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Boisson gazeuse : les adolescents sont en danger

Pour une recherche menée par la Dre Susan Babey en Californie, des données de plus de 40 000 foyers californiens ont été compilées. Les résultats comparent la consommation de boissons sucrées, plus spécifiquement les boissons gazeuses et boissons énergisantes, pour la période de 2005 à 2007, puis 2011 et 2012.

Les résultats montrent que chez les 6 à 11 ans, la consommation de boissons gazeuses est passée de 43 à 32 %. Chez les 2 à 5 ans, celle-ci est passée de 27 à 19 %. Finalement, chez les adolescents (12 à 17 ans), le taux de consommation a grimpé de 5 %.

 Les groupes ethniques sont ceux qui consomment le plus de boissons gazeuses et de boissons énergisantes. Ainsi, 74 % des Afro-Américains et 73 % des Latino-Américains boivent au moins un soda par jour. Quant aux Asiatiques, les données grimpent en flèche.

Selon Science World Report, les chercheurs espèrent sensibiliser les adolescents (et leurs parents) aux effets à long terme de ce type de boissons. On parle notamment de risque élevé de diabète et d’obésité, en plus de problèmes d’agressivité, de déficit d’attention et de troubles comportementaux.

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Tom Hanks apprend qu’il est diabétique

L’acteur de 57 ans, Tom Hanks, combat cependant les symptômes depuis qu’il a 36 ans. Ce n’est que 20 ans plus tard qu’un médecin lui confirme qu’il est diabétique.

Pendant l’émission Late Show de David Letterman, Hanks a expliqué : « Je suis allé chez le médecin et il m’a dit “Tu sais, tous ces chiffres élevés dans ton sang avec lesquels tu vis depuis que tu as 36 ans? Félicitations, te voilà avec le diabète de type 2 jeune homme” ».

Il faut croire que le médecin de la star a beaucoup d’humour, puisque ce dernier, selon ce que raconte Hanks, lui a dit que la seule façon d’éliminer cette condition était « de retrouver le poids de tes années de collège ».

Ce à quoi Tom Hanks a répondu : « Eh bien, je serai diabétique alors! » Ce type de diabète se contrôle avec de bonnes habitudes de vie et un régime alimentaire adapté, ainsi qu’avec la médication appropriée.

Dès le 20 novembre, la star incarnera un capitaine de bateau pris en otage par des pirates somaliens dans Captain Philips.

D’autres projets sont dans sa mire, à titre de réalisateur. Il travaillera en compagnie du renommé Gary Goetzman (The Silence of the LambsPhiladelphia) sur plus d’une dizaine de réalisations, dont The Ocean at the End of the LaneTalk of the Town et Summer Hours.

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Tom Hanks apprend qu’il est diabétique

L’acteur de 57 ans, Tom Hanks, combat cependant les symptômes depuis qu’il a 36 ans. Ce n’est que 20 ans plus tard qu’un médecin lui confirme qu’il est diabétique.

Pendant l’émission Late Show de David Letterman, Hanks a expliqué : « Je suis allé chez le médecin et il m’a dit “Tu sais, tous ces chiffres élevés dans ton sang avec lesquels tu vis depuis que tu as 36 ans? Félicitations, te voilà avec le diabète de type 2 jeune homme” ».

Il faut croire que le médecin de la star a beaucoup d’humour, puisque ce dernier, selon ce que raconte Hanks, lui a dit que la seule façon d’éliminer cette condition était « de retrouver le poids de tes années de collège ».

Ce à quoi Tom Hanks a répondu : « Eh bien, je serai diabétique alors! » Ce type de diabète se contrôle avec de bonnes habitudes de vie et un régime alimentaire adapté, ainsi qu’avec la médication appropriée.

Dès le 20 novembre, la star incarnera un capitaine de bateau pris en otage par des pirates somaliens dans Captain Philips.

D’autres projets sont dans sa mire, à titre de réalisateur. Il travaillera en compagnie du renommé Gary Goetzman (The Silence of the LambsPhiladelphia) sur plus d’une dizaine de réalisations, dont The Ocean at the End of the LaneTalk of the Town et Summer Hours.

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Les agrumes en prévention des kystes

On apprend via Santé Log que les agrumes et ses produits dérivés seraient de puissants ennemis des kystes, et préviendraient notamment de la formation de kystes rénaux, un problème de santé grave.

Ce serait une composante spécifique des agrumes qui serait particulièrement efficace contre la formation de kystes, soit la naringénine.

