Une surprenante étude dévoile que les gens qui ont eu une enfance heureuse seraient plus enclins à divorcer une fois adultes, rapporte le Journal of Positive Psychology.
Ce sont les résultats d’une longue étude de l’Université de Cambridge qui a suivi des personnes nées en 1946. Dans leur jeunesse, leurs professeurs avaient évalué leur bonheur, leur convivialité et leur énergie. De plus, on avait relevé les problèmes d’agitation, de désobéissance et d’anxiété.
Des décennies plus tard, des renseignements sur la vie de ces personnes ont de nouveau été recueillis.
On constate que les jeunes ayant eu une éducation stable et heureuse auraient plus confiance en eux et seraient plus prêts à quitter une union qui ne répond pas à leurs besoins.
« Un facteur serait peut-être que les enfants positifs ont une meilleure estime d’eux-mêmes que les autres et sont donc plus enclins à laisser un mariage qui ne leur convient pas », explique la professeure Felicia Huppert.