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Le poisson, bénéfique pour les diabétiques

Une recherche menée auprès de 22 000 adultes, dont 517 aux prises avec le diabète, conclut que le poisson, au menu deux fois par semaine, peut réduire l’incidence de maladies aux reins chez ces derniers.

Les chercheurs ont aussi observé que ceux qui consommaient du poisson une fois par semaine avaient des traces d’albumine (une protéine) dans leur urine dans 18 % des cas, tandis que les diabétiques qui mangeaient du poisson deux fois par semaine avaient cette même protéine dans seulement 4 % des cas.

« La présence de protéines dans l’urine est l’un des premiers signes d’une maladie aux reins. Changer son alimentation est relativement simple et peut diminuer le risque », a indiqué la Dre Amanda Adler, du Centre hospitalier Addenbrooke à Cambridge.

Tous les détails se retrouvent dans l’édition de novembre de l’American Journal of Kidney Diseases.

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Le Januvia, maintenant remboursé

Québec est la première province canadienne à rembourser le Januvia, un médicament pour les diabétiques de type 2.

Fabriqué par Merck Frosst, ce nouveau traitement à base de sitagliptine agit comme inhibiteur de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4).

Cette nouvelle est bien accueillie par les professionnels de la santé, comme en témoigne le Dr Alain Fréchette, responsable du Groupe de Médecine familiale St-Vallier : « À l’heure actuelle, le diabète est incurable. On ne peut que le maîtriser au moyen d’une alimentation saine, d’exercices réguliers et de médicaments. Aujourd’hui, plus que jamais, les patients atteints du diabète de type 2 et leurs médecins traitants ont besoin d’avoir accès à de nouveaux traitements efficaces qui ont un meilleur profil de tolérance pour que les patients parviennent à maîtriser leur diabète. »

Au Québec, environ 550 000 personnes sont aux prises avec la maladie et 90 % d’entre eux souffrent du diabète de type 2.

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Le bisphénol A dans la lorgnette des chercheurs

Une équipe de scientifiques de l’Université d’Exeter, en Grande-Bretagne, ont analysé les conséquences du bisphénol A (BPA), un produit chimique que l’on retrouve dans plusieurs produits de consommation, et son incidence sur la santé des personnes.

Les chercheurs ont observé que les concentrations les plus élevées de BPA dans des échantillons d’urine augmentaient de 39 % le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète de type 2 et d’anomalies des enzymes du foie.

« L’analyse de statistiques représentatives de la population adulte américaine a mis en évidence une relation entre les concentrations les plus fortes de BPA dans l’urine et un accroissement de la prévalence des maladies cardiovasculaires, du diabète et d’anomalies hépatiques », a souligné l’auteur de cette recherche, le Dr David Melzer.

1 455 sujets, de 18 à 74 ans, ont participé à cette vaste étude.

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Les bienfaits de la camomille

Selon une étude, faite au Japon et au Royaume-Uni, la consommation quotidienne de thé à la camomille avec les repas pourrait aider à prévenir les complications du diabète, incluant la perte de vision, les dommages nerveux et aux reins, rapporte le ScienceDaily

Ces recherches pourraient mener au développement d’un médicament à base de camomille, destiné aux gens atteints du diabète de type 2.

Cette étude a été publiée dans l’édition du 10 septembre du Journal of Agricultural and Food Chemistry.

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Les résultats de l’étude ADVANCE sont publiés

Lors de l’assemblée annuelle de l’American Diabetes Association, des chercheurs ont dévoilé quelques résultats concernant la plus vaste recherche jamais réalisée sur le diabète de type 2, l’étude ADVANCE (Action in Diabetes and Vascular Disease).

On y apprend que le traitement intensif de la maladie peut réduire de 21 % le risque de souffrir d’insuffisance rénale, la principale conséquence observée chez les diabétiques, et ainsi éviter des traitements d’hémodialyse.

En baissant le taux de glycémie près de la normale, soit 6,5 mmol/L ou moins, les dommages aux reins chez les participants ont moins été observés, de même qu’une réduction de l’incidence de crises cardiaques et autres complications normalement observées chez les diabétiques.

Mis à part la greffe de rein, la dialyse constitue le seul traitement à l’insuffisance rénale et nécessite plusieurs heures par semaine de traitement.

11 000 diabétiques ont participé à cette étude qui se déroulait dans 20 pays.