Cette dernière serait en fait un antioxydant, on l’aurait deviné, et permettrait de lutter efficacement contre la polykystose rénale, selon cette nouvelle étude publiée dans le British Journal of Pharmacology.

La polykystose rénale touche pas moins d’un million de personnes à travers le monde et peut mener à l’insuffisance rénale, et donc à la mort prématurée.

Alors que les traitements de la maladie se font rares, une équipe de scientifiques de l’Université Royal Holloway et de l’Université de Londres croient qu’une partie de la solution se trouve peut-être dans la naringénine.

Après avoir injecté l’antioxydant compris dans les agrumes à une lignée cellulaire, sur laquelle on a déclenché la formation de kystes, les chercheurs ont constaté que la naringénine bloquait le processus kystique, tout simplement.

D’autres études sont à prévoir pour confirmer la cause à effet, mais on suggère déjà aux patients à risque de développer ce genre de problèmes de consommer régulièrement des produits aux agrumes, et on avance même que ces derniers pourraient également venir en aide au métabolisme de personnes diabétiques.

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Consommer des fruits frais et non des jus de fruits pour prévenir le diabète

Manger des fruits frais comme des bleuets, du raisin et des pommes permettrait de réduire le risque de développer un diabète de type 2, alors que les remplacer par des jus de fruits industriels pourrait au contraire augmenter ce risque, selon une nouvelle étude.

La consommation de fruits est en général recommandée dans la prévention de diverses maladies chroniques, y compris le diabète de type 2, même si les résultats des études épidémiologiques étaient jusqu’à présent contradictoires en ce qui concerne cette dernière maladie.

Des chercheurs américains, britanniques et singapouriens ont compilé les données fournies par trois études américaines portant au total sur 187 383 personnes (151 209 femmes et 16 173 hommes).

Après avoir éliminé toutes les personnes atteintes de diabète, de maladies cardiovasculaires et de cancers au début de ces études, ils ont étudié la consommation de fruits et de jus de fruits à partir des questionnaires remplis par les participants tous les quatre ans pendant une durée totale allant de 19 à 24 ans.

Plus de 12 000 personnes (6,5 % de l’ensemble des participants) ont développé un diabète de type 2 pendant les différentes études.

En pondérant avec de nombreux autres critères (âge, activité physique, ration énergétique totale, etc.), les chercheurs ont trouvé une association significative entre la consommation de certains fruits et une diminution du risque de développer le diabète.

Les bleuets arrivent en tête, suivis dans l’ordre par le raisin, les pommes, les poires, les bananes et le pamplemousse.

Une consommation de ces fruits au moins deux fois par semaine réduit le risque de diabète de 23 % par rapport à ceux en consommant moins d’une fois par mois, selon l’étude publiée dans la revue médicale British Medical Journal.

Un bémol toutefois pour le melon et les fraises, dont la consommation pourrait légèrement accroître le risque de diabète.

Celui-ci est également augmenté de 21 % chez les gros buveurs de jus de fruit industriels (plus d’un grand verre par jour) par comparaison à ceux qui en boivent moins d’un verre par semaine. Les jus de fruit, relèvent les chercheurs, ont généralement un index glycémique élevé et moins de nutriments bénéfiques que les fruits frais.

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Le fer végétal meilleur que le fer animal

Les aliments riches en fer sont les viandes, les céréales, les fruits et les légumes. Il faudrait cependant prioriser une sorte de fer plutôt qu’une autre. Le fer contenu dans la viande augmenterait le stress oxydatif, contrairement au fer issu de végétaux, comme les légumes. C’est ce que suggère une étude espagnole publiée par le Nutrition Journal.

On en parle sur le site lanutrition.fr en expliquant qu’essentiel à notre organisme, le fer devrait toujours faire partie de notre alimentation. Bien que notre corps absorbe mieux le fer dit héminique, il y aurait un lien entre la prise de celui-ci et le risque de souffrir de maladies cardiovasculaires ou de cancers.

D’ailleurs, les personnes qui consomment du fer d’origine animale en trop grande quantité hausseraient leur risque de souffrir de diabète de type 2, qui est aussi influencé par le stress oxydatif.

À l’inverse, une grande consommation de fer non héminique ne démontre que des effets bénéfiques. Comme il se trouve dans les fruits et les légumes, qui sont aussi une source d’antioxydants, ces deniers pourraient limiter les effets négatifs du fer sur la santé.

La population aurait donc tout à gagner en priorisant les sources végétales de fer plutôt qu’animales.

