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Diazépam et lorazépam aussi efficaces pour traiter les crises d’épilepsie chez l’enfant

Le status epilepticus est un état de crise épileptique prolongé, qui représente annuellement 10 000 admissions d’enfants dans les urgences des hôpitaux des États-Unis uniquement.

En ce moment, il existe principalement deux médicaments sur le marché pour traiter rapidement ces crises importantes par intraveineuse. Ils permettent d’éviter des lésions permanentes et des complications potentiellement mortelles telles que l’insuffisance respiratoire.

Puisque seul le diazépam est approuvé par la FDA (Food and Drug Administration), le lorazépam étant considéré moins efficace, des scientifiques ont souhaité valider l’information, rapporte Medical News Today.

Le Dr James M. Chamberlain du Centre médical pour enfants de Washington et ses collègues du Pediatric Emergency Care Applied Research Network ont traité de façon aléatoire 273 enfants de 3 mois à moins de 18 ans qui souffraient du status epilepticus, soit avec le diazépam ou le lorazépam. Les interventions ont eu lieu dans 11 différents hôpitaux.

Les résultats sont clairs. L’efficacité à l’intérieur de 10 minutes, sans récurrence de la crise après 30 minutes, a été identique avec les 2 prescriptions : 72,1 % pour le diazépam et 72,9 % pour le lorazépam.

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Nouveau traitement contre l’épilepsie

Alors que les injections traditionnelles de Diazépam par voie rectale forçaient les parents à violer le respect de l’intimité des enfants quand les crises survenaient dans les lieux publics, le Buccolam viendrait régler ce problème tout en gardant la même efficacité.

Sur psychoenfants.fr, il est expliqué que la molécule nommée « midazolam » était d’abord destinée aux adultes. Ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché (AMM) depuis un moment, le nouveau médicament, qui permet de mieux traiter les crises d’épilepsie des jeunes, peut être injecté par voie parajugale (entre la joue et la gencive).

Le traitement faisant figure de pionnier dans le traitement de l’épilepsie chez l’enfant est tout aussi efficace que l’habituel. De plus, il offre une solution beaucoup plus respectueuse et moins angoissante tant pour les petits que pour les gens devant l’administrer.

Les bienfaits du Buccolam sont nombreux. Notamment, il est présenté sous forme de seringues pré-remplies de la dose adéquate selon l’âge de l’enfant. Cela évite au soignant de s’assurer de la bonne dose à injecter, ce qui comportait des risques d’être trop approximatif.

Voilà une excellente nouvelle, tant pour les enfants que pour les donneurs de soins.

s que les injections traditionnelles de Diazépam par voie rectale forçaient les parents à violer le respect de l’intimité des enfants quand les crises survenaient dans les lieux publics, le Buccolam viendrait régler ce problème tout en gardant la même efficacité.

Sur psychoenfants.fr, il est expliqué que la molécule nommée « midazolam » était d’abord destinée aux adultes. Ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché (AMM) depuis un moment, le nouveau médicament, qui permet de mieux traiter les crises d’épilepsie des jeunes, peut être injecté par voie parajugale (entre la joue et la gencive).

Le traitement faisant figure de pionnier dans le traitement de l’épilepsie chez l’enfant est tout aussi efficace que l’habituel. De plus, il offre une solution beaucoup plus respectueuse et moins angoissante tant pour les petits que pour les gens devant l’administrer.

Les bienfaits du Buccolam sont nombreux. Notamment, il est présenté sous forme de seringues pré-remplies de la dose adéquate selon l’âge de l’enfant. Cela évite au soignant de s’assurer de la bonne dose à injecter, ce qui comportait des risques d’être trop approximatif.

Voilà une excellente nouvelle, tant pour les enfants que pour les donneurs de soins.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net