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C’est la semaine nationale de la sensibilisation à l’infertilité

L’infertilité est un sujet que l’on devrait encourager dans les conversations. Trop peu de gens, encore aujourd’hui, comprennent à quel point cela affecte les individus, mais les couples et la famille également.

Comme le suggère She Knows, cette semaine, offrez un câlin à cette amie qui ne peut pas avoir une ribambelle d’enfants. Encouragez-la à partager ses sentiments. S’il le faut, rassemblez-vous, entre amies, et pleurez en partageant vos expériences si vous êtes plusieurs à souffrir de cette épreuve.

La semaine nationale de la sensibilisation à l’infertilité a commencé en 1989. Elle vise à encourager les gens à en parler, à comprendre les solutions offertes ou à simplement vivre avec leur condition.

Mais également, elle confronte les professionnels de la santé, le gouvernement, les compagnies d’assurance et les médias à faire face à l’infertilité. À considérer qu’il s’agit d’une grave condition qu’il ne faut pas ignorer.

D’autre part, RESOLVE, l’association nationale de l’infertilité, fondatrice de cette semaine, s’assure aussi d’apporter les outils et guides nécessaires aux gens infertiles.

Sachez que les données actuelles sont réellement alarmantes. C’est désormais 1 couple sur 6 qui est aux prises avec les problèmes d’infertilité… mais ces données n’incluent même pas ceux qui souffrent en silence et qui n’ont encore jamais osé en parler.

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Les mères ont de la difficulté à admettre que leur bébé est gras

« C’est seulement de la graisse de bébé », voilà ce que disent et pensent sincèrement 88 % des mères qui ont en fait un bébé avec de l’embonpoint.

Selon une étude de l’École de médecine de l’Université du Maryland, qui a observé 281 couples mère-enfant, les mères d’un bébé obèse sont plus susceptibles d’être aveugles quant au poids de leur enfant.

Parmi les participantes âgées de 18 à 46 ans, 70 % d’entre elles n’ont pas réussi à pointer la bonne silhouette dessinée pour refléter et évaluer le poids exact de leur poupon. Malgré cette erreur, la plupart des mamans se disaient satisfaites du poids de leur bébé.

Les chercheurs croient que cette ignorance est due au fait qu’un poids santé durant les premières années de vie est signe de parentalité réussie, car les parents sont responsables de la santé, de la nutrition et de l’activité physique de leurs bambins.

Parmi les bébés participants, âgés en moyenne de 20 mois, 54,1 % d’entre eux étaient des garçons, et plus de 71,9 % de ces derniers étaient obèses ou avaient un surpoids.

Il est prouvé que les bébés qui sont en surpoids à tout moment pendant les deux premières années de leur vie sont plus susceptibles d’être obèses à l’âge de 5 ou 10 ans.

Les spécialistes conseillent aux mères d’allaiter le plus longtemps possible, de ne pas introduire les aliments solides avant l’âge de quatre mois, de s’assurer que le nourrisson dort au moins 12 heures sur une période de 24 heures et de se libérer de la poussette dès que l’enfant démontre un intérêt pour bouger.

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La langue de certains bébés rend l’allaitement difficile

Il s’agit d’une malformation de naissance assez commune appelée ankyloglossie, qui peut rendre les premiers allaitements plus compliqués.

Cette malformation a divers degrés, selon la pédiatre Janet Grabowski.

« Il y a des types de langue liée moins sévères qui n’affectent pas beaucoup la fonction de la langue. Si le cas est plus sévère, le bébé pourrait ne pas être capable de tirer la langue assez pour bien téter et pour avoir assez de lait. Dans des cas très rares, une langue liée sévère peut causer des problèmes d’élocution », affirme-t-elle à Todaysparent.com.

Il est possible de diagnostiquer l’ankyloglossie assez facilement, selon la spécialiste en allaitement au Calgary Breastfeeding Centre, Maureen Fjeld. « Parce que le bébé ne pourra pas prendre le mamelon assez loin dans sa bouche, il va le mordiller », dit-elle. De plus, le bébé atteint de cette malformation tardera à prendre du poids.

Cependant, il existe un traitement assez simple appelé freinectomie. L’intervention consiste à faire une courte incision à la base de la langue du bébé. Les médecins, en général, peuvent pratiquer l’opération de leur bureau en utilisant un anesthésiant local.

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Allaitement : 6 mois, c’est trop long

Au Royaume-Uni, l’allaitement ne fait pas fureur. Dans un nouveau rapport, des mères britanniques donnent leur point de vue concernant l’idéal fixé par l’Organisation mondiale de la santé qui dit que l’allaitement maternel pendant six mois a des avantages considérables pour la santé, tant pour les mères et les bébés.

Pour elles, tant et aussi longtemps que de nouveaux objectifs et délais ne seront pas instaurés ou modifiés dans les recommandations de la santé, elles n’allaiteront pas, arguant que l’allaitement consiste en une pression inutile, une frustration et une fausse image de ce que les spécialistes de la santé laissent croire.

« On ne nous prépare pas à la réalité, on nous fait sentir coupable et on nous juge si on n’allaite pas », plaignent-elles.

D’autres femmes interrogées se sont empressées de dire que la plupart du temps, ces femmes n’avaient pas été bien soutenues et entourées et qu’elles étaient du type à abandonner facilement et faire une montagne avec peu.

