Catégories
Uncategorized

Des probiotiques en renfort des antibiotiques

Certains patients hospitalisés et placés sous antibiotiques auraient grandement bénéficié de l’ajout de probiotiques à leur régime alimentaire, rapporte le Medical News Today.

Ce sont des chercheurs du St. Michaels Hospital qui auraient fait cette étonnante découverte, après que l’un de ses membres (Dr Reena Pattani) ait décidé de tester une théorie qui semblait prendre de l’ampleur au sein de la communauté scientifique.

Cette théorie, c’est l’application des propriétés des probiotiques sur l’organisme, et notamment sur le système digestif, afin de lutter contre les effets secondaires indésirables découlant de la consommation d’antibiotiques.

La pire matérialisation de ces effets secondaires serait l’apparition de la bactérie C. Difficile, qui n’a plus besoin de présentation au Québec.

Pour le Dr Pattani et son équipe, les résultats sont clairs. Après avoir compilé des données sur le sujet en provenance d’un peu partout et conduit une série de tests, l’équipe de chercheurs conclut que les patients qui reçoivent des apports en probiotiques en plus de leurs traitements d’antibiotiques ont beaucoup plus de chances d’obtenir un résultat efficace, sans effets secondaires.

Pattani et son équipe veulent maintenant répéter l’expérience sur un plus gros bassin de patients et valider une fois pour toutes l’impact des probiotiques en prévention du C. Difficile, notamment.

Catégories
Uncategorized

Changer le comportement d’un enfant au tempérament difficile

Ces enfants, que l’on voit souvent en crise hystérique ou colérique en plein centre commercial, souffrent souvent de désordres émotionnels. Par exemple, le trouble oppositionnel avec provocation (TOP), le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) ou encore le trouble des conduites.

Or, Psychology Today rapporte que ces comportements seraient modifiables. Il s’agit de diminuer les attitudes négatives et d’augmenter les agissements positifs, à l’aide de la thérapie comportementale nommée ABC method (Antecedents, Behaviors, Consequences). Celle-ci se base sur la compréhension de tels comportements, en vérifiant les antécédents, le comportement inapproprié et ses conséquences.

Tout d’abord, pour en arriver à cette solution, il faut que le parent cesse de culpabiliser en croyant qu’il est un mauvais père ou une mauvaise mère. Ensuite, il faut mettre en œuvre une routine stricte.

– Axer sur le positivisme (renforcement) auprès de l’enfant. Félicitez-le, gâtez-le, embrassez-le, dites-le haut et fort devant d’autres gens, afin qu’il sache que vous êtes fier de lui.

– Soyez conforme aux conséquences associées à TOUS ses comportements inappropriés. Rappelez-vous que les enfants jouent souvent « aux dés ». Ils testent nos limites. S’ils voient que vous cédez, les choses iront en se dégradant.

– Le sommeil… encore une fois. La routine de sommeil est très importante. Reportez-vous simplement à votre propre comportement lorsque vous manquez de sommeil. Un enfant ne contrôle pas bien ses émotions. S’il est fatigué, les mauvais plis ressortiront d’autant plus.

Mais n’oubliez pas de consulter un spécialiste si la situation ne s’améliore pas.

Catégories
Uncategorized

Élever un garçon ou une fille, quel est le plus difficile?

Cependant, Parents Canada rapporte que de nos jours, avec l’égalité des sexes, il est bien plus facile d’élever une fille, puisqu’elle ne ressent plus les limitations d’autrefois, quant à ce qu’elle peut faire ou ne pas faire.

Désormais, il semble que le défi consiste à élever un garçon, dans un environnement où les jeunes filles sont de plus en plus poussées à l’indépendance, où les physiques médiatisés sont parfaits et hyper sexualisés.

Les médias ont apporté des problématiques relatives aux échanges trop intimes sur le web, notamment les échanges de photos de personnes à moitié nues, ou entièrement! De nos jours, les parents qui élèvent des filles doivent plutôt leur dire : « Tu sais que tu n’as pas à ressembler à ces mannequins, n’est-ce pas? Il s’agit de publicité, et non de réalité ».

Quant aux parents qui élèvent des garçons, la grande responsabilité consiste à leur enseigner à devenir des gentlemen.

En effet, les garçons doivent savoir que non seulement ils ne doivent jamais encourager leur petite amie à envoyer des photos inappropriées sur internet, mais même les refuser si la requête vient d’elle. Autrement, ce sont eux qui auront des problèmes avec la justice si celles-ci circulent.

En résumé, les parents de garçons doivent revenir aux sources. Leur montrer les bonnes manières, le respect, les limites à ne pas dépasser, et ce, malgré toute la pression sociale et médiatique qui encourage le contraire.

Dans une ère où tout ce qui était inacceptable est maintenant la norme, les parents ont le rôle ingrat de préparer les prochaines générations à un retour à l’acceptable.

Catégories
Uncategorized

Une solution pour contrer les infections en centre hospitalier

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, mais elle s’applique autant sinon plus à notre réalité québécoise.

