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Nouvel espoir dans le traitement du diabète de type 1

Une nouvelle approche permettrait aux patients qui souffrent de diabète de type 1 de fabriquer leurs propres cellules productrices d’insuline.
 
Depuis des années déjà, les scientifiques tentent de trouver un moyen de remplacer les cellules productrices d’insuline perdues dans le diabète de type 1. Ils y seraient peut-être parvenus.
 
Jusqu’ici, la seule technique qui semblait idéale était avec des cellules souches embryonnaires. Les chercheurs avaient réussi à en créer des productrices d’insuline en laboratoire, mais elles n’étaient pas adaptées à une transplantation, car elles ne libéraient pas d’insuline selon les niveaux de glucose.
 
Selon le Naure Genetics, une équipe de l’Université de Columbia aurait réussi l’exploit avec des cellules progénitrices dans l’intestin de souris, qui ont pu fabriquer des cellules productrices d’insuline.
 
« Ces différentes observations nous permettent de penser qu’inciter l’intestin d’un patient à fabriquer des cellules productrices d’insuline serait une meilleure façon de traiter le diabète que les thérapies basées sur les greffes de cellules souches embryonnaires », dit le Dr Domenico Accili.
 
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Des cellules souches pour combattre le diabète de type 1

Le BMC Medicine nous apprend que des chercheurs chinois et américains ont mis au point une thérapie cellulaire qui rééduque les lymphocytes défaillants avec des cellules souches embryonnaires prélevées dans les cordons ombilicaux.
 
Cela permettrait de traiter le diabète de type 1, sans toutefois l’éliminer complètement.
 
Les lymphocytes attaquent les producteurs d’insuline, ce qui cause le diabète.
 
Le diabète de type 1 se déclare habituellement durant l’enfance et nécessite des injections d’insuline pour la vie. La maladie s’attaque aux cellules du pancréas qui synthétisent l’insuline, l’hormone qui est chargée de réduire le taux de glycémie dans le sang.
 
La thérapie cellulaire permet de rééduquer les lymphocytes défectueux. La maladie prend ainsi du recul, sans disparaître totalement.
 
Pour le moment, on croit qu’associée à un autre traitement, la thérapie cellulaire parviendrait peut-être à enrayer la maladie, mais les recherches doivent se poursuivre.
 
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Des cellules souches pour combattre le diabète de type 1

Le BMC Medicine nous apprend que des chercheurs chinois et américains ont mis au point une thérapie cellulaire qui rééduque les lymphocytes défaillants avec des cellules souches embryonnaires prélevées dans les cordons ombilicaux.
 
Cela permettrait de traiter le diabète de type 1, sans toutefois l’éliminer complètement.
 
Les lymphocytes attaquent les producteurs d’insuline, ce qui cause le diabète.
 
Le diabète de type 1 se déclare habituellement durant l’enfance et nécessite des injections d’insuline pour la vie. La maladie s’attaque aux cellules du pancréas qui synthétisent l’insuline, l’hormone qui est chargée de réduire le taux de glycémie dans le sang.
 
La thérapie cellulaire permet de rééduquer les lymphocytes défectueux. La maladie prend ainsi du recul, sans disparaître totalement.
 
Pour le moment, on croit qu’associée à un autre traitement, la thérapie cellulaire parviendrait peut-être à enrayer la maladie, mais les recherches doivent se poursuivre.
 
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La télévision aggrave-t-elle le diabète?

Une recherche parue dans Diabetes Care nous indique qu’une corrélation entre le temps passé devant la télévision et le diabète infantile existe. Les chercheurs peinent toutefois à expliquer cette relation.

Ils ont remarqué que des enfants ayant le diabète de type 1 qui passaient beaucoup d’heures à écouter la télévision avaient des taux de sucre sanguins moins bons que les autres.

Après avoir suivi 296 sujets ayant le diabète de type 1, dont des enfants, ils ont constaté que ceux qui passaient 4 heures ou plus par jour devant un écran présentaient un taux d’hémoglobine A1C de 9,3 %, en comparaison au taux de 8,5 % de ceux qui le faisaient moins longtemps.

Une explication possible de ce lien, selon les chercheurs, serait que les enfants qui écoutent beaucoup la télévision sont aussi portés à grignoter plus que les autres. Toutefois, la présente recherche ne peut encore rien prouver en ce sens.

D’autres facteurs de qualité de vie pourraient aussi être pris en compte, comme l’activité physique et l’obésité, voire le revenu familial, mais ils ne peuvent pas non plus expliquer la corrélation ici présentée.

Malgré tout, les experts soulignent l’indicateur que cette recherche soulève quant aux habitudes de vie d’un enfant diabétique – ou non – et dans quelle mesure il est modifiable.

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La vitamine D ne protège pas du diabète

Contrairement à ce que l’on pensait, ni la vitamine D ni la vitamine 25 (OH) ne peuvent être liées à l’auto-immunité ou la progression du diabète de type 1 chez l’enfant. Même après ajustement de certains facteurs comme l’historique familial de diabète de type 1, le lien n’a pu être établi.

C’est ce que présentent des chercheurs dans la revue Diabetologia. Pour en arriver à cette conclusion, ils ont mesuré les taux de vitamine D et de vitamine 25 (OH) chez 198 enfants sur une base régulière.

