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La carotte et ses nombreuses vertus

À lire la série de bienfaits de la carotte mentionnée dans la liste proposée par Top Santé, il y a de quoi donner envie d’en manger tous les jours.

Car si on connaissait certaines vertus de la carotte, plusieurs autres demeurent inconnus, alors que certains semblaient carrément relever du mythe.

On pense entre autres à cette affirmation qui dit, depuis des lunes, que « la carotte est bonne pour les yeux ». Loin d’être un remède de grand-mère ou un proverbe ancestral, il appert plutôt que la carotte et son précieux bêta-carotène permettraient réellement de protéger les cellules de l’œil et de la rétine.

Il semble que manger des carottes trois ou quatre fois par semaine soit une posologie acceptable pour protéger les yeux, mais aussi pour faire baisser les risques de certains cancers, notamment du poumon, parfois de 40 %!

Dans le cas des accidents vasculaires, la consommation régulière de carottes ferait baisser les risques de 60 % en protégeant les parois des vaisseaux sanguins, notamment grâce aux antioxydants que la carotte contient aussi.

Globalement, la carotte permet donc de ralentir la dégénérescence due à l’âge à plusieurs niveaux, et peut grandement contribuer à une vie en pleine santé.

Elle est également bien sûr fortement conseillée pour les enfants.

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Vers un traitement des maladies de la rétine et de la cécité?

Des chercheurs ont utilisé la magie proposée par les cellules souches afin de créer de toutes pièces ce qu’on appelle des photorécepteurs.

Ces derniers permettent à l’œil de percevoir et capter la lumière, précisément ce qui fait défaut chez les patients atteints de dégénérescence maculaire.

Top Santé révèle aussi que c’est à la suite du début d’essais déjà prévus que les spécialistes de l’University College de Londres ont constaté la possibilité de programmer des cellules souches afin qu’elles se développent ensuite en photorécepteurs, pavant ainsi la voie à la possibilité de guérir éventuellement la cécité.

On a donc tenté l’expérience sur des souris aveugles, et bien que ces dernières n’aient pas recouvré la vue, on a tout de même bel et bien constaté le développement de photorécepteurs.

Selon les conclusions publiées dans le magazine Nature Biotechnology, il s’agit d’une découverte importante pour les patients atteints de dégénérescence maculaire (DMLA), par exemple.

« Si on peut implanter 20 000 cônes (photorécepteurs) à une personne souffrant de DMLA, on peut obtenir un immense bénéfice clinique, car nous n’avons pas besoin de beaucoup de cônes pour avoir une vision très efficace », conclut le meneur de ces recherches, le professeur Robin Ali.

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Que manger pour prévenir la DMLA?

Le DMLA, ou dégénérescence maculaire, se définit comme étant une dégénération des yeux et de la capacité à voir, un mal qui afflige bon nombre de personnes en prenant de l’âge.

Plusieurs études et théories affirment qu’il est possible de contrer le phénomène par l’alimentation, mais ces dernières se contredisent souvent.

Santé Log rapporte maintenant une nouvelle étude, proposée par les US National Institutes of Health, qui démystifie les aliments et les éléments nutritifs qui peuvent avoir une incidence positive en prévention de la DMLA.

On confirme d’abord que le risque de DMLA est plus grand chez les individus qui affichent des carences en caroténoïdes, en lutéine et en zéaxanthine, tous des antioxydants.

Les oméga-3, en revanche, n’auraient aucun impact sur le développement de la maladie.

Aussi, on invalide ici les présumées propriétés bienfaitrices du bêta-carotène, que l’on croyait utile à la prévention de la DMLA. On suggère maintenant de se tourner plutôt vers les caroténoïdes et d’abaisser le taux de zinc des patients.

On soupçonne par ailleurs la bêta-carotène d’être un facteur de risque du cancer du poumon chez les fumeurs.

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Un traitement pour contrôler le cholestérol pourrait aussi prévenir de la DMLA

La DMLA, ou dégénérescence maculaire, est l’un des problèmes les plus communs à survenir chez les gens qui prennent de l’âge. Plusieurs solutions sont envisagées, mais certaines pourraient provenir de traitements ou de médications déjà existants.

Ce serait notamment le cas des traitements de contrôle du cholestérol, rapporte Top Santé. C’est du moins ce que croient certains chercheurs américains, qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, selon les spécialistes de la Washington University School of Medicine, un taux de cholestérol élevé a des effets non seulement sur le système immunitaire, mais aussi sur les risques de développer un trouble de dégénérescence maculaire.

Avec un taux élevé de cholestérol, les cellules immunitaires s’en prendraient même directement à la rétine. On veut donc créer un nouveau traitement qui permet non seulement de contrôler les taux de cholestérol, mais aussi de prévenir la DMLA.

On croit que la meilleure formule de traitement se matérialiserait sous la forme de gouttes pour les yeux.

« Ces traitements anti-cholestérol pourraient prévenir l’accumulation de lipides dans la rétine », confirment et résument les chercheurs basés à Washington.

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Les oméga-3 et la DMLA

Les oméga-3 ont un impact bénéfique sur la santé, on le sait, mais ils pourraient aussi jouer un rôle important dans la prévention de la DMLA, rapporte Santé Log.

Avant d’expliquer cette cause à effet, il serait bon d’expliquer en quoi consiste la DMLA. Cette dernière semble complexe, mais elle est pourtant toute simple. Il s’agit de la dégénérescence maculaire liée à l’âge, un problème qui survient souvent chez les personnes qui commencent à prendre de l’âge.

Selon les chercheurs français, les oméga-3 pourraient aider à prévenir ce navrant syndrome, et ainsi aider à conserver des yeux en santé le plus longtemps possible.

La DMLA serait par ailleurs la raison numéro un des cas de cécité dans les pays les mieux développés, notamment en Amérique. Il est ainsi important de trouver des pistes de solutions pour une population qui continue de vieillir, selon les moyennes.

Intéressant donc de constater qu’une piste naturelle est envisagée.

D’autres facteurs peuvent influencer les chances de souffrir de la DMLA, soit le tabagisme, le régime alimentaire ainsi que l’hérédité (ADN).