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Fibromyalgie : de plus en plus d’études et un nouveau test de dépistage

Il n’y a pas si longtemps, la fibromyalgie relevait pour plusieurs du mythe ou de la sorcellerie, et les femmes qui en souffraient se voyaient la plupart du temps isolées et incomprises.

La donne a cependant changé au cours des deux dernières années, alors que les études sur le sujet s’accumulent, dont cette plus récente rapportée par The National Library of Medicine, ainsi que la création d’outils de prévention et de traitement, comme le rapporte Top Santé.

D’abord, la première étude fait état d’un impact plus important de la fibromyalgie sur les femmes plus jeunes, expliquant que les symptômes de ce problème de santé sont souvent plus violents chez les femmes de 30 ans et plus.

Alors qu’on suggère à celles-ci de prendre le sujet au sérieux et de ne pas hésiter à consulter, on rapporte du même coup la création d’un nouveau test de dépistage qui se base sur l’analyse des protéines capables de prévenir de la douleur, produites en moins grande quantité chez les patientes atteintes de fibromyalgie.

« 83 % des personnes atteintes de fibromyalgie, et 89 % de celles qui ne souffraient pas de cette maladie, ont été identifiées correctement avec le test. Ces résultats doivent être considérés comme préliminaires. Ce test doit être éprouvé sur une plus grande échelle et validé par des experts médicaux extérieurs. Notre test, s’il est validé, permettra de légitimer le diagnostic et d’aider les malades à se soigner plus rapidement », résument en conclusion Bruce Gillis et Scott Zashin, d’EpicGenetics, l’entreprise créatrice du test en question.

S’il reste encore du chemin à faire en termes de dépistage, de prévention et du traitement de la fibromyalgie, tous ces exercices permettent au moins une plus grande sensibilisation au phénomène.

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Les hypocondriaques et Google ne font pas bon ménage

De plus en plus de gens consultent Google pour obtenir des explications médicales sur certains symptômes, ce qui agace un bon nombre de spécialistes et de praticiens, selon ce que rapporte le Telegraph (UK).

C’est que non seulement le célèbre moteur de recherche et les nombreux forums de discussion inhérents ne sont pas conçus pour diagnostiquer, ils ne font souvent que jeter de l’huile sur le feu pour les personnes sensibles ou carrément hypocondriaques.

Véritable phénomène en pleine progression, la « cyber-hypocondrie » ne fait que créer des paniques inutiles et perdre un temps précieux aux médecins qui doivent se battre contre un faux premier « diagnostic », croit justement le Dr Thomas Fergus de l’Université Baylor, au Texas.

Fergus croit que les dangers liés à l’utilisation de Google ou d’un autre moteur de recherche pour des fins de diagnostic sont nombreux. D’abord, les gens pourraient décider de s’automédicamenter en se basant sur ces résultats, mais plusieurs patients ressentiront aussi une anxiété et une détresse psychologique devant une situation qui n’existe probablement pas ou qui s’avère une distorsion de la réalité.

On conseille vivement de plutôt consulter un médecin pour connaître les explications entourant un ou plusieurs symptômes.

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Quand le iPhone devient le iDocteur

Le Telegraph (UK) propose un article des plus intéressants sur les capacités actuelles et futures de l’iPhone et des téléphones intelligents en matière de santé.

Si on connaissait déjà quelques-unes des applications proposées, d’autres piquent la curiosité, stimulent l’imaginaire ou surprennent carrément.

Notamment, le journaliste scientifique correspondant Richard Gray mentionne l’application qui permet de « lire » les battements du cœur et de définir l’état de santé d’un individu, comme un électrocardiogramme retrouvé en centre hospitalier.

La pression sanguine, la respiration, la toux et même les signes de commotion cérébrale peuvent également être analysés par un simple téléphone intelligent, tout comme l’ouïe et les capacités visuelles.

Mais il y a plus. Une application de l’iPhone permettrait également d’analyser les cycles du sommeil, alors qu’une autre peut « lire » dans vos empreintes digitales. Bien sûr, une autre pourra tout simplement analyser les symptômes proposés et en arriver à un diagnostic initial virtuel.

La liste se poursuit et continuera de s’allonger, démontrant que les nouvelles technologies peuvent et pourront améliorer certains de soins de santé ainsi que leur proximité, mais pourront également réduire les coûts annuels liés à la santé et désengorger certains départements.

Richard Gray espère voir des études cliniques confirmer officiellement les propriétés médicales possibles des téléphones comme le iPhone, et ainsi changer littéralement une partie de la face du monde médical tel qu’on le connaît.

