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L’insuline : un rôle essentiel pour maintenir l’allaitement

Une étude effectuée d’abord par la Dre Laurie Nommsen-Rivières a mené à des recherches supplémentaires sur la corrélation entre le dérèglement de la glycémie et la difficulté de l’allaitement chez la femme. C’est la revue PloS ONE qui précise le rôle que joue l’insuline sur la glande mammaire.

Ainsi, bien au-delà de l’obésité ou des femmes de plus de 40 ans, il s’agit souvent à la base d’une irrégularité du signal de lactation, un rôle normalement tenu, notamment, par l’insuline. Une raison supplémentaire, donc, de suivre de près les femmes à risque de diabète ainsi que celles qui souffrent de diabète de grossesse.

Selon PloS ONE, c’est tout de même 1 femme sur 5, âgée de 20 à 44 ans, qui est à risque de diabète. Ainsi, malgré toute leur bonne volonté, ces femmes sont souvent aux prises avec un manque de lait et doivent abandonner l’allaitement. 

Dans la poursuite de sa recherche sur le sujet, la Dre Nommsen-Rivières et son équipe ont prélevé l’ARN de glandes mammaires et ont détecté le gène PTPRF, en lien direct avec le dérèglement de l’insuline et la diminution de production de lait.

Des tests sont déjà en route pour intégrer un nouveau médicament qui permettra de contrôler la glycémie chez la femme enceinte diabétique ou encore à risque de développer du diabète de grossesse.

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Les grains entiers à forte teneur en fibres efficaces en prévention du diabète

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle analyse qui prône et vante les mérites des grains entiers, particulièrement ceux à forte teneur en fibres, dans la prévention du diabète.

Selon les chercheurs de la Harvard School of Public Health de Boston, chargés d’effectuer ces recherches par l’American Society for Nutrition, l’impact des grains entiers sur les risques de diabète est tout simplement non-négligeable.

« Les fibres de céréales pourraient bien être l’ingrédient protecteur des grains entiers qui permet de faire baisser les risques de développer du diabète », lance Lu Qi, l’un des auteurs de l’étude en question.

Après avoir révisé un nombre considérable d’études précédentes sur le sujet et en conduisant quelques tests, Qi et son équipe arrivent à la conclusion que d’ajouter cet aliment à une diète permettrait de réduire les risques de diabète jusqu’à 43 %, selon les cas.

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Autoproduction d’insuline : un espoir sérieux pour les diabétiques?

On en parlait récemment, une nouvelle théorie voit le jour en ce qui concerne le traitement du diabète. Il s’agit du principe d’autoproduction d’insuline, qui permettrait à un sujet atteint de la maladie de régénérer ses cellules productrices d’insuline par lui-même, selon ce que décrit et rapporte Top Santé.

Cette fois, des chercheurs de l’INSERM auraient réussi à démontrer hors de tout doute cette possibilité sur des rongeurs, une percée qu’ils rapportent dans un rapport publié dans le magazine Developmental Cell.

Les chercheurs ont constaté au fil de leurs recherches que malgré la perte des cellules productrices d’insuline, d’autres cellules de l’organisme pouvaient en fait en produire également!

En détournant certaines cellules de leurs fonctions primaires et en les utilisant à leurs fins, les spécialistes pourraient éventuellement en arriver à régénérer celles du pancréas.

C’est du moins ce qui a été démontré par ce modèle de test effectué sur des souris, une percée qui permettrait un jour aux victimes de diabète de type I, notamment, d’éviter les injections.

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Un lien entre la surconsommation de viande rouge et le diabète de type II est établi

Medical News Today rapporte les conclusions d’une étude traçant un lien entre la surconsommation de viande rouge et un risque accru de développer du diabète, notamment de type II.

Ce sont des chercheurs basés en Chine, à la National University of Singapore, qui publient cette recherche dans le prestigieux Journal of the American Medical Association.

Ces chercheurs asiatiques ont analysé le cas de près de 150 000 Américains en donnant suite à trois études sur le sujet, toutes concluantes.