Ils ont ainsi été suivis à 9, 15 et 24 mois. Par la suite, leur prise de vitamine D a été évaluée selon des questionnaires remis à leurs parents lorsqu’ils avaient entre deux et neuf ans. Finalement, ils ont répondu eux-mêmes aux questions à l’âge de 10 ans.

Les chercheurs reconnaissent toutefois que leurs résultats contredisent en partie de précédentes études, lesquelles suggéraient un effet protecteur de la vitamine D quant au diabète de type 1 au cours de la petite enfance.

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A-t-on encore peur des vaccins?

L’Institute of Medicine (OMI) des États-Unis vient de démontrer, après avoir passé en revue plus de 1 000 études sur le sujet, que les vaccins ne sont liés en rien à l’apparition de l’autisme ou du diabète de type 1 chez les enfants.

Cela en réconfortera plus d’un, car de nombreuses rumeurs avaient couru sur le sujet. Les experts ajoutent même que s’il y a des problèmes de santé (au nombre de 14) existant en raison d’un vaccin, ils demeurent très rares, comme nous le lisons sur Medical News Today.

Parmi les vaccins les plus courants, on compte celui contre la rougeole, la rubéole et les oreillons. On le connaît d’ailleurs sous le nom du vaccin RRO. Si quelques femmes et enfants peuvent en ressentir de la douleur, on ne compte que de rares cas de convulsions à la suite de fièvre.

Quant à celui prévenant contre la varicelle, un autre exemple de vaccin courant, on a relevé de rares cas de pneumonie, de méningites et d’hépatite, entre autres. Des boutons de varicelle peuvent aussi apparaître si le patient a un faible système immunitaire.

On conclut qu’en général, les vaccins peuvent affaiblir ou causer une inflammation à la hauteur de l’épaule. Le plus important est que le RRO n’entraînera pas le diabète ni l’autisme et que celui contre l’influenza n’augmente pas les symptômes de l’asthme.

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Nouvel espoir dans la lutte contre le diabète de type 1

Une équipe de l’hôpital St. Michael à Toronto a semé un nouvel espoir dans la lutte contre le diabète de type 1.
 
Une substance chimique naturellement présente dans l’organisme peut régénérer les cellules qui produisent de l’insuline. Ces cellules sont détruites lors de l’apparition de la maladie.
 
Un traitement à base de GABA (substance chimique naturelle qui produit les cellules bêta pancréatiques) peut inverser la maladie et permettre au corps d’accepter la régénération des cellules.
 
Lorsqu’une personne est atteinte de diabète de type 1, 70 % de ses cellules bêta sont détruites par le système immunitaire. Le traitement GABA permet de protéger et régénérer ces cellules.
 
Habituellement, il est très difficile de traiter ce type de diabète. Seules les injections d’insuline sont efficaces, car même en remplaçant et en régénérant les cellules, le système immunitaire les détruit. Il faut freiner cette réponse auto-immune et le traitement GABA y parvient, sans être toxique.

Ce sont les meilleurs résultats de recherches obtenus depuis des années dans le domaine. Il faudra toutefois attendre encore quelques années avant de permettre ce traitement chez l’humain, car de nombreux essais cliniques sont à prévoir.

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Déceler le diabète infantile par les protéines

Des chercheurs de la Georgia Health Sciences University effectuent des tests sur des souris qui pourraient en dire long sur la détection du diabète chez les enfants, lisons-nous sur Medical News Today.

En comprenant comment le déficit en protéines peut atteindre les fonctions immunes et détruire les cellules d’insuline chez ces souris diabétiques, on pourrait reporter ces observations chez les humains.
 
C’est que la faible quantité dans le sang de protéines responsables de la réduction inflammatoire pourrait être un fort indicateur du diabète de type 1. De plus, cette détection pourrait éviter à certains enfants d’en souffrir.

Les chercheurs font aussi des analyses sanguines d’enfants prédisposés par leurs gènes à développer ce type de diabète. L’hypothèse en question est donc vérifiée auprès de 2 500 enfants.

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Le lait maternisé pour prévenir le diabète de type 1

On peut lire dans le New England Journal of Medecine les résultats d’une étude qui suggère que les bébés ont moins de risques d’avoir le diabète en évitant le lait de vache.

Des chercheurs ont étudié le cas de 230 bébés finlandais. Ceux-ci n’étaient plus nourris au sein et ils recevaient tous du lait maternisé.

La moitié des bébés à l’étude étaient nourris avec une formule à base de lait de vache. Les autres buvaient une formule dans laquelle les protéines avaient été réduites afin de ne plus avoir d’impact sur leur système immunitaire. Ce procédé se nomme l’hydrolyse.

Il en est ressorti que les bébés nourris à la formule à base de lait de vache étaient deux fois plus à risque de développer certains anticorps reliés au diabète.

Ainsi, il serait possible de réduire le nombre de cas de diabète de type 1 en optant pour cette mesure préventive. Mentionnons toutefois que cette étude ne pouvait pas encore statuer qu’éviter le lait vache pouvait empêcher l’apparition du diabète.

En fait, 8 % des bébés ayant reçu le lait de vache ont eu le diabète de type 1, contre 6 % pour les autres. Cette différence n’est pas suffisante pour tirer des conclusions définitives.

Malgré tout, une plus large étude est attendue pour 2017. Celle-ci portera sur 2 160 bébés répartis dans 15 pays.