Diamond Princess

Coupés de tout contact avec le monde extérieur, les passagers du Diamond Princess ont reçu des présents pour souligner la fête des amoureux.

Amarré au quai de Yokohama, le navire compte à son bord 3 600 personnes. Au moins 219 passagers ont contracté le coronavirus, appelé maintenant COVID-2019, et ont été débarqués afin d’être soignés.

Les autres passagers tentent de passer le temps comme ils le peuvent, étant confinés entre les quatre murs de leur cabine.

Pour la Saint-Valentin, le personnel d’équipage a remis à chaque passager un ensemble cadeau regroupant fleurs, chocolats ou masque de détente. Des repas spéciaux du midi et du soir ont aussi été concoctés pour cette journée spéciale.

44 passagers du Diamond Princess ont obtenu la permission de quitter le navire après que des examens poussés n’aient révélé aucun de problème de santé. La fin de la quarantaine pour les autres passagers devrait être le 19 février prochain.

Dans le monde, en date du 13 février, l’Organisation mondiale de la santé dénombrait 46 997 cas de COVID-2019. 1368 personnes sont décédées du virus.

Photo : Cover Images

Les 3700 passagers qui sont confinés à leur cabine pour 14 jours viennent de se faire offrir gratuitement du divertissement pour adultes virtuel.

Le site CamSoda, qui se spécialise dans les spectacles pour adultes en ligne, a offert gracieusement aux passagers des séances de divertissement avec ses modèles pour briser la monotonie de la quarantaine.

Par communiqué, le site explique sa démarche.

« Ils (les passagers) n’ont pas uniquement à faire face à la peur du virus, ce qui est déjà terrifiant, mais aussi à l’ennui. Pour briser cet ennui, nous offrons aux passagers et aux membres d’équipage la possibilité d’avoir du plaisir en toute sécurité et dans un environnement contrôlé », explique le vice-président de la société.

Sur les 3700 personnes à bord du navire amarré à un quai au Japon, 35 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus (2019-nCoV).

Ce virus apparu à la fin de l’année en Chine n’a pas d’antivirus connu et peut être mortel. En date du 9 février, 37 758 cas avaient été confirmés par l’Organisation mondiale de la santé. 813 personnes avaient perdu la vie.

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