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Association entre le diabète et l’apnée du sommeil

Une étude, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale Diabetes Care, démontre qu’il existe une corrélation entre le diabète de type 2, le surplus de poids et l’apnée du sommeil.

Chez les 306 sujets ayant participé à la recherche, environ 87 % d’entre eux souffraient du trouble du sommeil et l’ignoraient complètement.

Plus de 30 % des candidats avaient de 16 à 20 épisodes par heure où ils manquaient d’oxygène pendant leur sommeil et 22 % en avaient plus de 30 à l’heure, selon le Dr Gary D. Foster, de l’Université Temple aux États-Unis.

« La très forte prévalence de non-diagnostic d’apnée du sommeil chez les patients diabétiques est un très sérieux problème de santé publique. Les médecins ayant des patients obèses et diabétiques devraient porter une attention particulière à ce trouble du sommeil », ont fait savoir les auteurs de l’étude.

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Découverte en matière de diabète

Des chercheurs ont découvert que des médicaments à base de fénofibrate, utilisés pour diminuer le cholestérol, faisaient chuter de 36 % l’incidence d’amputation chez les personnes souffrant de diabète de type 2.

Ce phénomène, qui touche près d’un diabétique sur 10, est causé par la maladie qui peut parfois endommager les nerfs et vaisseaux sanguins.

Menée auprès d’environ 10 000 patients âgés de 50 à 75 ans, cette étude démontre que contrairement au placebo, le médicament réduit le risque d’amputation et également celui de maladies coronariennes.

Les auteurs, dont la recherche est publiée dans la revue scientifique The Lancet, affirment que leur découverte pourrait modifier les traitements offerts aux patients.

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Les facteurs de risque associés au diabète

Une recherche publiée dans Archives of Internal Medicine nous apprend que plusieurs habitudes de vie peuvent augmenter l’incidence de diabète chez les personnes âgées.

Des chercheurs américains ont analysé cette association en travaillant pendant 10 ans avec 4 883 adultes âgés de plus de 65 ans. Ils ont plus particulièrement observé les effets de l’activité physique, de l’alimentation, de la consommation de tabac et d’alcool et de l’indice de masse corporelle.

Ils en concluent qu’une alimentation saine et de l’exercice physique diminuent de 46 % le risque de diabète. Si, en plus, les participants ne fumaient pas et consommaient modérément de l’alcool, l’incidence chutait de 82 %.

Par ailleurs, la combinaison de la sédentarité, du tabagisme et de mauvaises habitudes alimentaires fait augmenter le risque de diabète de 89 %.

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Le juste équilibre du sommeil

Une recherche effectuée par des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Laval démontre que des nuits de sommeil trop courtes ou trop longues augmentent le risque de souffrir de diabète de type 2 ou d’intolérance au glucose.

Cette incidence est 2,5 fois plus élevée si l’on dort moins de 7 heures ou plus de 8 heures par nuit.

276 participants ont été suivis par les chercheurs pendant 6 ans pour en arriver à ces conclusions. Pendant l’étude, 20 % des sujets jugés comme de petits et de grands dormeurs ont reçu un diagnostic de diabète de type 2, contre 7 % chez les sujets qui avaient des nuits de durée moyenne.

La recherche est publiée dans la version en ligne de Sleep Medicine.

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Lien entre le psoriasis et le diabète

Une recherche menée par le Dr Abrar Qureshi, de la Faculté de médecine de l’Université Harvard, l’amène à conclure que les femmes aux prises avec le psoriasis sont plus à risque d’être touchées par le diabète et l’hypertension artérielle.

Selon le chercheur, la maladie cutanée fait augmenter de 63 % le risque de diabète et de 17 % celui de la haute pression, comparativement aux participantes n’ayant jamais connu d’épisodes de psoriasis.

Ce phénomène pourrait être attribué à l’inflammation, souvent associée à l’hypertension et à la résistance à l’insuline.

« L’inflammation pourrait être une explication biologique plausible, car le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique et l’inflammation est un facteur de risque de l’hypertension », a mentionné le Dr Qureshi.

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Du gras de bébé pour maigrir?

Une nouvelle étude, publiée cette semaine dans le New England Journal of Medicine, révèlerait la présence du gras de bébé, dites graisse brune, chez les adultes, en proportion différente.

