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Jon Bon Jovi parle du départ de Richie Sambora

Le monde de la musique a un peu été pris par surprise, cette semaine, en apprenant que le guitariste de Bon Jovi, Richie Sambora, avait décidé de quitter la tournée subitement, laissant ses acolytes de toujours en plan.

Bon Jovi est au cœur de sa tournée Because We Can, rappelle Music-News, qui rapporte les propos du chanteur recueillis lors d’une entrevue publiée dans un média américain.

Des propos qui vont à l’encontre de ce que tente de faire croire TMZ ces temps-ci, parlant de dispute entre les deux membres du groupe, qui impliquerait même selon eux la femme de Jon Bon Jovi.

« Je crois que Richie va bien, mais je ne lui ai pas parlé. Nous avons été surpris. Il était 15 h 30, le jour du concert, lorsque nous avons reçu un appel pour nous dire qu’il ne serait pas là. C’est pour des raisons personnelles. Ne croyez pas ce que vous lisez sur TMZ, parce qu’il n’y a rien de plus loin de la vérité », tenait à préciser Jon Bon Jovi, qui laisse quand même planer le mystère.

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Shia LaBeouf et Alec Baldwin ne s’entendent pas

Shia LaBeouf a dû se retirer de la distribution de Oprhans, qui aurait marqué ses débuts sur Broadway, rapporte Female First.

On allègue des « différences créatives », mais du côté de LaBeouf, on peut comprendre que le désaccord entre lui et Alec Baldwin est plus profond que ce qu’on affirme.

L’acteur de 26 ans a en effet répliqué sur son compte Twitter afin de mettre les choses au clair. Il a publié une série de courriels qui indique la nature des événements qui ont mené à sa sortie de la pièce.

On peut y lire notamment les commentaires du metteur en scène, Dan Sullivan, qui semble fort désolé de la situation, en plus d’échanges d’excuses entre Baldwin et LaBeouf.

Les autres acteurs de la distribution semblent sous le choc, puisqu’ils n’ont pas été témoins des événements qui ont mené à la dispute entre les deux stars.

La réconciliation virtuelle semble avoir calmé le jeu, mais LaBeouf a bel et bien quitté la scène de Orphans pour de bon.

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Bieber et Gomez – C’est fini, n’en parlons plus

Il semblerait, à la défense de Justin Bieber, que les photos prises de lui fumant de la drogue ont été captées après cette rupture définitive.

Plusieurs proches de l’ex-couple ont confirmé la nouvelle à Us Weekly. À peine étaient-ils à nouveau ensemble que le voyage des vacances de Noël, qui se déroulait à Puerto Vallarta, a été brusquement écourté.

Selena Gomez, 20 ans, a repris l’avion le 30 décembre à la suite d’une de leurs célèbres disputes orageuses. Un proche de la chanteuse et actrice a confirmé le tout. « Cette fois, Selena ne lui pardonnera pas. »

Ce qui semble vrai, puisque la jeune femme ne s’est pas empêchée, le lendemain de son départ, de fêter le Nouvel An dans une propriété de Los Angeles avec ses amies.

Pendant ce temps, une source proche de Bieber confirme que la star de 18 ans a célébré le Nouvel An avec le rappeur Lil Twist dans le club Couture, également à Los Angeles, et qu’il « flirtait avec plus d’une fille » ce soir-là.

Citant la « mauvaise influence » de Bieber, un autre proche de Gomez a insisté auprès de Us Weekly : « Selena en a fini avec lui ».

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Justin Bieber a raté l’occasion de reconquérir Selena Gomez

Justin Bieber n’arrive pas à tourner la page, si l’on en croit les témoins de la scène du restaurant japonais Yamato, en Californie. À peine les deux jeunes stars arrivées, et encore à l’étape du choix de menu, la tension a explosé.

Un témoin de la scène a rapporté à Us Weekly : « Ils ont commencé à se disputer, et 10 minutes plus tard, sans un mot, Selena s’est levée et est partie en furie ».

Bieber et Gomez étaient arrivés séparément au restaurant, et la chanteuse, qui a mis un terme à son couple le 31 octobre dernier, s’est rendue directement chez elle.

La source a mentionné que Bieber continuait à jurer et à crier lorsque sa compagne a quitté l’endroit. Il a ensuite été vu avec sa Ferrari blanche, arrêté devant la demeure de Gomez, qui refusait de lui ouvrir. Il criait son nom, sans succès. Lorsque Bieber a réalisé qu’il était photographié, il s’est emporté contre le paparazzi.

