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Gérer l’agressivité de notre enfant

Sur le site PsychologyToday, Laura Markham, docteure en psychologie et blogueuse, explique sous forme d’exemple ce qu’elle juge être le meilleur moyen de faire face à une agression verbale et physique de nos enfants.

Elle précise que bien qu’il soit presque impossible de rester calme devant une telle agression, c’est pourtant ce qu’il faut faire. Comme les enfants apprennent à gérer leurs émotions selon notre propre capacité à le faire, elle suggère d’accepter les sentiments de l’enfant en crise, d’émettre une limite claire de ce qui est acceptable et d’apprendre à gérer nos propres émotions de façon à réagir de façon respectueuse.

Dans l’exemple utilisé par Dre Markham, il est question d’une mère qui n’a malheureusement pas le choix de revenir sur une promesse faite à son enfant. Enragé, il la frappe sur le bras.

La technique employée par la mère est de demander la motivation de son fils pour avoir réagi ainsi. Elle écoute et comprend ce qu’il lui dit. Une fois la discussion terminée et réglée, elle lui fait mention de sa blessure en expliquant bien pourquoi ce n’est pas acceptable et discute avec lui de différentes solutions de rechange pour exprimer sa colère.

Donc en résumé, on respire, on compte jusqu’à 10 et on intervient de façon calme et respectueuse, exactement comme on s’attend à ce que notre enfant le fasse la prochaine fois.

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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Les effets de la négligence et de sévices chez l’enfant

Si l’on se fie à la pyramide des besoins de Maslow, afin de bien se développer, il nous faut combler nos besoins physiologiques, de sécurité, d’appartenance et d’amour, d’estime et d’accomplissement de soi. Ce n’est malheureusement pas le cas de chacun.

Le site Medical News Today publie une recherche mettant de la lumière sur l’importance d’un traitement hâtif pour les jeunes victimes de sévices émotionnels et de négligence.

Les résultats d’un total de 42 recherches ont été compilés auprès d’enfants respectant ces critères. Entre autres, les sujets observés, d’âge préscolaire avec des cas de négligence et de sévices confirmés, ont démontré certaines formes d’agression, de réserve, de passivité, de retard du développement, de troubles de communication, de sensibilité et de critique.

De plus, il est dit que sans intervention, ces enfants, tous âgés de 0 à 6 ans, subissaient une détérioration de la connaissance émotionnelle, des fonctions cognitives et du langage.

L’étude a conclu que « les conséquences à long terme comprennent des problèmes physiques et de santé mentale, des déficiences en matière linguistique, sociale et de communication, ainsi que des effets graves sur le développement du cerveau et le fonctionnement hormonal. Une intervention hâtive a le potentiel de changer la vie de ces enfants ».

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Prévention des dommages cérébraux chez les nouveau-nés

C’est sur le site Medicalxpress que nous apprenons cette nouvelle. À la suite d’une récente recherche faite par les spécialistes de l’Université de Manchester, il serait démontré que même les bébés souffrant de la moins sévère forme d’hyperinsulinisme présenteraient des risques de handicaps à long terme ainsi que des dommages au cerveau.

L’hyperinsulinisme est caractérisé par un taux sanguin d’insuline qui dépasse la norme et, par le fait même, abaisse le taux de glucose qui, lui, cause de l’hypoglycémie. Il s’agit en fait du contraire clinique du diabète.

L’étude a démontré qu’on dénote des signes de dommage au cerveau causé par ce phénomène chez le tiers des enfants de bas âge.

Ayant participé à la recherche, la Dre Karen Cosgrove de la Faculté des sciences de l’université déclare : « Notre nouvelle recherche prouve qu’il est important pour tous les bébés souffrant de ce mal d’être rapidement traités afin de prévenir une trop grande baisse de sucre dans le sang ».

Alors que les répercussions peuvent être très importantes, il existe cependant de très bons moyens de prévenir le tout en réajustant le taux sanguin avec la découverte hâtive du problème.

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Les nausées matinales et les antihistaminiques

Une récente étude conduite par l’équipe de Marlena Fejzo de l’Université de Californie à Los Angeles fait état de nouveaux liens entre les nausées matinales et certains troubles observés chez les nouveau-nés.

Les femmes souffrant d’hyperemesis gravidarum, sévères nausées et vomissements lors de la grossesse, ont plus tendance à pencher vers l’utilisation d’antihistaminiques afin de trouver le sommeil malgré leurs symptômes.

Celles qui sont atteintes se trouvent parfois à être gravement malades tout au long de leur grossesse, n’arrivant pas à se nourrir. À force de vomir, certaines se défoncent les tympans, se fêlent des côtes, et d’autres ont même eu un décollement de la rétine ou l’œsophage déchiré. Voilà, entre autres, pourquoi la prise de ce type de médicaments est si populaire.

Cependant, la majorité des futures mamans ne sont pas au courant des risques pour l’enfant à naître. Fejzo mentionne notamment des problèmes de naissances prématurées, de bébés avec un poids sous la moyenne, ce qui peut causer d’autres problèmes.

En effet, les nourrissons nés à moins de 37 semaines risquent d’avoir plus de problèmes liés à la respiration et à la nutrition. Les recherches se poursuivent maintenant pour déterminer si l’hyperemesis gravidarum peut avoir des répercussions plus tard dans la vie des bébés des mères atteintes.

