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Un régime alimentaire sain pour éviter les problèmes cardiaques récurrents

Si vous êtes aux prises avec une maladie cardiovasculaire ou que vous entretenez de mauvaises habitudes alimentaires qui pourraient endommager votre cœur, n’allez pas croire qu’il est trop tard pour y changer quelque chose et améliorer votre régime.

Une nouvelle recherche vient confirmer qu’une diète saine permet d’éviter un second incident cardiaque ou encore le développement d’une maladie cardiovasculaire.

Ainsi, les spécialistes de l’American Heart Association à la tête de ces recherches veulent sensibiliser les gens qui ont déjà des problèmes connus au cœur afin qu’ils comprennent bien l’importance d’un régime alimentaire sain.

De plus, on souligne que trop de gens croient que comme ils sont sous médication pour le problème qu’ils vivent, ils n’ont plus besoin de surveiller ce qu’ils mangent. Rien n’est plus faux, selon l’étude publiée dans le journal Circulation et rapportée par newsroom.heart.org.

Dre Mahshid Dehghan, chercheuse au Population Health Research Institute et auteure de l’étude en question, explique : « Parfois, les gens croient que leur régime alimentaire n’a aucune incidence à cause de leur traitement qui fonctionne déjà très bien, pour la haute pression ou le cholestérol, notamment. C’est faux. Les modifications au régime alimentaire sont aussi vérifiables que les effets des différents traitements qu’ils reçoivent ».

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Le régime alimentaire des Américains bien en deçà des normes prescrites

Les autorités et associations américaines pour la santé doivent certainement commencer à être découragées par le comportement de leurs concitoyens, alors qu’une nouvelle étude vient encore confirmer que les Américains ne respectent pas les normes alimentaires prescrites par leurs propres spécialistes.

Ainsi, www.nlm.nih.gov rapporte qu’une récente étude sur le sujet démontre un manque flagrant de conscientisation alimentaire chez l’Américain moyen.

Cependant, les conclusions donnent tout de même de bonnes notes aux gens plus âgés, aux femmes ainsi qu’aux enfants, quoique les résultats demeurent décevants. C’est donc particulièrement inquiétant dans le cas des hommes d’âge moyen, qui ne semblent pas se soucier outre mesure de ce qu’ils avalent.

L’étude analysait les comportements alimentaires de 8272 Américains et proposait un système de pointage. Pour chaque aliment suggéré par l’Association (comme les fruits, les légumes, les noix, le poisson, etc.), on accordait des points. Seules les personnes âgées ont obtenu la note de passage, et de peu (65 %).

Gary Bennett, chercheur à l’Université Duke de Durham, en Caroline du Nord, conclut en affirmant : « Je crois qu’il s’agit d’une étude importante, parce qu’elle démontre clairement ce que nous avons suspecté depuis longtemps : il existe des disparités profondes dans les régimes alimentaires des Américains. La diète américaine en soi doit s’améliorer ».

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Un régime fort en glucides lié à la progression du cancer du côlon?

Les preuves ne sont plus à faire concernant le lien direct entre le style de vie et la progression de certaines maladies. Les études s’empilent à ce sujet, et en voici une toute récente qui trace cette fois un lien entre un régime à forte teneur en glucides et la progression du cancer du côlon.

Il appert, selon www.nlm.nih.gov, que les patients qui souffrent déjà de ce type de cancer ont plus de chances de voir la maladie progresser ou réapparaître s’ils suivent une diète forte en glucides.

La même chose se vérifierait chez les gens qui consomment plus de pain, de pommes de terre et de pâtisseries, affirment les chercheurs.

Le Dr Jeffrey Meyerhardt, de l’Institut Dana-Farber contre le cancer, explique : « Étant donné que ce lien est maintenant défini et qu’on peut considérer que plusieurs patients atteints du cancer du côlon qui suivent un régime fort en glucides après le diagnostic le faisaient aussi avant, nous ne pouvons exclure la possibilité que ce type de régime alimentaire augmente le risque de cancer ».

Des révélations-chocs qui ne semblent laisser place qu’à très peu de débats.

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Pas de diète pour Adele, sauf si sa vie sexuelle est en cause

La chanteuse affirme cependant que le jour où sa vie sexuelle souffrira à cause de son surpoids, elle se mettra à la diète.

L’interprète de Someone Like You, qui vient tout juste de donner naissance à un garçon, préfère ignorer les commentaires dégradants sur sa silhouette. Malgré ce qui circule régulièrement sur les médias sociaux, Adele est bien dans sa peau.