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Les bienfaits d’un gros déjeuner

Des chercheurs confirment qu’il est bénéfique de manger de gros déjeuners. Seulement, on découvre maintenant qu’il y aurait encore plus de côtés positifs à le faire.

En effet, selon ce que rapporte la revue médicale Obesity, bien manger est essentiel, mais la période de la journée à laquelle vous mangez est aussi très importante.

Au cours de l’étude menée par la professeure Daniela Jakubowicz de l’Université de Tel-Aviv et ses collègues, il a été conclu qu’en mangeant la plus grande quantité de calories au déjeuner, l’hormone responsable de l’appétit était moins active le restant de la journée et réduisait notamment les envies de grignoter.

Au contraire, si le repas le plus calorique est consommé plus tard en journée, le taux de gras s’élèvera de façon significative et augmentera de beaucoup le taux d’insuline, de glucose et de triglycérides.

Jakubowicz commente aussi les résultats en rappelant que les collations du soir devant l’ordinateur ou la télévision collaborent au développement de l’obésité et donc de plusieurs autres problèmes de santé comme la haute pression, les troubles cardiovasculaires et les débalancements aigus de glucose, qui sont particulièrement dangereux chez les diabétiques.

En mangeant beaucoup au déjeuner, vous pourriez ainsi aider votre organisme à contrer toutes ces graves conséquences sur votre santé globale.

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Nouvelle percée pour le diabète de type 2

Parus dans le journal Diabetes, les résultats d’une récente étude, financée en partie par des subventions de recherche de l’Association canadienne du diabète et des Instituts de recherche en santé du Canada, donnent espoir.

Le Dr Alexey Pshezhetsky, du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, a découvert que l’absence d’une certaine protéine, la NEU1, expliquerait notamment la résistance à l’insuline chez les diabétiques de type 2.

Cette percée pourrait contribuer à prévenir cette maladie, alors que le nombre de gens affectés ne cesse de grandir.

« Nous avons découvert que Neu1, une protéine surnommée ainsi d’après son nom “neuraminidase 1”, a pour rôle d’activer ou de désactiver l’absorption du glucose par les cellules du corps, en régulant l’acide sialique qui se forme à la surface des cellules », dit le Dr Pshezhetsky.

« Nous essayons maintenant de trouver un moyen de rétablir les niveaux de Neu1 et sa fonction dans le diabète. Si nous parvenons à éliminer les résidus d’acide sialique de la surface des cellules, les récepteurs de l’insuline seront forcés à absorber le glucose adéquatement. Cela pourrait donner aux médecins la possibilité de réduire le recours au traitement à l’insuline et contribuer à réduire l’épidémie de diabète », explique le Dr Pshezhetsky.

Pour le moment, seuls un régime alimentaire adapté, de l’exercice et l’arrêt du tabagisme font figure de traitement, à part bien sûr les injections d’insuline si le reste ne fonctionne pas.

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L’insuline et l’allaitement

Un article paru sur Psychoenfants.fr explique comment l’insuline, qui régule notre taux de sucre, pourrait nuire au bon fonctionnement de la lactation si elle présente des anomalies.

La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

rticle paru sur Psychoenfants.fr explique comment l’insuline, qui régule notre taux de sucre, pourrait nuire au bon fonctionnement de la lactation si elle présente des anomalies.

La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La carence en vitamine D problématique selon l’ethnie

Le manque de la vitamine soleil, surnommée ainsi parce que nous la produisons lorsque nous sommes exposés au soleil, est étroitement liée à plusieurs maladies telles que des maladies cardiaques, certains cancers, l’ostéoporose, le diabète, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie et des maladies auto-immunes.

Une récente recherche publiée dans le Journal of American Medical Association démontre cependant que ce lien n’est pas vrai pour toutes les ethnies.

En effet, la carence pourrait augmenter le risque de maladie cardiaque chez les personnes blanches ou chinoises, mais ne semble pas poser de danger cardiovasculaire pour les adultes noirs ou hispaniques.

« Ironiquement, les Hispaniques et les noirs sont reconnus pour avoir un taux de cette vitamine moins élevé que les autres nationalités », dit le Dr Keith Norris, professeur de médecine à la David Geffen School of Medicine de l’Université de Californie à Los Angeles.

Il poursuit en disant qu’alors qu’on croyait que les populations ayant un moins haut taux de vitamine D auraient de plus grands risques de souffrir de maladies cardiaques, c’est en fait tout le contraire.

Un autre expert a alors souligné que bien que ce soit très intéressant, ces résultats apportent plus de questions que de réponses, et que les études sur le sujet devront être approfondies.