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Le prix du crabe des neiges atteint son plus bas depuis très longtemps

Alors que le prix de la nourriture subit sans cesse des augmentations, c’est le monde à l’envers en ce qui concerne le prix du crabe des neiges. En effet, il y a quelques jours seulement, son prix était établi à 2,20 $ la livre à Terre-Neuve-et-Labrador, soit une chute libre de 5 $ par rapport à l’année dernière.

C’est une commission désignée par le gouvernement pour fixer les prix qui a déterminé le prix du crabe des neiges après avoir soumis celui-ci l’Association des producteurs de fruits de mer.

L’Union des pêcheurs de Terre-Neuve a demandé à la commission de fixer le prix à 3,10 $, car elle estime qu’un prix à 2,20 $ la livre n’est pas viable pour les pêcheurs.

Le président de l’Union des pêcheurs, Greg Pretty, a expliqué qu’à un tel prix, les comités de crabe ne sortiront pas en mer: «Il n’y a pas d’intérêt à aller pêcher pour rien. […] C’est impossible d’avoir des membres d’équipage pour ce prix-là. Vous ne pouvez même pas les payer pour ce prix-là… Économiquement, ça n’a pas de bon sens d’aller pêcher. »

C’est une situation qui contraste énormément avec l’an dernier, alors que les prix flirtaient avec les 8 $ la livre au début de la saison. C’est en raison de la demande sur le marché international qui s’est effondrée que le prix a gravement chuté.

Selon Greg Pretty, les communautés de pêcheurs et les exploitants subiront l’impact de cette baisse de prix: «Le résultat final est un prix ridicule qui fait porter le poids de la crise du marché sur le dos des récoltants. Et les transformateurs s’en tirent à bon compte sur ce coup-là. […] C’est une décision absolument épouvantable qui va causer de la pauvreté, des pertes d’emploi et des faillites dans la province. »

Enfin, pendant ce temps, la malheur des pêcheurs fait le bonheur de plusieurs consommateurs québécois qui profitent de cette baisse de prix pour acheter d’importantes quantités de crabes des neiges.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Les statines en prévention de la démence

Une nouvelle étude en provenance de Taïwan propose une nouvelle propriété bienfaitrice aux fameuses statines, initialement prévues pour lutter contre les affres du mauvais cholestérol, notamment en protégeant le cœur.

Selon les chercheurs en tête de l’étude, les statines pourraient avoir une autre utilité, soit celle de contribuer à la lutte et à la prévention de la démence lors du vieillissement, rapporte Santé Log.

Menée par des spécialistes de l’Université Yang Ming et de Tapei, l’étude analysait des dizaines de milliers de sujets utilisateurs de statines, sur une période de cinq ans.

On estime à la suite des recherches une diminution des risques de démence de 22 % chez les consommateurs de statines, et une réduction de ces risques plus élevée chez les femmes, à 24 %.

Il appert également que l’effet maximal protecteur apparaitrait au bout de trois années d’utilisation.

On ne confirme cependant aucun effet direct sur une maladie en particulier, comme l’Alzheimer par exemple. Il s’agit cependant d’une découverte importante, qui abonde dans le même sens que plusieurs autres études qui avancent de nouvelles propriétés aux statines.

Les conclusions de l’étude taïwanaise ont été publiées dans le Journal of Cardiology.

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Natalité en baisse en Allemagne : Les enfants coûtent trop cher

Dans de nombreux pays, on instaure de l’aide financière pour les enfants, des allocations, des programmes spéciaux et même des horaires de travail pour concilier famille et vie professionnelle. C’est un fait, un enfant, c’est une grande responsabilité, mais une responsabilité financière également.

Selon Psychoenfants, en Allemagne, un nouveau sondage de la Fondation pour les questions d’avenir révèle des statistiques angoissantes. Les deux tiers des adultes qui n’ont pas d’enfants ont pris cette décision parce qu’il en coûte trop cher d’élever une famille.

Ce qui est encore plus alarmant, c’est qu’en moins de 2 ans, le nombre d’Allemands ayant évoqué cette raison comme principal frein à la naissance est passé de 58 à 67 %. Le problème de la diminution démographique trouve donc réponse, notamment, dans ces résultats.

D’autre part, la seule mesure prise par le gouvernement en place constitue une allocation mensuelle de 100 euros, mais uniquement pour les enfants de moins de 3 ans. Peu importe le pays, aucun adulte sain d’esprit ne peut considérer cet incitatif comme un tournant positif pour avoir des enfants…

La population allemande est donc appelée à une chute progressive rapide si aucune aide financière n’est apportée pour soutenir les parents.

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Allaiter coûte cher aux mamans

Souvent contraintes d’arrêter de travailler pour pouvoir allaiter aisément, les femmes se condamnent à gagner moins d’argent ou tout simplement à dépendre de leur conjoint, car elles demeurent à la maison plus longtemps.

Alors qu’aux États-Unis, le congé de maternité n’est pas aussi long qu’au Québec, des débats sont en cours et la réforme Obama tente de faire reconnaître les droits que peuvent avoir ces mères.

Des lois qui autorisent les mères à allaiter dans tous les endroits publics, à avoir des salles réservées et des pauses pour tirer leur lait au boulot et du temps pour retourner à la garderie ou à la maison pour allaiter leur petit sont maintenant considérées.

Selon The American Academy of Pediatrics, il serait préférable de donner le sein jusqu’à ce que l’enfant ait atteint l’âge d’un an. Chez nos voisins du sud, seulement 23,8 % des mamans suivent cette recommandation, indiquent des données gouvernementales.