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Le régime méditerranéen bénéfique pour les diabétiques

Selon une récente étude publiée dans le British Medical Journal, les personnes qui ont adopté le régime méditerranéen riche en fruits et légumes voient leur risque de souffrir du diabète de type 2 diminuer de 83 % comparativement aux personnes n’ayant pas choisi ce régime alimentaire, où trônent aussi le poisson et l’huile d’olive en abondance.

13 000 sujets âgés en moyenne de 38 ans ont été suivis pendant quatre ans; l’équipe du chercheur Miguel Martinez-Gonzalez a porté une attention particulière à leurs habitudes alimentaires.

Ce dernier se dit d’ailleurs très surpris que le régime méditerranéen soit si efficace pour réduire le risque de diabète de type 2.

Selon l’Organisation mondiale de la santé, 180 millions de personnes sont touchées par le diabète et l’organisme croit que cette statistique va doubler d’ici 2030.

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Le soya bénéfique pour les diabétiques

Selon une recherche publiée dans le journal Diabetes Care, les diabétiques de type 2 auraient tout intérêt à consommer plus fréquemment du soya, qui aurait des effets bénéfiques sur leur coeur, leurs vaisseaux sanguins et leur foie.

41 sujets ont été répartis en deux groupes. Le premier consommait un régime composé de 35 % de protéines animales, 35 % de soya et 30 % de protéines végétales. L’autre groupe avait une diète essentiellement à base de viandes et de 30 % de protéines végétales.

L’équipe de la Dre Leila Azadbakht, de l’Université d’Isfahan en Iran, a observé que les participants qui consommaient du soya voyaient diminuer leur taux de mauvais cholestérol, de triglycérides et de glycémie.

De plus, le taux de protéine C réactive, qui est souvent associé à l’inflammation dans le corps humain, diminue.

Selon les chercheurs, les effets bénéfiques du soya sont constants, pourvu que cet aliment soit au menu constamment.

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Une nouvelle méthode de diagnostic

Une recherche publiée dans le Journal of Proteome Research mentionne que les médecins pourront bientôt compter sur une autre méthode de diagnostic pour détecter la présence du cancer, des maladies cardiovasculaires ou chroniques : l’examen de la salive.

Grâce à l’analyse de 1166 protéines différentes dans la salive, trois équipes de chercheurs américains ont été en mesure d’établir le protéome salivaire, une carte complète des protéines qui contiennent des informations sur les gènes et le fonctionnement cellulaire.

Cette découverte permettrait donc de diagnostiquer, pour un coût inférieur aux tests sanguins, plusieurs maladies, dont celles d’Alzheimer et de Parkinson, les cancers du sein, colorectal et du pancréas, ainsi que le diabète.

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Le café, mauvais pour les diabétiques ?

De nouvelles recherches affirment que la quantité de caféine contenue dans une tasse de café pourrait nuire aux diabétiques de type 2.

« (En consommant un café), il peut devenir difficile pour eux de contrôler leur taux de sucre », affirme le Dr James Lane, auteur de l’étude.

D’autres recherches soutiennent que l’effet antioxydant du café pourrait néanmoins prévenir le diabète chez certaines femmes.

Le Dr Lane suggère malgré tout aux gens de réduire leur consommation de café afin de vérifier si cela influence ou non leur taux de sucre dans le sang.

La consommation d’une boisson décaféinée s’avérerait aussi une alternative.

 

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Percée médicale pour Merck Frosst

Santé Canada vient d’accorder à Merck Frosst Canada le droit de vendre un nouveau médicament, le Januvia (phosphate de sitagliptine monohydraté), qui viendra en aide aux diabétiques de type 2. Celui-ci permet de contrôler et baisser le taux de sucre dans le sang.

Lors de la digestion, les hormones sécrétées dans l’intestin provoquent une production d’insuline par le pancréas et une diminution du glucose par le foie.

La consommation du Januvia permet d’amplifier ces mécanismes et ainsi contrôler le taux de sucre dans l’organisme.

Le fabricant pharmaceutique affirme que le nouveau médicament n’entraîne pas comme effets secondaires la prise de poids ou encore l’augmentation du risque d’hypoglycémie (un taux de sucre trop bas).

Diabète Québec voit d’un bon oeil cette percée médicale, tel que le mentionne le Dr Jean-Marie Ekoé, épidémiologiste de l’association : « La sitagliptine représente pour ces patients une option thérapeutique de plus pour la prise en charge quotidienne de leur maladie. »

Au Canada, deux millions de personnes sont touchées par le diabète de type 1 ou 2. On estime que ce nombre passera à trois millions d’ici 2010.