Une étude américaine lance une suggestion pour contrer les hausses d’infections contractées en centre hospitalier, un phénomène que l’on connait bien ici avec l’éclosion du C. difficile.

Pour les chercheurs du Hunter Holmes McGuire Veterans Affairs Medical Center, un simple bain d’antiseptique pourrait régler une bonne partie du problème. Oui, un bain.

En utilisant des antiseptiques et des serviettes spéciales, il serait possible de « désinfecter » les patients sur une base quotidienne et ainsi éviter qu’ils ne développent d’autres problèmes de santé en plus de ceux qu’ils ont déjà.

À ceux qui diront que cette pratique pourrait s’avérer coûteuse et fastidieuse, on répond qu’aux États-Unis, en moyenne, le coût d’un patient qui doit être traité pour ce genre d’infection contractée en hôpital est de 40 000 $.

À vous de juger si l’idée est bonne ou non, mais dans des régions du monde comme le Québec, où l’éclosion de ces bactéries et infections est devenue un véritable fléau, il est impératif de trouver des solutions… et vite.

Catégories
Uncategorized

Un chien pour flairer le C. difficile!

Plusieurs centres hospitaliers dans le monde sont aux prises avec le même problème : la bactérie C. difficile.

Le Québec ne fait pas exception, bien au contraire, alors que les statistiques concernant le C. difficile sont en hausse. Nombreuses sont les histoires de gens qui affirment être entrés à l’hôpital moins mal en point qu’une fois à l’intérieur des murs, justement à cause de ce virulent problème.

Les autorités de partout sont donc pressées de trouver des solutions, et des chercheurs néerlandais en ont peut-être trouvé une. En effet, santelog.com rapporte que les chercheurs croient que le meilleur ami de l’homme, le chien, pourrait encore une fois venir à sa rescousse.

C’est que selon eux, certains chiens seraient en mesure de flairer la présence du C. difficile en milieu hospitalier, et ce, avec une grande précision.

Ces conclusions ont été publiées dans la dernière édition du MBJ Open et parlent d’un taux de réussite de détection de la bactérie par des canins qui frôlerait la perfection.

Cliff, un beagle, est la star de cette recherche, lui qui aurait réussi à démontrer parfaitement la théorie des chercheurs, en « analysant » une salle complète d’hôpital en moins de dix minutes.

D’autres études sont à venir, mais on souhaite que ce procédé puisse devenir une solution viable contre le fléau C. difficile.

Catégories
Uncategorized

Des bactéries naturelles pour contrer le C. difficile

Le C. difficile est une bactérie puissante qui fait rage un peu partout dans le monde, surtout dans les hôpitaux. De fait, elle est responsable de 70 % des infections rapportées dans les centres hospitaliers, selon santelog.com.

Le Québec n’y échappe pas, bien au contraire. Les cas de C. difficile sont nombreux dans la Belle Province, et des chercheurs de partout tentent de l’enrayer.

La solution pourrait provenir d’autres bactéries, selon ce que proposent des chercheurs du Welcome Trust. Leur travail auprès des bactéries pourrait bien porter des fruits et permettre de contrer efficacement le fléau C. difficile.

Il faut d’abord comprendre que des bactéries naturelles de l’intestin sont en mesure de lutter naturellement contre la bactérie C. difficile, en éliminant ses formes latentes. Le problème, c’est que certains traitements d’antibiotiques peuvent affaiblir ou éliminer cette protection, laissant toute la place à l’infection et la prolifération de la bactérie.

Les chercheurs ont donc étudié le phénomène intestinal et réussi à recréer un véritable cocktail composé de six bactéries qui serait en mesure d’enrayer définitivement le problème, même dans ses formes les plus graves et agressives.

Une excellente nouvelle pour les patients et autres employés des centres hospitaliers partout dans le monde.

Catégories
Uncategorized

Difficile de bien nourrir les petits sportifs

La nourriture présentée aux enfants membres d’équipes sportives est souvent mauvaise pour la santé, selon une étude publiée dans le Journal of Nutrition Education and Behavior.

Les chercheurs ont interrogé des parents de jeunes joueurs de basketball, qui ont affirmé que l’on proposait à leurs enfants des repas constitués de malbouffe, souvent accompagnés de boissons gazeuses ou de sodas.
 
De plus, les déplacements vers les pratiques ou les matchs laissent aux parents peu de temps pour prendre un repas. Il est donc plus pratique de se tourner vers les comptoirs d’alimentation rapide.
 
«L’environnement alimentaire dans le sport juvénile expose les enfants et leurs familles à plusieurs breuvages et repas mauvais pour la santé et à peu d’options santé. Les jeunes qui font du sport passent un temps considérable à pratiquer ces activités hors de l’école, et ces environnements sportifs peuvent influencer leurs habitudes alimentaires», explique le principal auteur de la recherche, Toben F.Nelson, ScD.
 
Les experts suggèrent donc l’intégration des messages nutritionnels dans leurs programmes, la création de messages positifs concernant la saine alimentation et le développement d’un guide pour aider les entraîneurs à élaborer des collations appropriées dans les ligues sportives, entre autres.
 