Tout comme leurs prédécesseurs, les chercheurs en tête de l’étude ont constaté les effets à long terme d’une consommation élevée de viande rouge. On parle d’une durée moyenne de quatre ans avant de voir les risques de diabète de type II augmenter grandement à la suite d’une consommation accrue de ce type de viande.

En contrepartie, les sujets analysés qui avaient abaissé leur consommation de viande rouge ont vu leurs risques de développer ce type de diabète descendre de 14 %, toujours sur une période de quatre ans.

Les chercheurs confirment donc l’effet observable, mais rappellent que la viande peut apporter du bon, notamment du fer, mais que la modération est de mise.

Dans ce cas-ci, il semble que ce soit spécialement vrai!

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Déjeuner pour éviter le diabète

Voilà les trouvailles faites par la Dre Elizabeth Thomas de l’Université du Colorado lors d’une petite étude publiée par HealthDayNews.

Bien que les résultats de seulement 9 femmes d’âge moyen de 29 ans aient été analysés, ils ont montré une incidence directe. Les tests consistaient simplement en l’analyse des taux de sucre et d’insuline après le dîner.

Le premier jour, chaque femme avait aussi consommé un déjeuner. À ce moment, les taux se seraient montrés normaux. Le lendemain cependant, n’ayant pas ingéré de déjeuner, elles présentaient toutes une résistance à l’insuline, ce qui nécessiterait normalement une injection pour assurer l’équilibre du sucre dans le sang.

La Dre Thomas explique que bien que l’étude soit petite, les résultats sont très intéressants, même si le long terme n’a pas été observé pour le moment. En effet, si ces symptômes devenaient chroniques, les risques de souffrir de diabète augmenteraient.

Pour bien comprendre, il faut savoir qu’après un repas, le taux de glucose s’élève dans notre sang. C’est alors que notre système se met à libérer plus d’insuline, afin de convertir ce sucre en énergie. Si un déjeuner n’est pas consommé, le système aura besoin d’encore plus d’insuline pour gérer le prochain repas.

Alors que ces résultats sont en effet intéressants, ils ne démontrent qu’un lien, et non pas une causalité. De plus amples recherches devront être conduites afin d’approfondir celle-ci.

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Trois petites promenades qui peuvent tout changer

Le simple fait de faire une bonne marche après les repas pourrait grandement améliorer votre santé et votre qualité de vie, selon The National Library of Medicine.

De plus, une petite promenade amicale permet de faire baisser les risques de diabète, notamment de type II, selon les chercheurs de la George Washington University School of Public Health and Health Services.

Loretta DiPietro, auteure principale de l’étude en question, estime même que trois petites promenades de 15 minutes par jour, donc une fois après chaque repas, permettent de plus grands bénéfices pour la santé qu’une seule grande marche de 45 minutes quotidiennement.

« Plus important, les marches d’après-repas sont significativement meilleures que les deux autres prescriptions d’activité physique proposées pour faire baisser les taux de sucre dans le sang », lance DiPietro.

Il faut avouer que la méthode possède également l’avantage d’être simple, non éreintante, et qu’elle s’intègre facilement dans les activités quotidiennes.

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Une tasse de chocolat chaud avant d’aller au lit pourrait prévenir du diabète

Vous avez bien lu, le chocolat chaud pourrait prévenir le diabète, lorsque consommé juste avant de se mettre au lit, selon une étude.

C’est ce que rapporte le Daily Mail (UK), qui semble s’étonner tout autant de ces conclusions. En effet, le chocolat chaud, comme son nom l’indique, est une boisson sucrée que l’on ne serait pas porté à associer à une baisse des risques de diabète, au contraire.

Pourtant, selon les chercheurs de l’Université de Penn State (Pennsylvanie) qui publient leurs analyses dans l’European Journal of Nutrition, la consommation de poudre de cacao permet de réduire les risques de développement ou de progression du diabète de type II.

