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Comment se rapprocher de ses enfants

Alors que le rôle de parent veut souvent dire de causer des déceptions et frustrations chez nos enfants (refus de sortie, imposition de règles, désaccords, etc.), il est aussi de notre devoir d’équilibrer le bonheur de nos petits.

Sur le site PsychologyToday, on fait mention d’une recherche qui aurait déterminé que pour chaque échange négatif, il en faudrait 5 positifs pour équilibrer une relation.

Ceci dit, si vous êtes à court d’idées sur comment embellir votre relation parent-enfant, on vous en mentionne une vingtaine. En voici quelques-unes qui sont fort simples et qui pourraient être appliquées tous les jours :

– Les câlins du matin. Réveiller son enfant en le câlinant, quelle belle façon de commencer la journée!

– Glissez une petite note positive dans sa boîte à lunch.

– Dites à votre enfant qui s’en va quelque part de s’amuser plutôt que de ne pas faire de bêtises.

– Chantez ensemble. Si votre enfant chatonne une chanson que vous connaissez, joignez-vous à lui!

– À l’heure du souper, demandez à chaque membre de la famille le point fort et le point faible de leur journée. Surtout, écoutez.

– Riez de ses blagues, même si elles sont franchement mauvaises.

– Finalement, si vous le pouvez, éteignez votre téléphone dès que vous en avez la chance. Personne n’aime parler à quelqu’un qui a le nez dans son cellulaire.

 

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L’anémie de grossesse

Les résultats de différentes recherches effectuées par une équipe de la Harvard School of Public Health viennent confirmer l’importance d’un bon apport de fer pendant la grossesse.

En effet, la prise de suppléments ferreux fait croître le taux d’hémoglobine de la future maman et a pour effet de diminuer les chances de souffrir d’anémie et d’avoir un bébé de faible poids.

Publiés dans la nouvelle édition du British Medical Journal ce 21 juin dernier, les résultats ont identifié la relation dose-réponse; plus hautes les doses de fer étaient administrées aux participantes, moins elles souffraient d’anémie, et plus le poids de leur bébé était élevé.

En tout, c’est plus de 18 000 femmes qui ont participé à ces recherches, tant dans les pays riches que ceux en développement.

Il est à noter que malgré l’effet positif de la supplémentation de fer pendant la grossesse, elle ne devrait pas être systématique, en raison des effets secondaires qui y sont liés, et parce que la posologie est souvent diminuée de quotidiennement à 2 ou 3 fois par semaine pour limiter les effets indésirables.

Seules les futures mères avec une anémie confirmée par test sanguin devraient considérer une telle option.

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La « démence numérique » : un nouveau phénomène à prévoir?

Des spécialistes sud-coréens avancent une nouvelle théorie, rapporte le Daily Mail (UK), qui fait état d’un mal contemporain qui serait appelé à prendre de l’ampleur.

Il s’agit d’un phénomène baptisé « démence numérique » par les chercheurs, qui se définit par une perte des performances cognitives due à la surutilisation des technologies modernes.

C’est après avoir conduit des recherches préliminaires sur des groupes d’adolescents que les spécialistes sud-coréens ont constaté que la démence numérique n’était probablement pas qu’une théorie.

Ils ont en effet constaté que les sujets de l’étude les plus dépendants des technologies actuelles (les téléphones intelligents, les ordinateurs, les jeux vidéo et les médias sociaux, par exemple) souffrent d’une détérioration de leurs capacités cognitives.

En clair, plus on compte sur des objets et des technologies pour penser et se souvenir, moins on est capable de le faire par nous-mêmes.

Plusieurs sujets se sont révélés incapables de se souvenir de détails simples sans avoir recours à leur téléphone ou à un autre appareil.

Les chercheurs s’inquiètent particulièrement de la surutilisation de ces appareils par les enfants de 10 à 19 ans, dont le cerveau est en pleine formation et progression.

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Découverte sur l’anticipation des nourrissons

Un article paru sur le site de MedicalXpress parle de cette habileté des bébés à reconnaître quand ils seront soulevés par leurs parents.

Il s’agit d’une surprise pour les chercheurs, alors que l’on ne croyait pas que le développement nécessaire se produisait en si bas âge.

Les recherches du professeur Vasu Reddy de l’Université de Portsmouth ont révélé que les bébés aussi jeunes que 2 mois savent déterminer quand ils seront pris. Ils s’ajustent donc en raidissant leur corps et en cessant de bouger afin de faciliter la tâche.

