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Les femmes obèses victimes de discrimination au travail

Une étude de l’Université de Manchester et de la Monash University à Melbourne démontre que l’apparence physique est un critère important lors de l’embauche d’une personne.
 
En fait, plus une personne qui recherche le candidat idéal est satisfaite de son apparence physique, plus ce critère est important pour elle, et plus cette personne fera de la discrimination auprès de candidats potentiels qui sont obèses, surtout pour les femmes.
 
Les femmes obèses sont moins susceptibles d’être embauchées et gagnent souvent un salaire moins important que leurs homologues de poids normal.
 
L’International Journal of Obesity rapporte qu’au départ, la Dre Kerry O’Brien et son équipe souhaitaient savoir si certains profils étaient plus favorisés que d’autres à l’embauche, et apparemment, la réponse est oui.
 
On a montré une série de CV avec une petite photo des candidates à des chercheurs. Ils devaient se prononcer sur les aptitudes, le salaire de départ et l’employabilité des personnes. Les photos étaient des images de femmes avant et après une chirurgie bariatrique.
 
Malheureusement, on constate une grande discrimination en fonction de l’obésité des candidats potentiels, surtout si la personne qui embauche est satisfaite de sa propre apparence physique.
 
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Les préjugés, ça s’apprend quand on est jeune

Les enfants découvrent les préjugés et la discrimination très tôt. Des études antérieures ont d’ailleurs démontré qu’entre 3 et 6 ans, l’enfant peur reconnaître la discrimination et appliquer des stéréotypes. Entre 6 et 10 ans, il serait conscient de ce problème et serait même capable de percevoir la discrimination subtile.

Une nouvelle étude de l’Université de Toronto parue dans le bulletin Personality and Social Psychology démontre de quelle façon les enfants découvrent le rejet entre personnes et comment ils peuvent être eux-mêmes une cible des préjugés.
 
Il semblerait que l’instruction externe et les expériences personnelles jouent des rôles distincts dans la manière dont les enfants caractérisent d’autres groupes de personnes.
 
Les conséquences se sont fait ressentir rapidement alors que des enfants de différents âges et ethnies – qui ne se connaissaient pas – se sont vus divisés en deux groupes. Le groupe « bleu », disait-on, était composé d’enfants méchants. Les participants de 5e année ont su faire la part des choses, mais ceux de 1re année ont automatiquement écarté le groupe bleu. Selon eux et ce qu’on leur avait enseigné en bas âge, le groupe était catégorisé « méchant » et ne méritait pas qu’on leur partage bonbons et autocollants.
 
En conclusion, les chercheurs ont constaté que l’impact de l’instruction était assez puissant pour porter atteinte à des informations contradictoires.
 
Selon les chercheurs, dès le jeune âge, il est d’une importance capitale d’instruire l’enfant aux différentes réalités et de lui montrer à ne pas juger. Cet enseignement influencera grandement sa vision des choses, ouvrira ses horizons et lui permettra de vivre des relations plus positives, à peine quelques années plus tard.
 
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Quand les enfants commencent-ils à avoir des préjugés?

Selon les spécialistes, les préjugés font partie intégrante de la formation normale d’une personnalité. Ils sont cultivés pendant la petite enfance par tout un chacun et sont influencés par le milieu social, souvent par les parents au départ.

Avec l’âge et selon son éducation et son environnement, l’enfant aura de moins en moins de préjugés.

Le préjudice devient un problème lorsque l’enfant n’est pas éduqué et que les préjugés font place à la discrimination, voire la haine. À un certain âge, la situation de xénophobie, de racisme ou de misogynie peut devenir irréversible.

Déjà vers l’âge de trois ou quatre ans, leur identité se crée. Les enfants disent préférer jouer avec une personne du même sexe ou de la même nationalité qu’eux, confirme le Dr Andreas Beelmann de l’Université Friedrich Schiller d’Iéna, en Allemagne.

Entre cinq et sept ans, ce serait le moment idéal pour ouvrir l’horizon des enfants, les encourager à la tolérance envers autrui et les éduquer quant aux différences, résument des études scientifiques sur ce sujet publiées dans la revue Child.