Rappelons que le sport est bénéfique pour tous les enfants. Lorsque l’exercice est accompagné d’un régime alimentaire sain, le traitement de l’obésité est plus efficace et les nouvelles habitudes alimentaires sont plus respectées à long terme. 
 
Catégories
Uncategorized

Infertilité : difficile pour l’orgueil?

Une nouvelle thèse de doctorat à l’École nordique de santé publique NHV, réalisée par la travailleuse sociale Helga Sól Ólafsdóttir, affirme également que devant un problème d’infertilité, « les hommes sont plus réticents que les femmes à demander de l’aide spécialisée et même, tout simplement, à accepter l’aide ».

C’est en suivant 22 couples, dès leur premier rendez-vous à une clinique de fertilité et de nouveau trois ans plus tard, que la spécialiste a pu confirmer que le monde du traitement de la reproduction assistée est compliqué sur les plans moral, affectif et physique, en plus d’être une source de confusion.

Toutefois, il est ressorti que la plupart des couples essaient de s’adapter, car le traitement de fécondation in vitro est leur seule possibilité de concevoir un enfant ensemble.

La chercheuse conseille tout de même au personnel de soins de santé qui viennent en aide aux personnes infertiles de les écouter davantage, car « les couples souhaitent être suivis de plus près ».

Elle rappelle que le processus de ces gens est souvent fortement affecté par des facteurs extérieurs, comme les négociations difficiles entre les amoureux, le fait que l’un soit plus prêt que l’autre, la stabilité de la situation sociale, la mise à disposition des diverses options pour procréer, les opinions et l’influence des parents, des amis et du personnel de la santé qui entourent le couple.

Sur les 22 couples qui ont participé à l’étude, 17 sont devenus parents au cours des trois années, et 21 enfants sont nés. Certains ont réussi sans aide, d’autres ont eu recours à la reproduction assistée, au don d’ovules ou à l’adoption.

Catégories
Uncategorized

Un bébé qui pleure de façon excessive est plus enclin à développer des problèmes comportementaux dans son enfance

En effet, une étude de longue date, dont les résultats paraissent sur Daily Mail, affirme que 1 bébé sur 5 a un tempérament difficile, incluant des pleurs excessifs et des problèmes de sommeil. Celui-ci sera plus enclin, dans une proportion de 40 %, à développer des désordres comportementaux.

Les recherches, déployées entre les chercheurs de l’Université de Warwick, l’Université de Basel en Suisse et l’Université de Bochum en Allemagne, cumulent les résultats d’analyses de 22 études menées entre 1987 et 2006.

Le lien entre la problématique comportementale du bébé et son développement psychosocial de 7 à 9 ans a impliqué 16 848 enfants, dont près de 2 000 ont développé des problèmes de comportement tels que le trouble de déficit de l’attention (TDA) et l’hyperactivité.

Selon Dieter Wolke, chercheur de l’Université de Warwick, les résultats sont anormalement élevés et ils sont inquiétants. L’étude portait entre autres sur les nourrissons qui pleurent plus de 3 heures par jour après 3 mois, ainsi que ceux dont les problèmes de sommeil persistent au-delà de 8 mois.

Le professeur Wolke affirme que la solution consiste à intégrer une routine plus structurée pour ces enfants. « Nous avons la preuve que cela fonctionne », ajoute-t-il à l’intention des parents.

Catégories
Uncategorized

Plus de la moitié des jeunes enfants sont difficiles à table

Une étude de la société de soins de santé mondiale Abbott dévoile que plus de la moitié des enfants de 1 à 6 ans sont difficiles avec la nourriture.
 
Certains ont tendance à ne manger que de petites portions, un nombre restreint d’aliments ou encore ils refusent d’essayer des nouveautés, souvent par simple caprice.
 
Certains facteurs physiologiques peuvent expliquer pourquoi ces enfants sont difficiles lors des repas, comme l’appétit, la génétique ou la croissance, mais les principales raisons se trouvent du côté psychologique.
 
Les enfants difficiles peuvent l’être, car ils souhaitent acquérir plus d’autonomie ou encore en raison d’un changement d’humeur. Cela peut aussi s’expliquer par le degré d’affection ou une interaction négative avec la mère, par exemple si elle menace son enfant parce qu’il ne mange pas, cela ne l’aidera pas.
 
Pour vous aider, limitez la durée des repas, évitez toutes distractions, ne forcez pas votre enfant, diminuez les collations, proposez régulièrement des nouveautés et laissez-le se salir pendant qu’il mange. Ce sont de petits trucs qui peuvent faciliter l’heure des repas avec les jeunes enfants.
 
L’étude révèle qu’il est important de changer ces petits caprices rapidement, car à long terme, ces enfants peuvent développer d’importants problèmes de santé comme des maladies chroniques, de la léthargie, des troubles alimentaires, des problèmes de croissance et un désintéressement à l’apprentissage et au jeu.