Cette graisse, qui permet au bébé de brûler de l’énergie pour produire de la chaleur, pourrait rendre disponible à l’adulte la perspective de perdre du poids plus facilement, en plus de régulariser le diabète et de combattre l’obésité, selon cette même étude.

Cette recherche, réalisée par le Dr Ronald Kahn de la faculté de médecine de l’Université de Harvard et basée sur 1972 répondants, a également permis au chercheur de constater que cette « bonne graisse » se retrouve en plus grande quantité chez les jeunes adultes que les plus âgés.

Ce serait la stimulation de la formation de cette graisse brune qui permettrait de régulariser le métabolisme du glucose et, de ce fait, aider l’être humain dans son combat contre le diabète et l’obésité, de conclure le chercheur.

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Poids plume, synonyme de diabète?

Une étude, menée par des chercheurs associés à l’Institut Karolinska de Stockholm, démontre que les nouveaux nés, dont le poids était inférieur à la moyenne à la naissance, risquent d’être plus touchés par le diabète de type 2 à l’âge adulte.

Le Dr Magnus Kaijser et son équipe ont comparé un groupe de poupons de petits poids à des bébés ayant un poids dans la moyenne.

Les sujets nés avant la 32e semaine de gestation étaient 67 % plus à risque de développer du diabète que ceux nés à terme, soit la 37e semaine de grossesse.

« Le poids inférieur à la moyenne à la naissance fait augmenter de manière significative l’incidence de diabète de type 2 chez les adultes », a conclu le Dr Kaijser, dont la recherche est publiée dans la revue médicale Diabetes.

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Le diabète associé au glaucome

Une recherche parue dans le journal Ophthalmology démontre que les complications du diabète peuvent entraîner le glaucome.

Ce sont surtout les femmes aux prises avec cette maladie qui sont touchées par ce phénomène : elles voient leur risque de souffrir du glaucome augmenter de 70 % par rapport aux autres.

Cette maladie de l’oeil caractérisée par une pression intraoculaire élevée, le durcissement du globe, l’atrophie du nerf optique et l’altération du champ visuel peut éventuellement causer la cécité. Uniquement aux États-Unis, 50 millions de personnes risquent de devenir aveugles à cause de cette maladie.

Sans symptôme apparent, le glaucome est souvent détecté tardivement. C’est pourquoi les chercheurs recommandent des examens de la vue fréquents, particulièrement si le sujet souffre de diabète de type 2.

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Traitement hebdomadaire du diabète

Une étude, dont tous les résultats sont publiés dans la revue médicale The Lancet, croit qu’il est préférable de traiter hebdomadairement le diabète avec l’exenatide plutôt que deux fois par jour.

Il ne suffit que d’une injection de 2 milligrammes d’exenatide une fois par semaine pour diminuer le taux de glycémie dans le sang, comparativement à 10 microgrammes du médicament 2 fois par jour.

En plus de la diminution du taux de sucre, l’exenatide a aussi eu pour conséquence d’entraîner une perte de poids chez les 259 personnes, souffrant de diabète de type 2, qui participaient à la recherche.

« L’exenatide une fois par semaine a permis des améliorations plus importantes dans le contrôle de la glycémie que l’exenatide donnée deux fois par jour, sans augmentation des risques d’hypoglycémie et avec des réductions similaires du poids du corps », ont précisé les auteurs de l’étude.

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Le diabète augmente le risque d’infarctus

La Dre Anna Norhammar et son équipe, oeuvrant pour l’Hôpital universitaire Karolinska à Stockholm, affirment que les femmes diabétiques de moins de 65 ans sont plus à risque que les hommes de souffrir de maladies cardiovasculaires. Cette incidence a pour effet d’augmenter le taux de mortalité après une crise cardiaque chez ces femmes.

Entre 1995 et 2002, la Dre Norhammar a observé 25 555 patients de moins de 65 ans qui avaient déjà été traités pour un infarctus.

Parmi les sujets, les femmes diabétiques étaient 34 % plus à risque de mourir d’une crise cardiaque, comparativement aux hommes diabétiques.

Selon les chercheurs, l’hypertension artérielle et le tabagisme chez les femmes pourraient expliquer ce phénomène.