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Percée technologique majeure en matière de dépistage du cancer du poumon

Excellente nouvelle que celle rapportée par Radio-Canada voulant que des chercheurs canadiens soient parvenus à mettre au point un logiciel capable d’aider les spécialistes à détecter le cancer du poumon plus tôt chez les patients qui en sont atteints.

Analysant chaque situation et permettant un diagnostic plus rapide, basé notamment sur les caractéristiques physiques de chaque patient, le logiciel permet également de définir la meilleure option de traitement possible.

Moins de risque d’erreurs médicales, moins de douleurs inutiles, moins de chances de voir un patient être pris en charge trop tard, voilà autant de bonnes nouvelles qui accompagnent la création de ce système informatique.

Les spécialistes derrière le projet espèrent voir cette nouvelle façon de faire s’implanter rapidement en oncologie un peu partout à travers le pays, et ainsi améliorer les traitements, mais aussi la prévention.

Cette dernière n’est pas excellente, selon les informations obtenues, et les Canadiens ne subissent pas de dépistage systématique de la maladie.

Il est donc d’autant plus important de voir apparaître de nouvelles méthodes comme celle-ci, afin d’enrayer au maximum ce type de cancer, qui représente une forte portion, en moyenne, des décès au Canada.

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Un nouveau test pourrait mieux définir le traitement de la dépression

Les antidépresseurs demeurent une bonne avenue pour soigner certains cas de dépression, mais on constate de plus en plus que certains abus pourraient être évités.

De plus, beaucoup d’études commencent à démontrer, voire prouver, que la solution la plus efficace à long terme pour permettre une véritable rémission s’avère la bonne vieille psychothérapie.

Bien entendu, chaque situation commande une action différente, et c’est justement ce principe qui a mené des chercheurs d’Atlanta, en Géorgie, à mettre au point un test qui permet de mieux comprendre chaque situation et d’offrir le bon traitement qui s’y rattache, explique le Daily Mail (UK)

Le test, sous forme de numérisation, analyse différents taux et différentes fonctions du cerveau qui, sans entrer dans les détails complexes, permettent de poser un bien meilleur diagnostic que celui d’une simple dépression.

Un diagnostic plus précis signifie inéluctablement un traitement plus efficace.

« Ces nouvelles données suggèrent que si vous traitez un patient selon le type de cerveau (et de ces résultats d’analyse), vous augmentez les chances de rémission de celui-ci », confirme la Dre Helen Mayberg, professeure de psychiatrie et auteure principale de cette étude fort intéressante.

De plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que la hausse des prescriptions d’antidépresseurs représente un problème de société relativement inquiétant.  

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Plus de diagnostics de cancer, mais aussi plus de rémissions au Québec

La hausse des diagnostics de cancer au Québec a de quoi rendre les citoyens nerveux, mais il faut d’abord comprendre que ces chiffres sont notamment explicables par le vieillissement global de la population.

De plus, la statistique va de pair avec celle concernant les taux de rémissions, qui sont aussi en hausse! Plus de diagnostics de cancer, donc, mais aussi plus de guérisons.

Avec une prévision de près de 50 000 nouveaux cas de cancer en 2013 au Québec, dont 20 000 décès, les chances de survie s’élèveraient donc maintenant à plus de 60 %.

Le cancer de la prostate et de la thyroïde sont même passés au-delà de la barre des 90 % de chance de survie, selon ce que rapporte Radio-Canada.

La Société canadienne du cancer demeure donc optimiste face à ces taux de succès, mais rappelle l’importance de ne pas fumer, alors que de plus en plus de jeunes commenceraient à découvrir les joies du tabagisme, comparativement aux dernières années.

« C’est malheureux à dire, mais on est peut-être en train de remplacer une génération de fumeurs par une autre. Donc, les gains qu’on avait peut-être réalisés au cours des dix dernières années, on va peut-être les perdre. Le tabagisme continue d’ailleurs à distinguer le Québec et l’est du pays », lance André Beaulieu, de la Société canadienne du cancer.

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Oncologie : l’avenir des diagnostics pourrait passer par la technologie

Top Santé rapporte des conclusions tirées d’une étude hollandaise, voulant que les ordinateurs puissent bientôt dépasser les spécialistes humains en terme de précision de diagnostic et de choix de traitements du cancer.

Selon les chercheurs hollandais, basés à l’Université de Maastricht aux Pays-Bas, les plus récents logiciels produits sont capables d’analyser les données d’un patient de façon si précise que ses conclusions pourraient bien être plus utiles et efficaces qu’un homologue médecin humain.