Les préjugés diminuent fortement, durant le passage à l’école primaire, lorsque les enfants sont enfin en contact avec d’autres personnes que l’entourage direct ou encore lorsqu’ils sont en contact avec un monde imaginaire, tels que des livres ou des émissions qui leur permettent de voir, par exemple, des enfants d’une autre nationalité.

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Les enfants handicapés encore marginalisés

On croirait que les temps ont changé, mais la situation demeure difficile pour les enfants handicapés. Il semble qu’ils fassent encore l’objet d’une grave discrimination.

Selon une récente étude présentée sur Medical News Today, les enfants qui vivent avec un handicap sont encore marginalisés à l’école, mais aussi dans le milieu de la santé et des services sociaux.

Il semble que cette situation soit fréquente, même que certains subissent une exclusion, voire de la violence. Leurs principaux obstacles demeurent l’attitude des autres et des formes très répandues de discrimination institutionnelle.

On rappelle que les enfants vivant avec un handicap sont rarement autorisés à jouer avec les autres enfants ou à agir comme eux. La raison donnée relève des préoccupations quant à leur corps, que l’on considère comme inerte ou incontrôlable.

Bref, on évalue encore les enfants handicapés en fonction d’un manque à rattraper qu’ils présentent, en comparaison avec des enfants dits « normaux ».

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Décrocher un emploi pour maman : une tâche difficile

Un centre d’affaires français, Regus, a commandé une recherche sur les mères de famille et le travail.

Selon ce sondage, seulement 25 % des entreprises souhaiteraient engager une mère en 2011, contre 33 % en 2010. Les raisons en sont nombreuses et il y a tout à penser que les femmes sont encore victimes de discrimination.

En effet, 37 % des employeurs craignent qu’une employée soit moins efficace et moins disponible que les autres si elle a des enfants.

De plus, parmi les entreprises sondées, 33 % des gestionnaires ne veulent pas engager une maman de peur qu’elle parte de nouveau en congé de maternité.

Vingt-quatre pour cent croient finalement que les compétences de ces femmes pourraient être dépassées à leur retour.

Les femmes connaissent déjà ces lois du marché, car dans une étude précédente, 37 % des répondantes considéraient leur congé de maternité comme un frein à leur carrière.

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Moins d’empathie envers les enfants obèses

Les enfants en surpoids vivraient non seulement de la discrimination de la part des autres enfants, mais aussi de leurs propres parents, comme l’a démontré une étude de la North Texas University à Denton rapportée sur Canada.com.

Les parents seraient moins portés à offrir leur soutien financier pour des études supérieures ou pour l’achat d’une voiture à un membre de la famille vivant avec l’obésité.

Les chercheurs Adriel Boals et Amanda Kraha ont publié une étude dans Obesity, dans laquelle on apprend que plus des deux tiers de la population américaine sont obèses et que ces personnes vivent une discrimination à l’école, au travail et dans leur vie sociale.

Ainsi, elles ont tendance à posséder moins et à être moins en couple, ce qui pourrait expliquer leur propension à devenir dépressives et à avoir une faible estime d’elles-mêmes. 

Les chercheurs croient donc que les parents agissent ainsi, mais inconsciemment, parce qu’ils sont moins enclins à vouloir miser sur un enfant qui est différent et parce qu’ils suivent la tendance générale, c’est-à-dire de juger défavorablement les personnes en surpoids.

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Les personnes obèses se voient refuser des postes en raison de leur poids

Selon un sondage réalisé par Slimming World auprès de 2000 personnes, certains employeurs refusent d’embaucher des personnes obèses, car ils croient que ce se sont des travailleurs paresseux.

Ainsi, selon l’enquête comprenant 200 employeurs, le quart des hommes ont dit qu’ils refuseraient un candidat ayant un surpoids et un patron sur dix affirme l’avoir déjà fait.

Le sondage révèle également que les obèses gagnent moins d’argent que les autres employés. Ils sont souvent négligés lors des promotions, et ce, malgré leurs compétences et ils sont plus susceptibles d’être victimes d’intimidation.

Le quart des personnes interrogées disent avoir reçu des commentaires désobligeants à propos de leur poids sur leur lieu de travail. Seulement 16 % des personnes ayant un surplus de poids se sentent soutenues par leurs collègues dans leurs efforts de perdre du poids.

Pour les spécialistes, ce sondage démontre à quel point les personnes obèses peuvent être victimes de discrimination en milieu de travail.