Le professeur Reddy explique : « Nous ne nous attendions pas à obtenir des résultats aussi clairs. À la suite de ceux-ci, nous nous permettons de croire que cette aptitude pourrait même être observée encore plus tôt, possiblement peu après la naissance ».

« Les nouvelles données suggèrent qu’il faudrait revoir notre façon d’évaluer le développement des jeunes enfants, car ils démontrent une capacité de compréhension des actions des autres envers eux bien avant ce que l’on croyait jusqu’à maintenant. »

Autre bonne nouvelle, il est suggéré que ces révélations pourraient aussi être utilisées à type d’indicateur hâtif pour déterminer des troubles du développement chez les nourrissons, incluant l’autisme.

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Le tabagisme de grossesse et la surdité

Une étude menée par le Dr Michael Weitzman de la NYU School of Medecine à New York a dévoilé un lien entre l’exposition fœtale à la fumée du tabac et des problèmes de surdité à l’adolescence.

Publiés hier (20 juin) dans le journal JAMA Otoryngology – Head and Neck Surgery, les résultats faisaient la comparaison entre les fœtus exposés et non exposés.

Sur 1000 enfants âgés de 12 à 15 ans, 16 % avaient été exposés à la cigarette alors que leur mère était enceinte. Ces enfants souffraient tous d’une forme quelconque de perte globale de l’audition et avaient, en comparaison aux fœtus non exposés, 3 fois plus de chance de souffrir de perte d’audition et de basse fréquence dans une des deux oreilles.

Deux autres professionnels de l’audition ont admis ne pas être surpris par cette nouvelle. « Il s’agit là d’une condition qui a déjà été décrite pour la population adulte. C’est donc logique que ça s’applique aussi aux enfants de fumeurs », a déclaré le Dr Ian Storper, directeur d’otologie au Center for Hearing and Balance Disorder de l’hôpital Lenox Hill à New York.

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Les dessins animés et le sommeil des enfants

Alors que les enfants s’esclaffent devant Bugs Bunny qui sert une paire de gifles à Donald Duck, cette violence, qui peut nous sembler anodine, les empêcherait de bien dormir.

Un récent article publié dans le journal Pediatrics révèle les résultats d’une recherche sur le sujet. La qualité du sommeil d’enfants âgés de 3 à 5 ans a été analysée alors qu’ils avaient l’habitude d’écouter des dessins animés contenant une certaine forme de violence avant le dodo.

Ces enfants avaient tendance à avoir un sommeil plus agité que les enfants regardant des émissions ne comportant aucune ou très peu de violence.

Les émissions telles que ScoobyDoo, Bugs Bunny et Sponge Bob ont été nommées parmi celles qui affectaient le sommeil, alors que Sesame Street, Dora l’exploratrice et Curious George étaient considérées comme plus appropriées.

Les chercheurs spécifient qu’il n’est pas nécessaire de s’alarmer, mais qu’il faudrait tout de même considérer les meilleures options pour nos bambins.

En tant qu’adultes, nous sommes relativement désensibilisés à la violence, surtout celle qui nous semble plutôt banale dans les dessins animés, mais il n’en est pas de même pour les enfants.

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Les garderies à l’aide des mères dépressives et leur famille

Il est estimé que 30 à 40 % des nouvelles mamans souffriront un jour ou l’autre de dépression. Devant ces chiffres, des chercheurs canadiens ont effectué une étude afin de déterminer s’il était préférable d’envoyer les enfants de mères dépressives à la garderie.

Les résultats de la recherche publiés dans le journal JAMA Psychiatry se sont montrés fort concluants, alors que seulement 7 % des enfants suivis qui allaient à la garderie montraient des signes de problèmes émotionnels, contre 32 % pour ceux qui restaient exclusivement avec leur mère.

À la lumière de ces chiffres, Alan Kadzin, professeur en psychiatrie infantile œuvrant à la réputée Université Yale, a déclaré : « Le message principal à retenir est l’énorme différence qu’offre le service de garderie à ces enfants. Ce n’est pas anodin, mais il ne s’agit pas de simple gardiennage ».

Malheureusement, l’incidence de la dépression rend souvent les mères affectées moins engagées, consistantes et à l’écoute. Elles ont une tendance plus négative avec leurs petits.

En garderie, ces enfants jouissent d’un contact social important, de jeux, jouets et activités, pendant que les mères vivant le stress de la dépression peuvent se reposer.

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Grossesse : prendre du fer deux fois par semaine seulement est aussi efficace

Pour des femmes enceintes, prendre un complément alimentaire de fer deux fois par semaine est aussi efficace qu’une prise quotidienne pour le poids de l’enfant à la naissance et son développement, selon une étude publiée mardi (18 juin).