Bien sûr, le médecin demeure essentiel, mais ce dernier pourrait bientôt se tourner vers la machine pour l’aider à se diriger vers le bon choix de traitement pour son patient, et ainsi améliorer les chances de survie et de rémission.

Pour prouver ces dires, les chercheurs ont lancé un défi à un appareil informatique à la fine pointe de la technologie, qui consistait à analyser les données de 121 patients atteints d’un cancer du poumon, ou qui l’avaient été dans le passé.

L’ordinateur s’est avéré nettement plus précis dans ses prédictions, notamment de l’évolution de la maladie et de l’avenir du patient, que ses compatriotes humains.

« Nous savons qu’il y a beaucoup de facteurs qui jouent un rôle important dans le pronostic des maladies, et que les ordinateurs sont capables de les combiner. Notre étude prouve qu’il est très peu probable qu’un médecin puisse y arriver mieux qu’un logiciel », conclut le Dr Cary Oberije.

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Le diagnostic d’autisme dépend des symptômes chez l’enfant

Une nouvelle étude s’est attardée aux données provenant de 2757 enfants américains ayant reçu un diagnostic de trouble dans le spectre de l’autisme (TSA). Bien qu’il existe officiellement une liste de 600 combinaisons de symptômes reliés au trouble, les chercheurs se sont attardés à 12 comportements principaux qui sont habituellement utilisés pour diagnostiquer l’autisme.

Sans grande surprise, les enfants qui présentaient plus de symptômes recevaient un diagnostic plus tôt. Par exemple, ceux qui avaient l’ensemble des caractéristiques étudiées recevaient en moyenne leur diagnostic à l’âge de 3,8 ans, tandis que ceux qui ne présentaient que 7 des symptômes pouvaient attendre jusqu’à 8,2 ans.

En général, certains symptômes étaient également associés à un diagnostic plus hâtif, particulièrement une communication non verbale pauvre et des comportements répétitifs.

L’auteur de l’étude, Matthew Maenner, a noté que « le fait d’augmenter l’intensité de la détection de l’autisme permettrait d’identifier plus d’enfants plus tôt, mais permettrait aussi de diagnostiquer des enfants plus vieux qui n’auraient peut-être pas été identifiés comme ayant un TSA », selon Science Daily.

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Potins

Anastacia reçoit un autre diagnostic de cancer

La chanteuse Anastacia vient de recevoir une bien mauvaise nouvelle : le cancer du sein qui l’affligeait en 2003 est de retour.

C’est le diagnostic reçu par la chanteuse, quelque temps avant que s’entame sa tournée européenne, qui devra maintenant être repoussée afin de lui permettre de se concentrer à combattre la maladie.

L’interprète de I’m Outta Love, 44 ans, déclare : « Je me sens tellement mal de laisser tomber tous mes incroyables fans qui avaient hâte à la tournée It’s a Man’s World Tour. Ça me brise le cœur de les décevoir ».

Un autre communiqué, publié cette fois sur la page Facebook d’Anastacia, stipule : « Maintenant, plus que jamais, elle est déterminée à vivre selon sa philosophie : ne laissez jamais le cancer avoir le meilleur de vous. Une survivante née, Anastacia n’a qu’un but, retrouver le chemin de la santé, une pleine rémission, avec le soutien de sa famille, de ses amis et de tout le monde autour d’elle ».

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Un nouveau test de dépistage du Parkinson pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une possible percée en matière de dépistage de cette maladie. Elle pourrait, qui plus est, être effectuée dans un avenir rapproché.

Ce sont des spécialistes de la fameuse clinique Mayo qui font cette promesse, alors qu’ils affirment avoir mis au point un nouveau système qui permet de détecter les cas de Parkinson.

Le test s’effectue à partir de la glande sous-maxillaire et des glandes salivaire des patients. Il pourrait non seulement améliorer les diagnostics, mais aussi préparer le terrain pour de nouveaux traitements.

On apprend du même coup que 30 % des diagnostics de Parkinson sont émis à tort, un chiffre qui a de quoi surprendre.

On est déjà bien avancé dans les phases de test, affirment les chercheurs de la clinique Mayo. D’ailleurs, ils présenteront le fruit de leurs efforts dans une étude détaillée qu’ils déposeront en mars prochain.

On aurait déjà testé le procédé sur 15 patients, fin soixantaine, atteints de Parkinson depuis au moins dix ans. 9 résultats sur les 11 cas détectés se sont avérés concluants à l’aide de la biopsie de la glande sous-maxillaire.