Catégories
Mon Fric

Google doit payer 500 000 $ à un Québécois qui a subi de la diffamation.

Un homme d’affaires de Montréal recevra une somme de 500 000 $ de Google pour diffamation et atteinte à la réputation.

L’entreprise américaine s’est trouvée coupable de diffamation et d’atteinte à la réputation après avoir réactivé un lien vers un article indiquant que l’homme était faussement accusé de pédophilie.

En plus du dédommagement de 500 000$, le juge de la Cour supérieure du Québec a exigé à la compagnie de supprimer tous les résultats de recherche menant vers l’article en question.

C’est en 2007 que le Montréalais a contacté Google afin de signaler que du contenu diffamatoire à son endroit était accessible en ligne. Le contenu en question a été supprimé, mais en 2009, celui-ci est réapparu. La situation s’est reproduite en 2011, puis en 2015, année où Google a refusé de le supprimer.

Google a tenté de se défendre en expliquant que l’entreprise ne répondait qu’à la loi américaine, et ce, en vertu de l’accord de libre-échange entre le Canada, les États-Unis et le Mexique. Le juge a toutefois déterminé qu’étant donné que l’entreprise avait été informée qu’elle facilitait l’accès à du contenu illégal, elle aurait dû supprimer les articles en question.

L’homme d’affaires avait réclamé 6M$ à l’origine, mais il recevra finalement 500 000 $ de dommages moraux pour les impacts que cette affaire a eus sur sa carrière et sur sa vie personnelle.

Catégories
Nightlife.ca

PH Cantin poursuit Jessie Nadeau pour 205 000$

En décembre dernier, sur son compte Instagram, la femme d’affaires et influenceuse Jessie Nadeau, a publié une poignante vidéo où elle raconte avoir été victime de violence conjugale. Suite à ces allégations, Pascal-Hugo Caron-Cantin (son ex), poursuit Nadeau en diffamation pour la modique somme de 205 000 $.

Rappelons que Pascal-Hugo et Jessie se sont rencontrés à l’émission Occupation Double en 2017. Après l’aventure, ils ont continué leur relation et ont même lancé la marque Végane, mais pas plate. En 2020, ils ont annoncé leur séparation.

Il y a quelques mois, lors de la sortie médiatique de l’histoire d’Élisabeth Rioux, Jessie Nadeau avait écrit un message très touchant sur Instagram, expliquant son soutien pour la jeune maman, mais également pour toutes les victimes de violence conjugale.

« Je vous crois, je vais toujours vous croire. Parce que le féminisme, le désir de vivre dans une société réellement égalitaire pour tout le monde, ça va bien au-delà des paroles », pouvait-on lire dans la publication.

Puis, le 18 décembre dernier, c’était à son tour de dénoncer SON histoire. Elle a expliqué dans une vidéo, ce que son ex-conjoint lui aurait fait vivre pendant leurs trois années de relation.

« J’aimerais ça te dire que ce n’était qu’une chicane de couple, qu’un malentendu, qu’un manque de communication. J’aimerais ça te dire que c’est juste quand il a eu une journée stressante, quand il a consommé, quand il est fatigué. J’aimerais ça te dire que c’était de ma faute, que je l’avais cherché, que je le méritais. J’aimerais ça te dire que j’aurais pu améliorer les choses, qu’une thérapie de couple aurait aidé, que j’aurais pu essayer plus fort. J’aimerais ça te dire que c’est juste une mauvaise passe, qu’il va changer, qu’il est vraiment désolé. J’aimerais ça te dire qu’il fait ça par amour, qu’il fait ça pour mon bien. J’aurais aimé ça… », a-t-elle mentionné dans sa vidéo.

C’est Améli Pineda et Stéphanie Vallet pour Le Devoir qui ont partagé des passages de la requête, déposée plus tôt cette semaine. « En aucun temps [M. Caron-Cantin] n’a fait preuve de violence conjugale. En réalité, ces propos ont été prononcés dans un contexte de dénonciations multiples de la part de [Mme Nadeau], et ce, uniquement pour attirer l’attention de son public et nuire à [PH] », pouvait-on lire dans Le Devoir.

M. Caron-Cantin aurait également envoyé une mise en demeure pour que Jessie enlève sa vidéo, se rétracte et s’excuse.

Améli Pineda et Stéphanie Vallet ont également partagé les propos de la juriste Rachel Chagnon : « La diffamation, ça peut aussi être des propos vrais, mais rendus publics pour des raisons malicieuses ou qui ne seraient pas d’intérêt public […] J’ai l’impression que ce qu’on voit [avec Mme Nadeau], c’est ce qui peut attendre les dénonciatrices un peu connues […]. Les personnes qui dénoncent, qui jouissent d’un certain capital social et économique, sont à risque de se faire poursuivre, surtout si elles dénoncent d’autres personnes ayant ce même capital. L’image est une mesure monnayable importante aujourd’hui et c’est devenu le principal actif de plusieurs personnes […] Ces gens-là sont plus connus que les politiciens chez une génération ».

Nous suivrons ce dossier de près.

Si vous êtes victimes de violence conjugale, sachez que vous n’êtes pas seul(e)s. Appelez au 1-800-363-9010 ou rendez-vous sur le site de SOS violence conjugale.

Catégories
Potins

Blake Shelton poursuit un tabloïd

Tanné de voir le tabloïd In Touch Weekly inventer des histoires à son sujet, Blake Shelton a pris les grands moyens et lui réclame un million de dollars. 

La poursuite pour diffamation a été lancée alors que le magazine aurait, à plusieurs reprises, rapporté que le chanteur souffrait d’alcoolisme, et qu’il s’agirait de l’une des raisons qui auraient mené à son divorce d’avec Miranda Lambert.