La chanteuse de 24 ans a lu un commentaire sur YouTube et croyait que ça l’atteindrait personnellement. Ce ne fut pas le cas.
 
« J’ai toujours été bien dans ma peau, même à ce poids. Si ma santé ou ma vie sexuelle sont en jeu, ce qui n’est pas le cas, je ferai le nécessaire. »
 
Même le directeur artistique de Chanel, Karl Lagerfeld, a causé un scandale en disant qu’Adele était « un peu trop grosse », mais il s’est excusé par la suite.
 
Vous pouvez découvrir qui se cache réellement sous l’artiste qu’est devenue la très talentueuse chanteuse. Une biographie vient tout juste de sortir, intitulée Adele: The Biography.
 
Mais aucun indice sur l’homme qui lui a brisé le coeur et qui a inspiré ses meilleurs succès. Adele a seulement confessé qu’il « était plus âgé et avait une vie professionnelle réussie ».
 
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Une diète riche en protéines pour favoriser la perte de poids

Les gens qui consomment beaucoup de protéines lors de leurs repas et collations pourraient bien réussir à perdre quelques livres de plus que les autres, selon www.nlm.nih.gov.

Ces résultats proviennent d’une analyse de plusieurs études qui tendent à démontrer que sur une période de 12 semaines, ceux qui ont haussé leur consommation de protéines auraient perdu 1,8 livre de plus que ceux qui en mangeaient moins.

Tous les autres facteurs alimentaires devaient être similaires entre les groupes de gens étudiés, afin d’en venir à ces conclusions.

Ainsi, les protéines pourraient aider ceux qui aimeraient perdre quelques livres, raconte le Dr Thomas Wycherley, de l’Université d’Australie du Sud.

Il explique : « Les pertes de poids du groupe super-protéiné étaient supérieures, mais de façon modeste. Même à faible échelle, ceci peut tout de même signifier une importance clinique pour la population en général ».

Aucun changement n’a toutefois été observé en ce qui a trait aux taux de cholestérol ou de pression sanguine chez un groupe ou l’autre, précise l’étude.

Dr Wicherley émet l’hypothèse que le corps dépenserait peut-être plus de calories en brûlant des protéines que d’autres éléments.

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Le fast-food reçoit un autre blâme

Les chaînes de restauration rapide n’ont vraiment pas bonne presse depuis le tournant des années 2000, et les gens qui ignorent les effets néfastes de cette nourriture n’ont sûrement pas ouvert un journal depuis 12 ans.

Qu’à cela ne tienne, les chercheurs et spécialistes du monde entier s’entendent pour dire qu’on ne fera jamais assez de prévention en terme de nutrition, et spécialement pour prévenir les gens des dangers de la malbouffe.

Cette fois, c’est une équipe de l’Université de Montréal qui attaque le fast-food, en mettant en garde contre les méfaits immédiats de la malbouffe sur les artères. Ils ont comparé ce type de régime à une diète méditerranéenne, afin de confirmer la présence de différents types de gras, rapporte www.nlm.nih.gov.

Les conclusions confirment effectivement que la malbouffe renferme des gras saturés, nocifs, alors que les plats dits méditerranéens contiennent plutôt des gras polyinsaturés bénéfiques.

L’étude suivait 28 hommes non-fumeurs qui adoptaient d’abord un régime alimentaire santé. Puis, on leur a offert un repas de fast-food une semaine plus tard.

Ce seul repas a entrainé des dommages aux fonctions endothéliales, qui jouent un rôle dans la dilatation des vaisseaux sanguins. Ce système influence la possibilité de développer ultérieurement des problèmes cardiaques.

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Du sommeil de qualité pour contrer l’obésité

Santelog.com rapporte une étude de l’Académie de Nutrition et de Diététique, qui affirme pouvoir faire une corrélation entre le manque de sommeil et la prise de poids substantielle.

Ainsi, lorsque vient le temps de construire un plan de match pour perdre des kilos en trop, il faudrait inclure le sommeil dans sa stratégie. Il est facile (et normal) de se concentrer sur son régime alimentaire et sur les exercices physiques, mais si on n’en dort plus la nuit, les effets seront plus limités, toujours selon l’étude.

Plusieurs recherches ont déjà démontré certaines corrélations entre le manque de sommeil partiel (moins de six heures par nuit), et il semble qu’elles avaient raison.

