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Fondez votre petite famille avant 35 ans

Ces données, provenant d’une étude britannique, sont valables tant pour les femmes que les hommes. Famili.fr rapporte les faits découlant de la recherche menée par des scientifiques de l’Université de Glasgow.

Ce n’est plus un secret, plus la femme avance en âge et plus ses chances de procréer diminuent. La présente étude relate que dès l’âge de 35 ans, les possibilités tombent en chute libre.
 
À titre d’exemple, à 40 ans, les femmes utilisant la méthode in vitro n’ont que 23 % de réussite. En contrepartie, 8 femmes sur 10 deviennent mères de cette façon lorsqu’elles ont moins de 35 ans.
 
« Le nombre et la qualité des ovules dans l’ovaire diminuent », affirme le professeur Scott Nelson, coauteur de l’étude. « Quant à la PMA, elle perd autant d’efficacité et ne constitue donc pas une solution alternative de secours ».
 
On oublie souvent de souligner la contribution masculine dans la procréation tardive. Mesdemoiselles, peu importe que vous ayez 15 ans de moins que votre partenaire, sachez qu’un homme de 40 ans mettra en moyenne 2 ans pour réussir à vous offrir un test de grossesse positif.
 
Les générations futures devront revoir leurs priorités, puisque la conception est à son paroxysme de 20 à 35 ans.
 
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Poisson au menu pour une diminution des risques de prématurité

Magicmaman rapporte les résultats d’une étude publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology. La consommation de poisson pendant la grossesse diminue jusqu’à 40 % les risques d’accoucher avant terme.

Lorsque vient le temps de choisir un type de poisson chez l’épicier, les choix ne manquent pas. Du saumon à la morue, en passant par le doré ou le tilapia, peu importe la façon dont vous le cuisinez, le poisson est une excellente source d’oméga-3 et qui plus est, il est faible en gras.
 
Une récente recherche américaine s’ajoute aux diverses études menées pour diminuer les sources potentielles de prématurité. Les femmes ayant participé ont rempli un formulaire sur leurs habitudes alimentaires. L’objectif de l’étude consistait à déterminer la corrélation entre la consommation d’acides gras oméga-3 entre la 16e et la 22e semaine et les risques d’accoucher avant terme.
 
Les chercheurs ont obtenu des résultats probants, si l’on considère la diminution du risque de prématurité atteignant 40 % lors d’une consommation régulière de différents poissons, soit au moins 3 fois par semaine.
 
Cette habitude en est une à transmettre à bébé éventuellement, puisque cela contribue également à la diminution des risques d’asthme chez l’enfant.
 
À noter que la dépression est reliée entre autres au manque d’oméga-3 dans le cerveau. Ainsi, maman aura tout avantage à poursuivre elle aussi afin de diminuer les chances de dépression post-partum.
 
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Les bienfaits de l’ail sur l’hypertension se confirment

On savait déjà que la consommation d’ail était bénéfique pour le cœur, en plus d’avoir des effets surprenants sur l’hypertension et le taux de cholestérol. Des travaux de chercheurs australiens confirment que la consommation quotidienne de suppléments d’ail est très bonne pour la santé.
 
Pourtant, en 2007, des recherches n’étaient pas arrivées aux mêmes conclusions sur le fait que l’ail pouvait abaisser le taux de mauvais cholestérol dans le sang.
 
Le magazine Maturitas rapporte que la Dre Karin Ried et son équipe de l’Université Adelaide mentionnent que l’ail comporte réellement de grands bienfaits pour la santé.
 
Entre autres, l’ail permet d’abaisser de 10 mmHg en moyenne la tension artérielle des patients hypertendus.
 
L’ail écrasé permet aussi d’activer l’allicine, qui est reconnue pour être un antibiotique naturel, un anticoagulant et un antibactérien.
 
Par contre, les scientifiques recommandent fortement aux gens souffrant d’hypertension de consulter leur médecin avant de consommer régulièrement des suppléments d’ail, car ceux-ci pourraient avoir une interaction indésirable avec d’autres médicaments.