Ils ont aussi annoncé qu’il planifiait entamer une cure de désintoxication, comme il avait atteint le fond du baril. 

«Pour être clair: M. Shelton n’a pas atteint le fond du baril (…) M. Shelton n’est pas en cure de désintoxication et n’a pas planifié y aller», peut-on lire dans la poursuite, selon Fox News.  

Il y serait cité que Shelton aurait tenté, sans succès, d’obtenir un retrait de l’article. En plus de la demande financière, le chanteur country de 39 ans demande aussi une injonction qui empêcherait le tabloïd de publier d’autres allégations concernant cette histoire.

Blake Shelton a récemment annoncé la tournée Blake Shelton presented by Gildan, qui débutera le 18 février 2016 à Cincinnati, aux États-Unis. 

Catégories
Potins

Kesha et Dr. Luke : La guerre est ouverte

La belle Kesha lève le voile sur l’énigmatique et en apparence sombre relation qui l’unissait au producteur connu sous le nom de Dr. Luke. Elle l’accuse officiellement de harcèlement et d’abus physique, psychologique et sexuel.

Cette véritable bombe, rapportée par le Rolling Stone, est une conclusion que l’on pourrait considérer comme logique, après que plusieurs sources proches de la star aient indiqué la souffrance de Kesha dans le giron de Dr. Luke.

Kesha confirme donc les rumeurs avec une poursuite judiciaire en bonne et due forme dans laquelle il est stipulé que le comportement du producteur a même mis sa vie en danger.

Les comportements de Luke, qui aurait forcé Kesha à boire de l’alcool et à consommer des drogues pour « abaisser son inhibition », auraient commencé dès la mise sous contrat de la chanteuse, alors qu’elle n’avait que 18 ans.

Depuis, Dr. Luke a contre-attaqué avec une poursuite en diffamation, et l’avocat de ce dernier affirme que la poursuite de Kesha est en fait partie intégrante d’une campagne de salissage à l’endroit de son client.

Catégories
Potins

Leonardo DiCaprio poursuivi pour diffamation

Radar Online a appris en exclusivité que 8 personnes de la communauté de Ramapo Mountain ont déposé une plainte commune au tribunal contre le film produit par l’acteur de 39 ans qui s’inspire de leur vie,

En effet, Out of the Furnace dépeint les gens de Ramapo Mountain comme des « consanguins » qui « se battent », sont « fous » et « méchants ».

Selon les documents déposés à la cour le 2 janvier dernier, la population considère ce portrait injuste et les enfants se font intimider à l’école depuis la parution du film. Les plaignants considèrent qu’ils sont désormais en « détresse émotionnelle ».

Ils affirment également que le film de Leonardo DiCaprio les isole à cause de l’humiliation, du harcèlement et de la discrimination dont ils sont victimes.

Les plaignants « continuent à souffrir de dommages émotionnels et psychologiques » et veulent que le jury décide du montant qui doit leur être restitué pour compenser leur souffrance.

DiCaprio entre en coproduction avec notamment Wes Craven sur son prochain long métrage, intitulé Home. Ni lui ni ses représentants n’ont commenté sur la poursuite intentée.

Catégories
Potins

Leonardo DiCaprio poursuivi pour diffamation

Radar Online a appris en exclusivité que 8 personnes de la communauté de Ramapo Mountain ont déposé une plainte commune au tribunal contre le film produit par l’acteur de 39 ans qui s’inspire de leur vie,

En effet, Out of the Furnace dépeint les gens de Ramapo Mountain comme des « consanguins » qui « se battent », sont « fous » et « méchants ».

Selon les documents déposés à la cour le 2 janvier dernier, la population considère ce portrait injuste et les enfants se font intimider à l’école depuis la parution du film. Les plaignants considèrent qu’ils sont désormais en « détresse émotionnelle ».

Ils affirment également que le film de Leonardo DiCaprio les isole à cause de l’humiliation, du harcèlement et de la discrimination dont ils sont victimes.

Les plaignants « continuent à souffrir de dommages émotionnels et psychologiques » et veulent que le jury décide du montant qui doit leur être restitué pour compenser leur souffrance.

DiCaprio entre en coproduction avec notamment Wes Craven sur son prochain long métrage, intitulé Home. Ni lui ni ses représentants n’ont commenté sur la poursuite intentée.

Catégories
Potins

Procès pour diffamation : John Travolta sort gagnant

En fait, l’auteur Robert Randolph a fourni les citations à Gawker en 2010 pour que l’agence écrive un article intitulé The Secret Sex Life of John Travolta.

Par la suite, trouvant ces propos inappropriés, l’avocat Marty Singer a envoyé une lettre à Gawker Media pour dénoncer les propos prêtés à son client par l’auteur.

Toutefois, Randolph a répliqué en intentant une poursuite contre les deux hommes pour diffamation, affirmant que Singer et Travolta « ont cherché à dénigrer la qualité de [sa] propriété et sa réputation et à induire les membres du public à penser qu'[il] n’était pas une source fiable et les dissuader d’acheter son livre ».

Le Juge Macky, quant à lui, a trouvé que la lettre n’était pas propice à des accusations de diffamation. De plus, il a souligné l’absence de preuves montrant que le public avait bel et bien été dissuadé d’acheter son bouquin.

Rappelons que ce n’est pas la première poursuite qu’a John Travolta. Dernièrement, par exemple, un ancien préposé aux chambres d’une croisière Royal Caribbean déposait une poursuite contre l’acteur, l’accusant d’avoir eu un comportement sexuel inapproprié.