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Une première apparition publique pour Bruce Willis depuis son diagnostic de démence.

Bruce Willis a fait une première apparition publique depuis que sa famille a annoncé qu’il avait fait l’objet d’un diagnostic de démence frontotemporale.

Selon ce qu’a rapporté le Daily Mail, c’est jeudi que Bruce Willis a pu être aperçu alors qu’il prenait un café avec deux amis à Santa Monica, en Californie.

Des photos et des vidéos obtenues par le Daily Mail montrent que le comédien portait un jean, un chandail à manches longues et une tuque.

C’est en raison d’un diagnostic d’aphasie que Bruce Willis a dû prendre sa retraite l’an dernier. L’aphasie est une condition qui provoque une baisse des aptitudes linguistiques.

Quelques mois après la difficile annonce, la famille du comédien révélait en février dernier que son état avait maintenant progressé vers la démence.

Emma Heming, l’épouse de Bruce Willis, s’est jointe à l’ex-femme du comédien, Demi Moore, ainsi que ses cinq filles, afin d’exprimer leur gratitude pour les messages de soutiens qui ont été envoyés par les fans de l’acteur.

Rappelons enfin que les proches de Bruce Willis ont expliqué dans un communiqué qui a été publié sur le site web de l’Association for Frontotemporal Degeneration: «Aujourd’hui, il n’y a pas de traitements pour la maladie, une réalité qui, nous l’espérons, pourra changer dans les années à venir. Bruce a toujours cru à l’utilisation de sa voix dans le monde pour aider les autres et sensibiliser à des questions importantes, à la fois publiquement et en privé. Nous savons dans nos cœurs que – s’il le pouvait aujourd’hui – il voudrait réagir en attirant l’attention globalement sur ceux qui sont également confrontés à cette maladie débilitante et à l’impact qu’elle a sur tant de personnes et leurs familles.»

Voici les images:

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Un diagnostic d’autisme pour Louis T

Louis T, que l’on a pu voir de plus en plus au cours des dernières années, affirme avoir reçu un diagnostic tardif d’autisme.

L’humoriste serait atteint du syndrome d’Asperger, et témoigne de ce constat et de son expérience par l’entremise de son compte Facebook.

« «Bizarre», «particulier», «trop rationnel», «inadéquat», «maladroit», «insensible»… Ce sont des mots et qualificatifs que j’ai entendus toute ma vie, depuis mon plus jeune âge. Maintenant, les récents développements dans ma vie, comme avoir un enfant ainsi qu’écrire mon premier one-man-show, m’auront poussé à m’interroger. Moi qui me sent si différent des autres, pourquoi suis-je ainsi? Il y a quelques mois, je suis donc allé consulter un psy. Quelques tests plus tard, j’avais une partie de la réponse à savoir, «qui suis-je ?». Je suis un autiste! Plus précisément, je suis atteint du syndrome d’Asperger; ceux que l’on décrit aussi comme autiste avec un haut niveau de fonctionnement. Ce sont les mots de mon psychiatre, parce que selon ma blonde, je ne fais jamais rien à la maison. Mais ça c’est un autre sujet ? Qu’est-ce que ça change à ma vie de savoir ça? Ça me permet de mieux comprendre certaines erreurs que j’ai commises dans le passé et de les accepter. Aussi, de mieux me préparer pour les défis à venir de la vie quotidienne, encore plus pour les défis que comporte un métier public (quel drôle de choix!) », peut-on notamment lire sur la page de Louis T (extrait, intégral).

Les réactions sont nombreuses sur le compte de l’humoriste, que ce soit des gens du public ou des humoristes (comme P-A Méthot), venus saluer le courage et l’importance d’une telle révélation.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Robin Williams : Pas de problèmes financiers, mais un diagnostic de Parkinson

On en sait maintenant davantage sur certaines des raisons qui auraient poussé l’acteur à s’enlever la vie. Le vrai du faux se démêle progressivement dans le dossier de Robin Williams et des circonstances entourant sa mort prématurée.

D’abord, il appert que Robin Williams n’était pas au bord du gouffre financier. C’est l’une des publicistes de l’acteur qui a infirmé la rumeur, Mara Buxbaum, affirmant : « nous serions tous bénis d’avoir la situation financière de Robin ». Mme Buxbaum estime que l’on doit plutôt s’attarder à mieux comprendre la dépression sévère afin de s’attaquer au problème.

Une fois ce dossier réglé, c’est une autre nouvelle qui a eu l’effet d’une bombe dans cette triste histoire, alors que la femme de Robin Williams, Susan Schneider, a révélé au cours des dernières heures que son mari avait reçu un diagnostic précoce de la maladie de Parkinson, rapporte BANG Media International.

