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Diagnostiquer une maladie infectieuse ou en cancer en quelques minutes

Une équipe de l’Université de Toronto travaille depuis des années à créer une machine capable de poser un diagnostic de maladies infectieuses ou de cancer en quelques minutes.
 
Cette réalisation s’approche de plus en plus de sa mise en marché.
 
Une machine, similaire à un lecteur de cartes de crédit, dans laquelle on insère une micropuce contenant un échantillon de sang ou de salive permet de donner un diagnostic d’une infection ou d’un cancer.
 
En fait, la micropuce serait capable de détecter de très petites quantités de biomolécules anormales qui indiquent si la personne est malade.
 
La machine est peu coûteuse, ce qui permettrait une mise en marché très vaste. Celle-ci pourrait se faire dans deux ans si tout va bien.
 
Auparavant, d’autres tests cliniques doivent être faits, et on devra obtenir une approbation pour la mise en marché.
 
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Erreurs nombreuses dans les échographies

On lit dans Ultrasound in Obstetrics and Gynecology que trop d’erreurs de diagnostic s’immiscent dans les échographies. Il en résulte des interruptions de grossesse qui ne seraient peut-être pas nécessaires.

En effet, une étude menée par différentes instances du Royaume-Uni vient de prouver qu’il se fait beaucoup trop d’erreurs lors des échographies hâtives. En ce moment, on dénote une grossesse à risque par l’évaluation du diamètre moyen du sac gestationnel ainsi que la longueur cranio-caudale.

Les critères d’évaluation de ces indices varient beaucoup d’un pays à l’autre, semble-t-il, ce qui fait que les erreurs seraient beaucoup trop nombreuses. Entre autres, près de 400 diagnostics fautifs seraient posés chaque année au Royaume-Uni.

On suggère donc fortement d’instaurer des règles universelles quant à la détection d’une grossesse à risque. Par exemple, les critères pourraient être moins rigides, et une deuxième échographie hâtive pourrait être requise si un premier diagnostic est incertain.

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Un nouvel outil pour détecter les mélanomes

Santé Canada a donné le feu vert à la commercialisation du Verisante Aura. Il s’agit d’un appareil mis au point par des chercheurs de la British Columbia Cancer Agency pour détecter les grains de beauté qui sont en fait des mélanomes.
 
Selon Verisante.com, cet outil aidera grandement les dermatologues, car le diagnostic pourra être posé seulement en tenant le Verisante Aura à proximité d’un grain de beauté. L’appareil mesurera les vibrations et la concentration de différentes molécules afin de détecter s’il s’agit d’un mélanome.
 
Le tout se fera sans douleur ni recours à la biopsie, contrairement à la méthode utilisée aujourd’hui.
 
Le diagnostic pourra également être plus rapide, car il ne suffit que de quelques secondes à l’appareil pour faire un diagnostic.
 
Verisante espère obtenir le feu vert des autorités européennes et australiennes d’ici la fin de l’année, et ensuite obtenir l’accord de la Food and Drug Administration aux États-Unis.
 
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Diagnostic déficient de l’appendicite chez l’enfant

Il semble que des questions financières atteignent la santé des enfants. On apprend dans Le Figaro que près de 18 000 enfants ont reçu un diagnostic 48 heures plus tard que d’autres, en vue d’éviter un trop grand nombre d’interventions coûteuses.

Il s’en est suivi une catastrophe, pour ces enfants. Parmi ceux qui auront ainsi attendu, 22,6 % ont subi une rupture de leur paroi de l’appendice. De plus, une vingtaine d’enfants diagnostiqués trop tard pour une crise d’appendicite auront eu à subir une chirurgie visant à enlever une partie du côlon.

Les enfants tardivement diagnostiqués auront aussi été hospitalisés plus longtemps que les autres; on parle ici d’une proportion comparative de 3,5, soit de 3 à 10 jours.

D’autre part, les considérations financières auront été vaines, car ces diagnostics tardifs auront finalement coûté deux fois plus cher aux compagnies d’assurance.

Toutefois, il faut mentionner que le diagnostic de la crise d’appendicite est ardu chez l’enfant. Il existe malgré tout le score d’Alvaro, lequel sert à évaluer efficacement l’urgence de la situation.

Dans cette charte, chacun des symptômes de l’appendicite correspond à un nombre de points; au-dessus de quatre, le patient est en observation; au-dessus de six, on procède à une intervention.

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Nouvel espoir pour le cancer de l’ovaire

Un nouveau programme pancanadien de diagnostic et de traitement du cancer de l’ovaire sera prochainement mis sur pied.
 
35 chercheurs seront regroupés pour mieux comprendre la maladie, mais surtout mieux dépister les nouveaux biomarqueurs afin de poser un diagnostic précoce et offrir des traitements mieux ciblés à chaque patiente.
 
L’Hôpital Notre-Dame de Montréal, l’Institut de recherche Terry Fox et le Partenariat canadien contre le cancer ont annoncé qu’ils investiraient 5 millions de dollars au cours des cinq prochaines années dans ce nouveau programme.
 
En ce moment, le cancer de l’ovaire est la cinquième cause de décès par cancer au pays. Il touche 2500 Canadiennes chaque année et malheureusement, 1700 en décèdent annuellement.
 
