les filles. En effet, lors de tests passés à l’âge de trois, cinq et sept ans, les filles ayant des horaires de coucher moins fixes enregistraient de moins bons résultats que leurs camarades. Pour les garçons moins bien réglés, leurs résultats aux tests étaient moins bons dans deux catégories d’âge sur trois.

Cette étude est parue en ligne le 8 juillet dans Journal of Epidemiology and Community Health.

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La vitamine B9 contre l’autisme

Les résultats d’une étude internationale basée en Norvège ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) concernant les bienfaits du folate (vitamine B9) dans le combat contre l’autisme.

Ce sont plus de 85 000 enfants dont la mère a pris ou non des suppléments qui ont été observés. Une baisse de 40 % des risques de syndrome autistique a été observée chez les bébés dont la mère avait consommé le supplément d’acide folique dès le début de la grossesse jusqu’à sa fin.

Il a aussi été estimé que les mêmes enfants, vers l’âge de 3 ans, avaient 2 fois moins de risque de développer un important retard du langage.

Ayant participé à la recherche à partir de l’Université Columbia à New York, le professeur et docteur en épidémiologie Ezra Susser a commenté ces résultats : « Ils confortent des travaux antérieurs sur l’importance du folate dans le développement du cerveau et accroissent la possibilité d’un important moyen de prévention peu coûteux pour réduire le fardeau de l’autisme ».

Il est cependant important de préciser qu’un lien entre le syndrome d’Asperger, une forme d’autisme, et le folate n’a pas été trouvé.

En plus des comprimés, bon nombre d’aliments possèdent naturellement de la vitamine B9, soit les légumes à feuilles, les œufs, les haricots, les lentilles et les pois.