De fait, les gens dorment de moins en moins et gagnent du poids, un facteur souvent oublié par les praticiens et nutritionnistes, souligne la professeure Sharon Nickol-Richardsons, de l’Université de Pennsylvanie.

Son équipe a étudié d’autres recherches publiées entre 1996 et 2011 afin de faire la corrélation entre la privation de sommeil et son effet sur l’organisme.

Les chercheurs concluent qu’en plus de nuire au métabolisme, le manque de sommeil augmente l’appétit, ou l’impression d’avoir faim, deux facteurs qui ne favorisent en rien la perte ou la régulation de poids.

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Le diabète et son régime

Le site topsanté.com a tenté de répondre à cette question, et il semble que plusieurs mesures alimentaires peuvent être observées afin de réduire les risques de développer cette maladie.

Bien sûr, comme pour la plupart des maladies graves, l’hérédité est un facteur important. Bien que l’on ne puisse changer sa ligne d’ADN, on peut néanmoins être doublement vigilant lorsque vient le temps de s’alimenter. Et les autres ne sont pas en reste, car il est bien sûr conseillé à tout un chacun de bien manger.

D’abord, on parle de « sucres lents ». Il semble que contrairement aux perceptions de la population, le sucre retrouvé dans les aliments ne provoque pas toujours le diabète de la façon qu’on pourrait le croire. Certains sucres, les lents, sont à favoriser. On les retrouve notamment dans les pâtes de blé dur et les légumineuses.

Pour ce qui est des pâtes traditionnelles, du riz et du pain, auxquels on accolait le terme « sucre lent », il semble que cela dépende de la façon dont ils sont apprêtés.

Pour le reste, des tests de dépistage sont conseillés, que vous soyez à risque de façon héréditaire ou non.

Les trois autres principaux éléments de risque concernant le diabète sont l’âge (plus de 45 ans), le surplus de poids et l’hypertension.

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Être végétarien améliorerait l’humeur

Selon une étude publiée en février dans le Nutrition Journal, un groupe de gens omnivores ayant éliminé la viande, la volaille et le poisson de leur diète durant deux semaines ont vu leur humeur s’améliorer.

En fait, en comparaison à la diète des végétariens, celle des omnivores est riche en acide arachidonique, un oméga-6. Dans le passé, les recherches ont montré que la grande consommation de ce type d’acide, que l’on trouve principalement dans la viande rouge, la volaille et quelques poissons, causait des changements dans le cerveau qui pouvaient affecter négativement l’humeur.

De plus, la présence d’acide arachidonique dans le sang, en contact avec l’acide eicosapentaénoïque (oméga-3), était liée aux symptômes cliniques de la dépression.

Selon l’auteure de la recherche, Bonnie Beezhold, les régimes végétariens sont naturellement moins riches en acides gras oméga.

Alors que l’on ne cesse de vanter les bénéfices des oméga-3 pour notre cerveau, les oméga-6, eux, pourraient causer plus de tort que de bien, selon les experts.

Ces changements engendrés par les oméga-6 pourraient être en partie contrés par la consommation de noix de Grenoble et de graines de lin.

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Les sodas diètes représentent-ils un réel danger?

Récemment, on a souvent pointé du doigt les boissons diètes, affirmant qu’elles augmentaient de 44 % les risques de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral (AVC) chez les personnes qui en consommaient tous les jours.
 
Selon le Journal of General Internal Medicine, même en tenant compte des différents facteurs de risques, les sodas diètes représenteraient un danger pour la santé.
 
Certains spécialistes mettent en doute ces résultats, disant que les personnes qui consomment les sodas diètes ont tendance à avoir une alimentation malsaine, à souffrir d’hypertension artérielle, de diabète et à avoir un taux de cholestérol élevé, des facteurs importants dans le risque accru de crise cardiaque et d’AVC.
 
Hannah Gardener de l’University of Miami Miller School of Medicine mentionne qu’il est très difficile d’établir un lien clair et solide entre les boissons diètes et les risques pour la santé. Si les sodas sont dangereux pour la santé humaine, on ne saurait pas encore exactement pourquoi.
 
Néanmoins, la chercheuse n’affirme pas que tous ces résultats sont faux, mais que plusieurs choses peuvent les influencer.
 
Pour être plus sûr de vous, il est préférable de boire de l’eau. Plus tôt ce mois-ci, on disait que les personnes qui optaient pour l’eau dans leur programme de perte de poids obtenaient de meilleurs résultats que celles qui choisissaient les boissons diètes.