Ce type de cancer montre très peu de symptômes et souvent, lorsque le diagnostic est posé, la maladie est déjà à un stade avancé. Voilà pourquoi il est important de créer de meilleurs moyens de dépister la maladie.
 
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Le diagnostic précoce de la démence est primordial

D’après le rapport annuel de l’organisme Alzheimer’s Disease International, 75 % des 36 millions de personnes atteintes de démence n’ont pas reçu de diagnostic et n’ont aucun traitement, ce qui pourrait pourtant améliorer grandement leur qualité de vie.
 
On dénonce le fait que la démence est bien souvent perçue comme un processus normal du vieillissement, mais ce n’est pas le cas. Cette façon de voir les choses retarde donc le diagnostic précoce.
 
Dépister rapidement la démence permet de traiter la personne par des médicaments et un suivi psychologique. Cela améliore la mémoire et permet de conserver plus longtemps son indépendance et sa qualité de vie.
 
Aussi, il est plus facile de conseiller les aidants naturels qui verront leur humeur s’améliorer et leur fatigue diminuer.
 
Un diagnostic précoce retarde également l’entrée dans une résidence pour personnes âgées et permet des économies à l’État.
 
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Dangers des rayons X pour les enfants

On présente, dans la revue médicale Deutsches Arzteblatt International, des façons de réduire l’intensité des rayons X passés sur les enfants, sans compromettre pour autant la valeur du diagnostic.

Par exemple, on peut réduire le temps d’exposition au maximum et employer les systèmes de stockage CTP actuels.

Sinon, les mesures préventives d’usage doivent encore être suivies à la lettre. L’emploi correct des empiècements dédiés aux rayons X peut en lui seul constituer la meilleure des préventions.

En effet, nous savons que les rayons X sont plus dangereux pour les enfants que les adultes. Comme les petits ont des tissus à plus forte division cellulaire, cette procédure médicale peut entraîner des dommages aux cellules.

De plus, le corps des enfants étant composé d’une plus grande quantité d’eau, il absorbe plus, de ce fait, les radiations.

Les dommages encourus peuvent toucher jusqu’aux gènes.

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La dépression n’a pas d’âge

Une étude controversée nous démontre que des enfants âgés d’à peine trois ans pourraient recevoir un diagnostic de trouble dépressif majeur.

Des chercheurs auraient en effet décelé certains modèles cérébraux chez des enfants dépressifs qui ressemblent beaucoup à ceux d’adultes atteints du même trouble.
 
Cette découverte est des plus surprenante, car on parle ici d’enfants âgés de seulement trois ans. La recherche menée par l’Université de Washington porte à croire, pourtant, que les enfants ont déjà les capacités cognitives et émotionnelles pour vivre une dépression.
 
Les chercheurs ajoutent qu’une dépression en bas âge laisse certaines marques au cerveau. Les enfants dépressifs semblent donc prédisposés à vivre une dépression une nouvelle fois, une fois qu’ils sont adultes.
 
Une analyse hâtive de ces marques cérébrales, soit dès l’âge de quatre ou cinq ans, permettrait une intervention plus rapide auprès des enfants atteints.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dans le Journal of Affective Disorders.

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Une analyse sanguine pour détecter le cancer du côlon

La Saskatchewan vient d’être la première province canadienne à permettre le recours à l’analyse sanguine pour poser un diagnostic de cancer du côlon.
 
Le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus répandu et le plus meurtrier. Par contre, lorsqu’il est décelé à un stade précoce, il se traite bien dans 90 % des cas.
 
5 000 patients ont participé aux essais cliniques qui ont donné des résultats plus que prometteurs. Dans 87 % des cas, on a pu détecter un cancer du côlon à un stade précoce grâce à l’analyse de sang.
 
Ces tests ont été menés par Phenomenome Discoveries. Dans l’échantillon sanguin du patient, on mesure le niveau de métabolites, ceux-ci étant déficients chez les personnes atteintes de cancer colorectal.
 
Espérons que cette nouvelle façon de poser un diagnostic s’étende au reste du pays, ce qui permettra de mieux traiter les patients, et ce, dans les plus brefs délais, favorisant ainsi la guérison.
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Un test sanguin pour diagnostiquer la maladie d’Alzheimer

Un nouveau test pour diagnostiquer la maladie d’Alzheimer pourrait bientôt être offert sur le marché.
 
Jusqu’ici, il n’existait aucun outil permettant de déceler de façon définitive la maladie d’Alzheimer. Toutefois, grâce à une équipe québécoise, cela serait maintenant possible.
 
En effet, des chercheurs du Centre universitaire de santé McGill ont créé un test sanguin qui permet le diagnostic précoce de la maladie.
 
Ce test est basé sur le processus biochimique. Il permet non seulement de déceler la maladie très tôt, mais aussi de la différencier des autres types de démences.
 
Il existe une hormone spécifique dans le cerveau qui permet ce diagnostic. Chez les personnes qui n’ont pas la maladie d’Alzheimer, les chercheurs ont réussi à en augmenter la production, mais l’oxydation du sang n’a pas permis d’augmenter cette hormone chez celles qui étaient atteintes de la maladie.
 
Les résultats de cette recherche, menée en collaboration avec une équipe de l’Université de la Californie à San Diego, ont été publiés dans le Journal of Alzheimer’s Disease.