Le Journal de Québec rapporte qu’une femme d’affaires en instance de divorce demande à son mari, un multimilliardaire, 50 000$ par mois et plus de 13 millions de dollars. Les médias ne peuvent cependant pas identifier le couple, qui vient de la grande région de Montréal et qui s’est marié en 2015 après quelques années de fréquentation, étant donné qu’il s’agit d’un recours en matière familiale.
La demande de divorce, déposée depuis peu au palais de justice de Montréal, fait état du mariage, mentionnant que l’homme aurait traité la femme « avec une cruauté mentale qui rend intolérable le maintien de la vie commune ».
Il aurait notamment demandé à sa femme de payer pour les films qu’elle louait, à 6$ la pièce, et aurait mis la main sur un système qui permettrait de garder l’inventaire de ses bouteilles de vin afin qu’elles ne soient pas bues pendant son absence, des mesures qui sont visiblement jugées comme contrôlantes par la demanderesse. Dans la demande de divorce, elle ajoute que son mari était « aucunement serviable », qu’il la « dénigrait constamment » et qu’il était « centré sur ses propres besoins ».
La femme d’affaires obtient présentement 10 000$ par mois de son mari, mais demande à quintupler cette allocation pour maintenir le même train de vie que durant leur mariage. Le couple voyageait environ 10 fois par année vers des destinations pouvant leur coûter jusqu’à 100 000$, comme la Tanzanie ou les Caraïbes, et ses sorties au restaurant coûtaient environ 400$. Le mari donnait également un budget de 20 000$ par année à sa femme pour qu’elle se procure des vêtements luxueux, en plus d’assumer « tous les traitements cosmétiques de la demanderesse pour un coût de 10 000 $ par année ».
La demanderesse réclame aussi 30 000$ pour des frais d’avocat ainsi que le partage du patrimoine familial, de leur résidence principale dans la grande région de Montréal à 12 M$, de leur propriété des Laurentides à 4,4 M$, de leur condo en Floride à 60 M$ et des quatre véhicules du défendeur, en plus de ses deux bateaux.
La femme d’affaires habite présentement dans une maison louée « 11 fois plus petite que la résidence familiale »et avoir avoir « perdu l’essentiel du confort matériel dont elle bénéficiait ».
Elle compte déménager à Montréal dans une maison qui lui coûtera « approximativement 3 millions de dollars ».