Un détail saisissant et qui permet de comprendre un peu mieux à l’état dépressif de la star qui s’est finalement enlevé la vie. Buxbaum affirme qu’il sera impossible de dresser un portrait clair de la situation psychologique de Robin Williams et de comprendre la vie qu’il aura vécue.

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Michael J Fox choqué par le diagnostic de Parkinson de Robin Williams

L’homme qui représente le visage de la lutte contre cette et qui donne chaque jour une leçon de courage à des millions de personnes, Michael J. Fox, ne savait pas que Robin Williams en souffrait aussi.

Se disant « stupéfait », Michael J. Fox dévoile cependant un autre détail troublant. En effet, Robin Williams aurait effectué des dons substantiels à la fondation de Michael J. Fox contre le Parkinson, la Michael J. Fox Foundation for Parkinson’s research, rapportent MetroNews et BANG.

Luttant lui-même contre la maladie de Parkinson depuis 1991, Fox sait très bien dans quel état un tel diagnostic peut placer une personne, ayant lui-même sombré dans l’alcool suite à la triste nouvelle.

« Ma première réaction a été de boire beaucoup. Avant, je buvais en soirée, mais là je buvais seul… et tous les jours », explique celui qui nous permet de comprendre un peu mieux le possible désarroi dans lequel était plongé Robin Williams juste avant sa mort.

Pour faire un don, ou en savoir davantage sur la maladie de Parkinson et la situation de Michael J. Fox, visitez le site de sa fondation, le www.michaeljfox.org.

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De sévères lacunes dans la détection de la malnutrition au Canada

Les centres hospitaliers et les médecins canadiens auraient du mal à détecter ou à prendre le temps de détecter les problèmes de malnutrition chez les patients qui se présentent aux urgences et en consultation, révèle une nouvelle étude.

La recherche, sous forme de sondage et rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il existe un écart significatif entre les pratiques jugées optimales et nécessaires dans la détection de la malnutrition, et celles observables sur le terrain au quotidien.

Menée par la Canadian Malnutrition Task Force, l’étude-sondage révèle que la plupart des médecins (87 %) estiment que les questions de nutrition sont vitales dans le maintien de la bonne santé et afin de tracer un bon diagnostic, lors de l’admission d’un patient et lors de son départ de l’hôpital.

« La malnutrition et les problèmes alimentaires des patients hospitalisés est une question qui peut affecter les soins de service au final, incluant la durée des soins nécessaires », mentionne la Dre Peggi Hunter de l’American Society for Parenteral and Enteral Nutrition (A.S.P.E.N.)

Cependant, seulement 33 % s’attarderaient à cette question lors de l’admission d’un patient, et 29 % lors du départ de celui-ci.

Les résultats de la recherche et du sondage ont été publiés dans le journal de l’A.S.P.E.N.

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Enfin un diagnostic de fatigue chronique?

Les personnes souffrant de ce qu’il est convenu d’appeler le « syndrome de la fatigue chronique » ne trouvent souvent pas beaucoup de soutien ou de compréhension auprès de leurs proches, leurs collègues ou même certains spécialistes en santé.

La raison de cette marginalisation est simple : il n’existe pour ainsi dire aucune manière de diagnostiquer le trouble. Cette absence de verdict clair empêche grandement la reconnaissance de ce mal qui touche pourtant plusieurs personnes.

« À ce jour, aucun marqueur biologique ou organique ne permet d’identifier ce syndrome. C’est un diagnostic difficile qui requiert l’exclusion des autres maladies responsables de fatigue chronique (cancer, maladies endocrines, maladies inflammatoires systémiques, psychiatriques, auto-immunes, etc.), explique d’ailleurs l’Association Française du Syndrome de Fatigue chronique.

Voilà qu’une nouvelle découverte permettrait de faire avancer la cause, alors que des chercheurs ont observé des différences physiques chez les patients atteints du syndrome grâce à des tests par résonnance magnétique, rapporte Top Santé.

Un dérèglement des ganglions cervicaux ou des noyaux gris seraient observables chez plusieurs patients de l’étude, ce qui permet aux spécialistes d’être optimistes quant à un possible diagnostic plus officiel du syndrome de fatigue chronique dans le futur.

Cette nouvelle percée et les conclusions de l’étude ont été publiées dans la revue PLoS One.

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Un grand nombre de Québécois ignorent leur état de santé

Les moments difficiles que vit le système de santé au Québec n’a pas que des impacts sur les patients à l’intérieur des murs des urgences et des centres hospitaliers du Québec, selon ce que rapporte Le Devoir.

L’impact des problèmes en santé frappe aussi un grand nombre de Québécois qui ignorent leur état de santé, croient des spécialistes.

C’est une étude-sondage menée auprès de 20 000 Québécois qui permet de tracer un tel constat, alors que plusieurs statistiques ont de quoi inquiéter largement.