Le professeur Joshua Lambert ne cache pas sa propre surprise face aux résultats obtenus par son équipe. « Ce qui m’a surpris, c’est la magnitude de l’effet. Il n’y a pas eu d’impact majeur sur le poids du corps comme on le prévoyait, mais plutôt une réduction de l’inflammation et une amélioration au niveau des reins (baisse de triglycérides, notamment) », explique-t-il.

Voilà enfin une bonne raison de ne plus culpabiliser et de s’offrir un bon chocolat chaud en fin de soirée! 

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Prévention des dommages cérébraux chez les nouveau-nés

C’est sur le site Medicalxpress que nous apprenons cette nouvelle. À la suite d’une récente recherche faite par les spécialistes de l’Université de Manchester, il serait démontré que même les bébés souffrant de la moins sévère forme d’hyperinsulinisme présenteraient des risques de handicaps à long terme ainsi que des dommages au cerveau.

L’hyperinsulinisme est caractérisé par un taux sanguin d’insuline qui dépasse la norme et, par le fait même, abaisse le taux de glucose qui, lui, cause de l’hypoglycémie. Il s’agit en fait du contraire clinique du diabète.

L’étude a démontré qu’on dénote des signes de dommage au cerveau causé par ce phénomène chez le tiers des enfants de bas âge.

Ayant participé à la recherche, la Dre Karen Cosgrove de la Faculté des sciences de l’université déclare : « Notre nouvelle recherche prouve qu’il est important pour tous les bébés souffrant de ce mal d’être rapidement traités afin de prévenir une trop grande baisse de sucre dans le sang ».

Alors que les répercussions peuvent être très importantes, il existe cependant de très bons moyens de prévenir le tout en réajustant le taux sanguin avec la découverte hâtive du problème.

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Percée importante dans le contrôle du diabète de type 1

Des chercheurs américains ont effectué une percée intéressante en matière de contrôle du diabète, de type 1 dans ce cas-ci, selon Santé Log.

En effet, ces spécialistes du MIT (Massachusetts Institute of Technology) seraient parvenus à créer une injection capable de réguler les taux de glycémie sur une période pouvant s’étirer jusqu’à dix jours.

Ainsi, les patients souffrant de diabète de type 1 pourraient éviter les injections quotidiennes, qui posent un problème de qualité de vie pour ces personnes.

Cette avancée se base sur un concept de nanoparticules injectables, selon ce que l’on comprend des informations rapportées, qui parvient à analyser les besoins de l’organisme et livrer l’insuline au besoin, sans injection supplémentaire.

Maintenant en expérimentation, le « traitement » a fait ses preuves sur des souris diabétiques et permet d’entretenir de l’espoir. Plusieurs étapes restent à franchir, mais on croit que ce type d’injection efficace à moyen terme pourrait être proposé dans un avenir rapproché.

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La nutrition en prévention du diabète : quelques trucs et conseils

Top Santé profite d’une semaine thématique pour publier certains trucs nutritionnels en prévention du diabète.

La maladie fait des ravages, et le type II, notamment, serait en hausse depuis quelques années, un phénomène associé à la montée fulgurante des problèmes de poids et de l’obésité en Occident.

Pour augmenter ses chances de prévenir le diabète, on suggère donc notamment de se tourner vers les joies de la salade, spécialement en début de repas. Le vinaigre serait aussi un précieux allié contre des taux de sucre trop élevés, alors la combinaison salade-vinaigre en début de repas (exemple : avant de manger des pâtes) serait très efficace.

On conseille ensuite de boire du café sans faire de culpabilité, puisque celui-ci est reconnu pour ses vertus préventives contre le diabète de type II.

Au final, on ne réinvente pas la roue, mais on ne rappelle jamais assez l’importance d’intégrer les légumes à son alimentation. Moins de viandes, donc, et plus de légumes, afin d’afficher des taux plus réguliers de sucre et aussi faire baisser les risques de développer du diabète, peu importe sa forme.

On rappelle également l’importance de bien dormir, soit au moins six heures par nuit!