Quant aux auteurs de l’Université d’Aberdeen, ils encouragent les médecins à une plus grande attention sentimentale offerte aux couples, au lieu de se concentrer uniquement sur la technique de l’allaitement. De plus, ils croient que si les objectifs étaient réduits à moins de mois d’allaitement, les parents persisteraient davantage dans ce mode d’alimentation.

Les chercheurs rappellent que le rapport ne se veut pas « anti-allaitement ». « Nous soutenons qu’il est temps de revoir ce débat pour l’alimentation du nourrisson, si nous voulons concevoir et offrir des interventions efficaces pour améliorer les résultats d’alimentation des nourrissons et des résultats de santé ultérieurs des générations futures. »

Les résultats de l’étude — réalisée auprès de 36 femmes, de leur partenaire et leur entourage familial et médical, entre le dernier mois de la grossesse et le sixième mois de la vie du bébé – ont été publiés dans le BMJ Open Journal.

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Pourquoi est-ce si difficile de perdre du poids?

Une étude présentée à la réunion annuelle de l’Association américaine pour l’avancement de la science, qui se déroulait à Vancouver, démontre que le corps s’adapte aux changements alimentaires durant un régime pour perdre du poids.
 
Un régime alimentaire devrait donc tenir compte des changements causés dans le métabolisme et la composition corporelle d’une personne pour rendre la perte de poids efficace à long terme.
 
En réduisant de 24 calories son alimentation quotidienne, cela prendrait des années à une personne pour perdre seulement 1 kg.
 
En réalité, plus l’objectif de perte de poids est grand, plus de temps cela prendra pour perdre ce poids, mais aussi pour le stabiliser.
 
L’exercice physique est aussi essentiel à la perte de poids, à raison d’au moins 150 minutes par semaine. Les pertes de poids devraient également être réalistes et adaptées au mode de vie de chacun.
 
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Le post-partum relié aux difficultés d’allaitement

Les informations sont rapportées par psychcentral.com. Une recherche effectuée à l’Université de la Caroline du Nord – Chapel Hill confirme le rapport entre le post-partum et les difficultés reliées à l’allaitement.

Stephanie Watkins, qui poursuit son doctorat en épidémiologie, est à la source de cette étude. « Nous avons constaté que les femmes mentionnant qu’elles n’aiment pas l’allaitement ont 42 % plus de chance d’expérimenter une dépression post-partum, comparativement aux femmes qui aiment allaiter ».
 
Les résultats, publiés dans le journal Obstetrics & Gynecology, informent que la causalité allaitement-dépression est beaucoup plus répandue qu’on aurait pu le croire. Les chercheurs ayant participé à l’étude souhaitaient déterminer l’étendue du phénomène, au-delà des informations cliniques. Ce sont 2 586 femmes souffrant du post-partum qui ont été soumises au questionnaire.
 
En résumé, les nouvelles mères qui affirment ne pas aimer l’allaitement ont près d’une fois et demie plus de chance d’être dépressives deux mois après l’accouchement. Quant aux femmes qui ont rencontré des problèmes pour allaiter, elles ont près de 2 fois plus de chance d’être dépressives.
 
Les spécialistes sont catégoriques. Une femme qui rencontre ce problème après l’accouchement et qui se lève en se disant « Je ne pourrai pas passer une autre journée avec cette difficulté » doit immédiatement en parler à leur médecin et être vue par un thérapeute, en prévention.
 
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Les mères trouvent leur rôle difficile

Selon une récente étude, 42 % des mères trouvent difficile d’élever un enfant, nous apprend 20minutes.fr.

Il semble que ce serait encore plus ardu pour celles qui ont des enfants de trois à quatre ans. La raison de cette plus grande complexité serait que les femmes ont souvent plusieurs enfants en bas âge, dont certains sont en perpétuelle opposition.

Par ailleurs, il serait plus facile, selon ces mères, d’éduquer une fille qu’un garçon. Les fillettes montreraient moins de résistance à la discipline, en plus de mieux réussir à l’école.

Il est ressorti de cette étude de l’Institut des Mamans que les mères d’aujourd’hui ont moins de repères que celles d’autrefois. En effet, ces dernières se laissaient souvent guider par la religion.

Même si elles disent manquer de certitude quant à l’éducation, il demeure toutefois important pour les mères modernes d’inculquer à leurs enfants le respect, la communication et la confiance en soi.

Sur tous ces changements, l’auteure de l’étude, Hélène Lepetit, a conclu : « L’enfant roi est déchu et de nombreux psys ont réhabilité l’autorité. »

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Le cinquième des mères rencontre des difficultés au travail

Encore aujourd’hui, certains employeurs ont des préjugés envers les femmes enceintes ou qui prévoient avoir un enfant. Selon une étude néerlandaise, une future ou jeune mère sur cinq dit avoir des difficultés à son travail.
 
Les chercheurs de l’Université Hasselt, aux Pays-Bas, ont interrogé 600 femmes, rapporte le quotidien belge Le soir. 60 % des répondantes pensent avoir manqué une promotion ou encore une hausse de salaire en raison de leur grossesse.
 
Déjà que concilier travail et famille n’est jamais simple pour les nouvelles mamans ou celles qui prévoient le devenir, il est décourageant pour elles de voir qu’elles sont écartées de certaines possibilités d’avancement en raison de leur projet de fonder une famille.
 
De plus, un fait troublant est révélé par cette même étude. 60 % des employeurs ignorent si les conditions de travail qu’ils offrent aux femmes enceintes sont sécuritaires pour elles et leur futur enfant.