7sur7.be rapporte que plus tard, la star a publié un message sur Twitter, visiblement à l’intention de Gomez : « Les choses ne sont pas toujours faciles. Il y a beaucoup de pression. Je comprends. J’essaie. Mais je me soucie de toi, je suis à l’écoute ».

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Les chicanes de couple sont bénéfiques à long terme

Une étude présentée lors de la convention de l’American Psychological Association démontre qu’au sein d’un couple, il n’y a pas de formule magique. Toutefois, la colère serait parfois plus profitable que l’indulgence pour la santé de chacun.
 
À long terme, les crises de colère peuvent être souhaitables pour la survie du couple. Les chercheurs ont suivi 225 couples de jeunes mariés pour en arriver à ces conclusions.
 
Le degré d’attachement est lié au niveau de cortisol de chacun, une hormone qui augmente avec le stress. Lors des crises de colère, elle s’accentue, pour ensuite retomber.
 
La colère peut être un signal important chez le partenaire qui agit incorrectement. Cela peut l’inciter à cesser le comportement indésirable à long terme.
 
Le psychologue James McNulty explique que le pardon peut parfois être nocif. « Nous avons tous fait l’expérience de la “trahison” dans notre relation de couple. Un partenaire peut être financièrement irresponsable, infidèle ou dans de mauvaises dispositions. Quand c’est le cas, nous devons décider si nous devons nous mettre en colère, garder en nous cette colère ou pardonner ».
 
En fait, ce sont les circonstances qui pourront déterminer l’efficacité du pardon, mais idéalement, il faut aussi se montrer assez flexible dans la résolution des conflits.
 
La donnée à retenir est le fait que la colère peut être profitable à long terme pour les couples.
 
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Laissez vos enfants se chamailler

Bien que le brouhaha créé par les échanges tumultueux de nos enfants contribue à un environnement familial bruyant et agaçant, ces échangent permettraient à nos bambins d’assurer un bon développement à leur futur succès.

En effet, Independent.ie rapporte qu’une étude effectuée par le Centre de recherche pour la famille de l’Université de Cambridge a conclu que les enfants qui se querellent développent de meilleures habiletés de résolution de problèmes.
 
La docteure Claire Hughes, auteure d’un nouveau livre basé sur la recherche, explique : « Plus les frères et sœurs sont combatifs, même avec les plus jeunes, plus l’apprentissage les dirige vers la compréhension des rouages complexes de la communication et les subtilités du langage ».
 
Il s’agit en fait d’un laissez-passer direct vers la maturité émotionnelle, qui leur servira tant dans leurs relations personnelles que professionnelles.
 
Néanmoins, la recherche stipule que ces querelles doivent être associées à des motifs valables, les arguments demeurant un effort à la résolution du problème, et doivent également se terminer par la réconciliation.
 
L’étude s’est étendue sur une période de 5 ans, où des enfants âgés de 2 à 6 ans étaient évalués selon leur développement cognitif et social.
 
« Plus les enfants se fâchent l’un contre l’autre et plus ils apprennent à canaliser leurs émotions, puisqu’ils prennent conscience de l’impact émotionnel sur l’autre », affirme la docteure Hughes.
 
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Famille de deux filles : combinaison gagnante

Après avoir comparé 12 combinaisons différentes de frères et de sœurs, des chercheurs ont conclu que la meilleure combinaison est 2 sœurs, rapporte Slate.fr. Les familles à enfant unique ne faisaient pas partie de l’échantillon de recherche.

Cette vaste étude comprenait 2 116 parents d’enfants de moins de 16 ans. On a demandé aux participants de relever différents comportements de leurs enfants par rapport à la comptabilité, aux jeux communs et aux disputes, par exemple.
 
Avoir deux filles représente donc la meilleure combinaison possible. Elles auraient peu de disputes, joueraient plus souvent ensemble et embêteraient moins leurs parents.
 
D’autre part, il semble que le pire scénario soit d’avoir quatre filles. Les parents de l’étude qui formaient une telle famille étaient les moins satisfaits. Ils auraient plus de difficulté dans leur vie quotidienne et seraient mécontents du comportement de leurs enfants. Dans ces familles, on a relevé quatre disputes ou bagarres par jour en moyenne.

On conclut toutefois que les parents interrogés n’aimaient pas moins leurs enfants que les autres, mais qu’ils rencontraient simplement plus d’embûches quant à la gestion de leur vie de tous les jours.