Voici quelques exemples. De toutes les personnes sondées, 8 % présentaient des symptômes d’insuffisance rénale sans le savoir. 73 % seulement des personnes diabétiques connaissaient leur état, alors que seulement la moitié des sujets aux prises avec des niveaux de cholestérol trop élevés étaient au courant.

En clair, des centaines de personnes au Québec souffrent d’un trouble de santé important sans le savoir, conclut le Dr François Madore, qui commente l’étude. « Il y a des lacunes, visiblement on ne traite pas ces problèmes adéquatement et il faut comprendre pourquoi. »

L’étude confirme une nouvelle fois l’urgence d’agir en matière de santé au Québec, alors que le système semble ne plus proposer de solutions efficaces à son engorgement.

Les données de l’étude-sondage ont été publiées dans le Clinical Journal of the American Society of Nephrology et recueillies dans le cadre du projet CARTaGENE.

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Des médecins s’inquiètent d’éventuels surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer

Pourrait-on voir un phénomène de surdiagnostics de la maladie d’Alzheimer dans le futur, notamment avec la hausse des cas potentiels liés au vieillissement global de la population? C’est la conclusion que proposent des médecins britanniques dans une nouvelle étude, rapporte Top Santé.

Ces derniers estiment à 44 millions le nombre de personnes qui souffrent de troubles et déclins cognitifs, un nombre qui pourrait tripler d’ici 2050.

La hausse ouvre donc la porte aux diagnostics de plus en plus hâtifs, ce qui n’est pas une mauvaise chose en soi puisque la maladie d’Alzheimer peut être ralentie lorsque prise en charge rapidement.

Mais il existe un piège. « Fixer des objectifs pour le nombre de diagnostics de la maladie d’Alzheimer est dangereux. Le désir de faire grimper les taux pourrait pousser certaines personnes à être diagnostiquées à tort », explique le Dr Martin Brunet.

De nombreuses autres maladies et divers autres troubles de santé font également partie de ce qu’on appelle communément la « démence », et les médecins britanniques s’inquiètent de voir les patients qui en souffrent être mal diagnostiqués et, par conséquent, traités.

On estime cependant que la maladie d’Alzheimer représente jusqu’à 80 % des cas reconnus de démence.

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La mammographie démontre certaines lacunes

Les campagnes de prévention du cancer du sein et de sensibilisation à l’importance de la mammographie chez les femmes abondent depuis quelques années, et le test de dépistage gagne en popularité.

Sans complètement discréditer l’affaire, une nouvelle étude américaine place cependant un bémol et estime que la mammographie démontre certaines lacunes, rapporte par Top Santé. Selon les chercheurs de Harvard qui dirigent cette nouvelle étude, les médecins surestiment le pouvoir de la mammographie, qui ne serait pas aussi précise qu’on voudrait le croire.

Les chercheurs croient plutôt que la mammographie permet de réduire les risques de mortalité due au cancer du sein d’environ 20 %, sans plus. La diminution du risque augmente toutefois à mesure que l’âge d’une femme progresse, dépassant les 30 % après 60 ans.

« Il y a eu récemment beaucoup de confusion autour du dépistage du cancer du sein, et nous avons souhaité mettre tout cela à plat, à l’attention des médecins. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que les bénéfices des mammographies sont plus petits qu’on le pensait, et que leurs dangers, comme des radiographies à répétition ou des biopsies pour des tumeurs qui s’avèrent non cancéreuses, sont vraiment sous-estimés », précise la Dre Nancy Keating.

L’étude conclut également que certaines femmes seront diagnostiquées et traitées pour une tumeur qui ne serait jamais devenue maligne ou mortelle, une donnée étonnante qui fait réfléchir.

Les conclusions de l’étude de Harvard ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Des chercheurs découvrent un nouveau code génétique

Des scientifiques et chercheurs ont fait la découverte d’un « nouveau » code génétique de l’ADN humain, une trouvaille incroyable, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

La découverte de ce deuxième code, ou langage, de l’ADN serait celui qui indique les impacts des changements génétiques sur la santé, explique l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington.  

« Depuis quarante ans, nous avons présumé que les changements de l’ADN affectant le code génétique affectaient seulement comment les protéines sont produites. Maintenant, nous savons que cette présomption ratait la moitié du portrait global. Le fait que le code génétique puisse écrire simultanément deux types d’information signifie que les changements qui altèrent les séquences de protéines pourraient causer des maladies en changeant les contrôles génétiques, ou même les deux mécanismes en même temps », tente d’expliquer le Dr John Stamatoyannopoulos, directeur de ces incroyables travaux.

Ces recherches pourraient changer la donne en matière de diagnostic et de traitements de plusieurs maladies, grâce à l’étude et l’analyse de l’ADN d’un sujet donné, et pourraient radicalement changer la compréhension du processus génétique.

Le tout premier code génétique avait été découvert en 1960.