En outre, les femmes prenant du fer sur une base bihebdomadaire oublient moins souvent d’avaler ce complément, selon les auteurs de cette recherche internationale parue dans la revue américaine PLoS Medicine.

Ces derniers ont constaté que cette fréquence de prise d’un complément de fer pouvait améliorer le développement cérébral des enfants à six mois.

Ces résultats sont importants, car le fer est essentiel pour la formation de l’hémoglobine, une protéine des globules rouges qui fixe l’oxygène et le transporte dans le sang de la mère et du foetus.

Des carences de fer provoquent de l’anémie, une condition médicale qui affecte plus de deux milliards de personnes dans le monde.

Les chercheurs, dirigés par Beverley Biggs de l’Université de Melbourne en Australie, sont parvenus à ces conclusions en comparant la fréquence des prises de complément de fer et d’acide folique (vitamines B) chez des femmes enceintes dans une région semi-rurale du Vietnam.

Un premier groupe de 425 femmes a pris ce complément quotidiennement, et l’autre groupe de 407 femmes l’a pris deux fois par semaine.

Les auteurs de l’étude n’ont constaté aucune différence de poids à la naissance chez les enfants dans les deux groupes ainsi que dans le nombre de prématurés, de fausses couches ou de mortalité néonatale. À six mois, il n’y avait pas non plus de différence dans les niveaux d’hémoglobine chez les enfants, de prévalence d’anémie ou dans les taux de croissance.

En revanche, ces chercheurs ont observé que les enfants nés de mères qui avaient pris le complément de fer-acide folique deux fois par semaine avaient un meilleur développement cognitif que ceux dont la mère prenait ce complément quotidiennement.

 

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Nos petits parlent vraiment

Les résultats d’une nouvelle recherche conduite par les experts de l’Université de Newcastle publiés sur le site de MedicalXpress démontrent que le langage de nos petits est largement plus élaboré que nous le pensions.

C’est en utilisant des systèmes d’enregistrement sophistiqués afin d’enregistrer des milliers de paroles d’enfants âgés entre 23 et 37 mois.

La Dre Cristina Dye, spécialiste en développement du langage, s’est exprimée sur le sujet en disant : « Beaucoup de bambins que nous avons étudiés ont fait un petit bruit, un souffle léger ou une pause exactement à l’endroit où un mot grammatical devrait normalement être prononcé ».

« Le fait que le son a été produit toujours au bon endroit dans la phrase nous mène à croire que les jeunes enfants connaissent bien des mots grammaticaux. Ils sont beaucoup plus sophistiqués dans leur compétence grammaticale que nous l’avions supposé. »

« Il y a aussi des implications pour le retard de la compréhension du langage chez les enfants. Quand les enfants n’apprennent pas à parler normalement, cela peut entraîner des problèmes graves plus tard dans la vie. Par exemple, ceux qui en souffrent sont plus susceptibles de souffrir d’une maladie mentale ou d’être au chômage plus tard dans la vie. Si nous pouvons comprendre ce qui est “normal” dès que possible, nous pourrons intervenir plus tôt afin d’aider ces enfants. »

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User d’humour pour parler sexe avec nos enfants

Selon le renommé Freud et les explications données sur PsychologyToday, l’humour serait une excellente façon de relâcher la tension face au sexe.

Étant un sujet relativement tabou, même chez les adultes, il est parfois franchement inconfortable de recevoir une question de cette nature de notre petit de 7 ans!

Les enfants sont curieux, et le sexe fera partie de leurs questionnements un jour ou l’autre. Fréquentant d’autres enfants à l’école, par exemple, il se pourrait bien qu’il arrive un jour en vous demandant ce que veut dire « le faire » ou qu’est-ce que « la chose » des filles ou vice-versa.

Les chances sont qu’il trouvera les mots utilisés par ses camarades drôles et gênants. Premièrement, il est conseillé de ne pas ignorer la question. Si vous ne comprenez pas les termes utilisés, posez la question : « Qu’est-ce que tu crois que ça signifie ». Montrez-vous ouvert. Après tout, vous êtes parmi les parents chanceux de jouir d’une telle confiance de votre enfant.

En général, les enfants trouvent que tout ce qui concerne la sexualité est drôle ou « dégueu ». En effet, si vous utilisez les mots « vagin » et « pénis », votre enfant risque de s’écrouler de rire ou rougir de gêne. Utilisez ces mots et l’humour dont il fait preuve, s’ils sont appropriés.

Après tout, la sexualité est une belle chose et n’a pas à être discutée avec les sourcils froncés!