L’étude américaine, qui a été réalisée par des sociologues qui se sont fiées à leurs propres expériences d’allaitement et de maternité, a été effectuée auprès de 1313 mères.

Les participantes qui ont donné le sein durant une longue période ont remarqué une diminution plus importante de leurs revenus au cours des cinq années qui ont suivi la naissance de leur poupon, comparativement à celles qui n’ont pas allaité ou qui l’ont fait seulement pendant six mois.

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L’obésité infantile en déclin

Entre 2004 et 2008, le taux d’obésité chez les enfants, garçons et filles de moins de six ans, a été en déclin pour cette partie du pays.

Fait intéressant, les enfants qui avaient droit à un certain régime d’assurances médicaments et santé souffraient moins de surpoids.

Pour les chercheurs de cette enquête parue en ligne dans un numéro de Pediatrics, ce constat pourrait devenir un problème au fil des ans, car une association de plus en plus significative entre les enfants obèses et leur statut socio-économique ou leur race pourrait être établie par leurs pairs.

Entre 1980 et 2001, il y a eu une forte augmentation de la prévalence à l’obésité infantile, mentionne l’étude.

Le changement positif qui s’est opéré notamment au Massachusetts peut être lié aux efforts de prévention qui ont été effectués, pensent les experts qui ont observé 36 827 jeunes entre 1999 et 2008.

Les spécialistes rappellent qu’avant l’âge de six ans, le parent joue un grand rôle d’influence et d’exemple.

Il s’agit également d’une période où les papilles gustatives des petits se développent. Il faut donc les habituer à adopter de bons aliments très tôt.

La réduction de la consommation de tabac durant la grossesse, l’augmentation du taux d’allaitement maternel, la publicité télévisée plus limitée sur les aliments néfastes, au cours des dernières années, peuvent tous avoir joué un rôle, indique l’enquête.

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Cancers infantiles : il y a du progrès

Selon la Dre Dominique Valteau-Couanet, chef du département de cancérologie de l’Enfant et de l’Adolescent à l’Institut Gustave Roussy-Villejuif, cette diminution de mortalité importante, remarquée depuis le début des années 70, est notamment due à la prise en charge efficace et souvent hâtive des enfants porteurs de cancer.
 
Le santelog.com rapporte que Valteau-Couanet a affirmé lors d’une conférence : « Ces améliorations sont liées à la prise en charge des enfants dans des centres spécialisés et au travail coopératif des oncopédiatres regroupés en sociétés savantes spécifiques nationales, la SFOP puis la SFCE, et internationales, la SIOP ».
 
La spécialiste, comme plusieurs autres, a participé à une première conférence nationale sur les cancers et leucémies des enfants, organisée par le ministre de la Santé et par l’Association Enfants et Santé à Paris, le 11 février dernier. Celle-ci a servi à faire le point sur les progrès effectués dans la prise en charge des enfants atteints de cancers.
 
Selon ce qui a été révélé, l’élaboration de protocoles prospectifs multicentriques a permis de mieux progresser en ce qui concerne la prise en charge, le contrôle et la prévention des complications aiguës, comme la mise en place d’un protocole en 1981 qui a permis d’augmenter la guérison du lymphome de Burkitt de 35 à 75 %.
Pour l’Association Enfant et Santé, « les clés du progrès sont l’enthousiasme et l’expertise des médecins, leur coopération à l’échelon national et international, le fort soutien académique et le soutien financier et humain des associations ».
 
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Moins de noyades chez les enfants américains

Les hospitalisations dues à une noyade chez les enfants âgés de 0 à 19 ans ont baissé à l’échelle nationale américaine au cours des 16 dernières années, passant de 4,7 hospitalisations par 100 000 enfants en 1993 à 2,4 pour 100 000 en 2008, selon une première analyse qui sera publiée en février par des chercheurs de la Bloomberg School of Public Health à Baltimore, dans le Maryland.

Le taux de noyades a diminué pour les deux sexes et tous les groupes d’âge, mais les garçons continuent d’être hospitalisés plus souvent pour des cas de noyade que les filles, et ce, dans tous les groupes d’âge.

Les auteurs de l’article suggèrent que les garçons sont plus enclins à surestimer leur capacité de nage que les filles.

Pour les deux sexes, le taux de noyades mortelles est également à la baisse.

Toutefois, la noyade et les hospitalisations pour celle-ci demeurent plus fréquentes dans les régions de l’ouest et du sud du pays. Les auteurs spéculent que les enfants ont un accès plus facile à l’eau pour la baignade dans ces secteurs.

Les chercheurs reconnaissent certaines limites dans leurs données, notamment que celles-ci ne montrent pas encore les résultats neurologiques chez les survivants.

Malgré cette baisse significative, les auteurs rappellent aux gens d’être prudents et la nécessité d’une bonne éducation et d’une vigilance accrue dans la surveillance.

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Même une modeste diminution du sel est bénéfique

Il y a peu de temps, une étude d’une équipe de l’Université d’Exeter affirmait qu’il n’y avait pas de preuve solide des bienfaits d’une réduction de la consommation de sel.
 
Cependant, les chercheurs disent aujourd’hui que les résultats ont été mal interprétés. Il est reconnu que le sel favorise l’hypertension,  un facteur de risque important dans les maladies cardiovasculaires.
 
Toute diminution de la quantité de sel consommée sera donc bénéfique pour la santé. Même une réduction de 2 g permet de réduire de près de 20 % les risques d’incidents cardiovasculaires.
 
Plus la consommation de sel est diminuée et plus la pression artérielle diminue, donc les risques cardiovasculaires sont réduits également, rapporte The Lancet.