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Dommages au cerveau dus à la naissance prématurée

Les recherches sont nombreuses quant à la prévention des naissances prématurées. Ces jours-ci, on parle même d’un lien possible entre un accouchement à terme et le vaccin contre l’influenza.

Une recherche est également en cours afin de découvrir un traitement pouvant bloquer le travail hâtif de l’accouchement. Elle est soutenue par l’Action Medical Research. On souhaite ainsi contrer les nombreuses défectuosités de naissance pouvant être engendrées, peut-on lire sur Medical News Today.
 
Les conséquences sont en effet nombreuses et peuvent être très graves. Les enfants sont par exemple très à risque de subir des dommages au cerveau. Des problèmes de développement à long terme peuvent aussi être encourus.
 
On pense ici à la paralysie cérébrale, à la cécité et aux problèmes d’apprentissage. Une naissance prématurée peut aussi mener à la mort. Sur ce, on estime que 1 500 bébés mourront sur 60 000 naissances prématurées chaque année, au Royaume-Uni seulement.
 
En ce moment, on peut arrêter les contractions si la femme est déjà en travail en administrant des médicaments. Toutefois, l’accouchement ne peut être retardé que de 48 heures, de cette manière.

Quant aux tests actuels, ils permettent de cibler quelles femmes sont à risque d’accoucher prématurément, mais on ne peut leur venir plus en aide par la suite, ni à leur enfant.

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Anesthésie et développement du cerveau

On peut lire dans le New England Journal of Medicine que l’on se questionne quant à l’anesthésie durant l’enfance. Il semble que cette procédure médicale ait des impacts possibles sur le développement du cerveau.

Des membres de la FDA (Food and Drug Administration, aux États-Unis) ont donc répertorié quelques risques connus de l’anesthésie sur le cerveau des enfants. On avait déjà remarqué, au cours de la dernière décennie, que cette procédure semblait avoir un lien avec la cellule du suicide chez de jeunes singes et rats.

Maintenant, on pense qu’elle en aurait aussi avec les difficultés d’apprentissage. En effet, selon une étude datant de 2009, les enfants qui subissent deux anesthésies ou plus avant leurs 4 ans courraient 59 % plus de risques de vivre de telles embûches.
 
Toutefois, ce lien n’est pas considéré comme fermement confirmé, car nous ne possédons pas encore suffisamment de renseignements sur le sujet. On recommande donc que d’autres études soient faites sur le lien entre l’anesthésie et le développement du cerveau.

Malgré tout, n’oublions pas que les substances anesthésiantes et sédatives sont essentielles aux interventions médicales. On a pourtant suggéré, à la suite d’un comité de la FDA en 2007, que ces substances ne devraient être administrées qu’à partir de l’âge de 3 ans.

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Les enfants ont leurs propres manières de trouver des solutions mathématiques

Menée par le Dr Lio Moscardini, de la Faculté des sciences humaines et sociales à l’Université de Strathclyde, en Écosse, l’étude suggère d’encourager les enfants à suivre leur intuition.

En effet, d’après Science Daily, les élèves se débrouillent mieux en utilisant des blocs, des dessins ou en subdivisant des équations mathématiques.

Les enseignants participant à cette étude ont donc laissé les enfants trouver leurs propres méthodes avant de leur présenter des techniques théoriques.

Il en est ressorti que la plupart d’entre eux ont réussi à résoudre les problèmes proposés. Plusieurs enseignants ont même reconnu avoir au départ sous-estimé les capacités des enfants.

Les élèves ayant des difficultés d’apprentissage ont, eux aussi, pu comprendre les problèmes et développer une pensée mathématique.

Ainsi, comprendre les mathématiques ne consisterait pas uniquement en la compréhension de préceptes. Il s’agirait plutôt de trouver la logique des problèmes et de moduler la compréhension des choses.

Certains des enfants participant à l’étude pouvaient même aider les autres en ayant reconnu des similitudes entre les problèmes et en partageant leur méthode.