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Les livres sans images sont meilleurs pour les enfants

Une récente étude publiée dans le journal First Language et conduite par les chercheurs de l’Université de Waterloo démontre que les livres sans mots procureraient plus de bénéfices à votre enfant que les traditionnels livres d’histoires.

Les résultats s’expliquent par le fait que les parents lisant les livres illustrés contenant des mots se contentent de pointer l’image et de le nommer, tandis que sans mots, les parents auront tendance à utiliser un vocabulaire plus complexe pour parler de l’image.

Par exemple, au lieu de simplement pointer le chat et dire « C’est un chat », s’il n’y a pas de mots correspondant à l’image, le parent sera porté à plutôt dire quelque chose comme « Regarde, c’est un chat! Comme celui de la voisine, tu te souviens de son nom? »

L’enfant est ainsi exposé à beaucoup plus de vocabulaire et développera lui-même une tendance à faire de même lorsqu’il sera en âge de parler. Il s’agit du constat fait alors que 25 mères ont été observées pendant qu’elles lisaient un livre de chaque sorte à leur bébé.

Les responsables de l’étude conseillent donc aux parents de mélanger les livres de lecture et ceux ne présentant que des images afin de maximiser le développement du langage de leur enfant et ainsi stimuler son imagination.

 

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L’impact de l’allaitement sur le cerveau

Une récente recherche conduite par les spécialistes de l’Université Brown démontre de nouvelles preuves concernant les bienfaits de l’allaitement sur le développement du cerveau des bébés.

À la suite de l’observation par résonnance magnétique, les améliorations ont été particulièrement notées dans les zones responsables du langage, des émotions et des aptitudes cognitives.

Alors que ces résultats étaient déjà connus chez les adolescents et les adultes, les chercheurs ne savaient toujours pas vers quel âge les effets bénéfiques se produisaient.

Grâce à cette étude, il est désormais clair que les bienfaits se produisent très tôt dans le développement de l’humain, soit avant l’âge de 2 ans. De plus, il est maintenant prouvé que plus longtemps un enfant est allaité, plus son cerveau se développe rapidement, et que les résultats s’améliorent nettement lorsque l’enfant est exclusivement nourri de lait maternel.

En effet, si le régime de bébé contient également de la formule maternisée, son développement s’en retrouve affecté.

Le Dr Deoni et son équipe ont ensuite confirmé leurs données d’imagerie avec une série de tests cognitifs de base sur un groupe d’enfants plus âgés ayant été allaités. Ces essais ont révélé une performance accrue du langage, de la réception visuelle et dans les performances de motricité.

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La personnalité ne serait pas que génétique

On pourrait croire que la génétique et notre ADN décident d’une grande part de qui nous sommes en termes de personnalité, mais il appert qu’elle n’est responsable que de 50 % de nos traits de caractère.

Après tout, lorsqu’on ressemble à nos parents et que l’on reproduit les manies et habitudes de l’un de ceux-ci, difficile de croire que l’on peut changer et s’éloigner de l’arbre familial.

Pourtant, selon une étude en provenance de l’Université Exeter, notamment rapportée par Santé Log, il semble que nous ayons beaucoup plus de contrôle sur le développement de notre personnalité au fil du temps qu’on pourrait le croire.

Testée pour l’instant sur des oiseaux et leurs descendants, la théorie des chercheurs s’est avérée exacte jusqu’à maintenant.

L’environnement, la prise de risques, l’aspect social et plusieurs autres facteurs peuvent véritablement changer la personnalité d’un individu.

D’un individu oiseau, pour l’instant, mais il serait certes fascinant de tester la même théorie sur les humains, qui croient trop souvent être victimes de leur propre personnalité. 

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Les mères prêtes à faire moins d’argent

Une étude menée en Angleterre a démontré que plus de la moitié des mères seraient prêtes à diminuer leurs revenus afin d’équilibrer leur mode de vie.

Alors que tous les emplois ne permettent pas nécessairement une flexibilité jugée nécessaire par les mères, plusieurs viennent à choisir le travail à temps partiel ou à partir de la maison.

Les défis d’une mère travaillante sont nombreux. Entre autres, elle prend souvent la responsabilité de son enfant malade, des rendez-vous médicaux et scolaires, et se retrouve souvent à devoir négliger des heures de travail.

Sur FemaleFirst, il est noté que les deux tiers des mères anglaises auraient déjà vécu des cas similaires. C’est la chef des ventes au Royaume-Uni pour la compagnie de vêtements suédoise me & i, Pernilla Kemp, qui a commandé cette recherche.

À la réception des résultats, elle a confié : « Le fait que plus de la moitié des femmes interrogées disent qu’elles accepteraient une baisse de salaire afin d’équilibrer leur vie parent-travail démontre le désir des mères pour cet équilibre et à quel point nous en sommes encore loin ».

« Alors que nous avons vu une augmentation du nombre de mamans qui se taillent une carrière alternative pour eux-mêmes et leurs enfants, il y a encore beaucoup de mamans dont la situation de travail a très peu changé et qui sentent que l’équilibre travail-vie n’est rien d’autre qu’un mythe. »