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Les diabétiques hospitalisés de plus en plus jeunes

Des chercheurs de l’Université du Michigan viennent de publier les conclusions de leur étude dans le journal médical Diabetes Care.

Selon cette recherche, entre 1993 et 2004, le nombre de personnes diabétiques (type 1 ou 2) âgées de 0 à 29 ans ayant dû être hospitalisées a crû de 38 %.

L’augmentation est particulièrement importante chez les patients âgés de 20 à 29 ans. De plus, la maladie semble affecter plus spécifiquement les femmes.

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La cigarette encore pointée du doigt

Une étude réalisée conjointement par l’Université de Calgary et une université suisse nous apprend que la dépendance à la cigarette peut augmenter de 44 % les risques de développer le diabète de type 2.

Les scientifiques ont analysé 25 recherches avant d’en arriver à la conclusion que l’usage de la cigarette provoque une résistance à l’insuline et induit ainsi le diabète de type 2. Ils affirment que d’autres recherches plus poussées devront être effectuées afin d’analyser en profondeur les effets du tabagisme sur les diabétiques.

Le diabète de type 2 touche particulièrement les personnes âgées de 40 ans et plus. Une prédisposition génétique, un surplus de poids, le manque d’activité physique et une alimentation riche en gras sont tous des facteurs qui prédisposent à l’apparition de cette maladie interférant sur la production d’insuline.

Au Canada, plus de deux millions de personnes doivent composer avec le diabète, dont le type 2 est en hausse chez les jeunes.

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Contrôler le diabète par l’exercice

Selon des chercheurs des Universités d’Ottawa et de Calgary, pour contrôler le taux de sucre sanguin, les diabétiques devraient pratiquer la musculation et l’aérobie.

Selon les résultats obtenus à la suite de l’étude, la combinaison des deux exercices maximiserait les bienfaits.

Le suivi de plus de 250 personnes durant six mois a permis aux chercheurs d’observer une réduction de 0,51 % du taux de glycémie chez les individus suivis ayant combiné la musculation et l’aérobie.

Ce résultats serait grandement suffisant, car la baisse de 1 % du taux de glycémie diminue d’environ 15 % le risque de problèmes du coeur tels que les infarctus et les accidents cérébrovasculaires.

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Le diabète et les troubles de l’ovulation sont liés

La dernière édition de la revue médicale The Lancet publie un article qui prétend que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), qui cause des problèmes d’infertilité, serait accru par l’obésité et le diabète de type 2.

L’un des auteurs de cette recherche, le Dr Didier Dewailly, conclut que 80 à 90 % des problèmes d’ovulation sont reliés à ce type de diabète.

Les chercheurs conseillent donc aux femmes souffrant d’un surplus de poids de suivre un régime amaigrissant. L’ovulation et la fertilité chez la femme peuvent donc être rétablies particulièrement s’il y a perte de poids au niveau abdominal.

Le SOPK touche environ 60 % des Américaines obèses. En France, ce pourcentage chute à 40 %. Cette maladie se caractérise par la présence excessive de kystes sur les ovaires ainsi que par une activité inhabituelle des androgènes. On peut la détecter par la présence d’insuline et de lipides dans le sang.

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Nouveauté pour les diabétiques

La façon courante pour les diabétiques de prendre leur insuline se fait par injection, avec tous les désavantages que cette méthode apporte.

Les chercheurs tentaient depuis un moment de fabriquer une capsule permettant aux diabétiques de prendre ce médicament par la bouche. Cependant, l’acidité de l’estomac dégradait la pilule avant même que celle-ci n’agisse.

Des chercheurs britanniques semblent avoir trouvé une solution à ce problème en créant une capsule recouverte d’une matière permettant la protection de l’insuline jusque dans le petit intestin, endroit où elle passe dans le sang.

Pour les patients atteints de diabète de type 2, cette découverte pourrait contrôler, voire diminuer, leur taux de sucre sans danger et sans l’inconfort des injections.

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Les amandes protégent contre les maladies cardiaques et le diabète

L’étude publiée aujourd’hui dans The Journal of Nutrition révèle que la consommation d’amandes contribue à stabiliser le taux de glycémie enregistré après un repas tout en favorisant la santé cardiaque.

De plus, la consommation d’amandes contribue à prévenir le stress oxydatif. « Nous avons découvert que l’ingestion d’amandes peut considérablement atténuer la réaction du corps en ce qui concerne le taux de glycémie et d’insuline à la suite d’un repas riche en glucides », affirme Cyril Kendall de l’Université de Toronto, docteur et coauteur de l’étude.

« Les amandes sont déjà reconnues comme étant des aliments qui réduisent le taux de cholestérol à lipoprotéines à basse densité (LDL) et qui comportent une variété d’éléments nutritifs essentiels », ajoute-t-il.

Cette nouvelle recherche montre que l’introduction d’amandes dans un régime alimentaire peut contribuer à l’obtention d’un bon taux de glycémie et à la prévention de maladies telles que le diabète, et ce, tout en favorisant la santé cardiaque.

Les maladies cardiaques constituent la principale cause de décès au monde; les taux de glycémie élevés entraînent trois millions de décès chaque année à l’échelle mondiale.