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Le Ritalin : Mode d’emploi

Il est maintenant commun d’entendre que les enfants hyperactifs ou ayant des difficultés d’apprentissage sont mis sous médication.

Alors que le débat est encore bien chaud à savoir ce qui est normal ou pas, acceptable ou pas, si la médication est choisie comme solution aux troubles d’un enfant, il est impératif de savoir exactement ce à quoi votre enfant sera exposé.

En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) vient de publier une brochure d’information à destination des patients et de leur entourage afin de bien comprendre les médicaments à base de méthylphénidate, utilisés pour traiter les troubles de déficit de l’attention et hyperactivité (TDAH) chez l’enfant de 6 ans et plus. Cette voie devrait être considérée uniquement lorsque les mesures psychologiques, éducatives, sociales et familiales se sont montrées inefficaces.

Un article du site Top Santé énonce les effets négatifs de la fameuse drogue. En effet, avec la prise de médicament comme le Ritalin, un enfant calme n’équivaut pas forcément à un enfant en santé.

Parmi les effets secondaires indésirables, on retrouve un risque de retard de la croissance, retard de la prise de poids, un risque pour les vaisseaux sanguins du cœur et du cerveau, d’agitation, de risques d’apparition de tics moteurs et verbaux, d’hallucinations et d’anxiété.

Un contrôle serré de la prise de ces pilules doit être observé, et un suivi auprès du médecin est recommandé tous les 6 mois. Il pourra ainsi s’assurer que l’enfant jouit des bénéfices voulus et qu’il se développe normalement.

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Un lien entre la pression sanguine et les difficultés d’apprentissage

D’après Pediatrics, les enfants souffrant d’hypertension auraient quatre fois plus de risques d’avoir des difficultés à l’école.

C’est ce que révèle une étude du centre médical de l’Université de Rochester. On a suivi 201 patients, dont 101 faisaient de la haute pression. Les participants étaient âgés de 10 à 18 ans. Ce sont les parents qui mentionnaient si l’enfant avait des troubles d’apprentissage ou de l’attention.

Parmi tous les patients, 18 % avaient des difficultés d’apprentissage, alors que le taux dans la population en général est de 5 %.

De plus, parmi ceux qui avaient une haute pression sanguine, le taux était de 28 %, tandis qu’il était de 9 % chez ceux qui avaient une pression normale.

Ces observations ont été établies après avoir éliminé d’autres facteurs, comme la situation socio-économique par exemple.

La Dre Heather R. Adams, qui a mené cette étude, a donc établi un lien clair entre la pression sanguine et les problèmes cognitifs. Selon elle, cela devrait nous pousser à offrir un soutien accru à ces enfants.