Il n’y a pas grand vedettes québécoises dont le simple surnom résonne autant chez le public que celui de Dominique Michel. De sa carrière musicale à celle à l’écran, c’est une vraie star qu’on voit briller pour nous depuis près de 60 ans, alors disons qu’il était plus que temps qu’une statue de cire à son effigie se taille une place au Musée Grévin de Montréal!
View this post on InstagramC’est à compter du 24 octobre qu’on pourra voir Dodo de cire, lors du vernissage de l’exposition Bye Bye : 50 ans de costumes. Il faut dire que l’artiste a participé à pas moins de 17 de ces revues de fin d’année, faisant d’elle un des visages les plus récurrents de cette tradition télévisée.
Une fois l’exposition terminée, la statue rejoindra les 125 autres qui font partie de la collection permanente du musée, parmi laquelle on compte les versions inanimées de Marie-Mai, Fred Pellerin, Justin Trudeau ou encore Stéphane Rousseau.
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Les enfants de 3 ou 4 ans ont besoin d’une sieste. Parenting Squad vous propose quelques trucs pour négocier.
Obligation pour tous : Dodo ou non, obligez tout le monde présent à la maison à prendre du repos ou à être silencieux, par exemple de 13 h à 14 h. Votre enfant devra suivre et constatera que tous y participent.
Routine agréable pour la sieste : Créez un moment privilégié tout comme celui du soir, mais avec quelques différences. Parlez de la matinée, installez-vous au lit ensemble, lisez quelques histoires, frottez-lui le dos, etc.
Une heure pour l’épuiser : Avant la sieste, allez à la piscine, au parc ou ailleurs pour épuiser les réserves d’énergie de votre petite tornade.
Remplissez son bedon : N’importe qui avec le ventre bien rempli aura envie de s’étendre après le repas. Assurez-vous que votre enfant mange bien avant la sieste.
Le tableau des récompenses : Affichez un tableau comprenant chaque jour de la semaine et allouez un collant pour chaque journée où l’enfant a accepté la sieste. Une récompense lui sera remise selon le nombre de collants.
Vous avez nourri, lavé, changé, câliné et même chanté une chanson à bébé avant de le coucher. Pourtant, il hurle et hurle encore au point que vous ne savez plus quoi faire. S’agit-il de caprices? Apparemment pas.
C’est du moins ce que croit Didier Pleux, docteur en psychologie du développement. Lors d’un entretien avec le site Famili.fr, Dr Pleux explique qu’un bébé qui fait la crise, par exemple lorsque vient le temps de se coucher, est incapable de caprice. Il précise que le terme « caprice » signifie le désir d’embêter ses parents, chose dont les bébés sont incapables.
Il s’agirait plutôt de la frustration ressentie de ne plus jouir de plaisir reçu avant d’être placé au lit. Il continue en disant que les bébés ne manipulent pas comme il est commun de le croire. Ils testent par contre leurs parents, ce qui est un réflexe naturel.
Selon le docteur, le comportement des tout-petits est directement lié à celui des parents. Un enfant qui ne s’endort pas bien est généralement un enfant qui a été trop stimulé avant le coucher.
Pour éviter le problème, il importe d’avoir une routine de calme avant le sommeil, d’adopter très tôt une attitude moins surprotectrice et surtout, offrir une constance à votre enfant.
Voilà qui devrait venir en aide aux mamans désarmées devant le comportement de leurs petits. Et ne vous inquiétez pas; un peu d’autorité et de détachement ne nuira pas à l’amour que bébé vous portera!
Alors que plusieurs parents éprouvent de la difficulté à faire dormir leurs petits, le site ParetingSquad offre des trucs pratiques et efficaces pour trouver un bon équilibre.
On conseille de commencer très tôt, c’est-à-dire, dès que le nourrisson fait ses nuits. On commence la routine bain-histoire-musique et moment calme avant le dodo.
Un point très important est d’être consistant dans la démarche pour ne pas dérégler bébé.
Éliminez plusieurs éléments de stress en planifiant les choses. Certaines tâches comme préparer le pyjama, avoir choisi le livre à lire ou avoir déjà mis la musique à jouer peuvent être faites avant d’amorcer la routine.
Un simple baiser sur le front ou une caresse feront l’affaire. Passer trop de temps à cajoler l’enfant dans son lit pourrait lui faire développer un besoin qu’il n’a pas, et ainsi compliquer la mise au lit.
Quand l’enfant vieillit, la routine reste, mais certains éléments changent. À l’âge préscolaire, ils aiment être impliqués dans les choix d’histoire, de pyjama, etc. Ils aiment aussi jouer dans le bain plus longtemps, et auront peut-être besoin de plus de temps pour se calmer avant d’aller dormir.
Quand vous verrez ces changements, n’hésitez pas à adapter la routine à leur développement naturel, mais n’oubliez pas, la constance sera toujours la clé.
Même si vous avez établi des éléments répétitifs pour aider votre bébé à dormir, il se peut que vous ayez encore quelques ajustements à faire. Voici 5 erreurs à ne pas faire, selon Babysleepsite.
Votre routine n’en est pas une. Vous croyez que chaque soir se ressemble, mais en réalité, il manque l’élément clé pour que ce rituel devienne une réelle routine. Commencez par établir une heure précise.
La routine débute trop tard. Trop de parents attendent que leur bébé soit trop fatigué. Apprenez à détecter ces signes et devancez l’heure pour le mettre au lit. Un nourrisson devrait s’endormir en 10 minutes lorsqu’il se couche à temps.
Votre routine est trop complexe. Il se peut que votre rituel soit un peu trop rempli. Le tout-petit doit se détendre. Si vous incluez trop d’éléments différents, vous risquez de le stimuler plutôt que de l’endormir.
La routine est trop longue. Si c’est trop long, vous vous retrouvez à nouveau avec un bébé trop fatigué et irrité. Remarquez le temps que vous prenez et identifiez les signes de fatigue de votre enfant pour vous adapter.
Dodo et amusement ne vont pas ensemble. Bien que vous tentiez de créer un rapprochement avec votre petit amour, le chatouillement, l’amusement, les jouets qui parlent et les rires ne doivent pas faire partir de votre routine pour aller au lit.
Comme l’indique le site Parenting, ce sommeil réparateur est le remède tout indiqué pour l’irritabilité des bébés. En fait, entre 6 et 9 mois, les nourrissons devraient faire deux siestes ou dormir environ 3 heures durant la journée.
Voici donc quelques trucs pour vous aider :
Soyez attentif aux signaux de fatigue – Tenez un journal quotidien, jusqu’à ce que vous soyez en mesure de déterminer la ou les heures auxquelles votre enfant est fatigué. Remarquez les changements abrupts de comportement, s’il passe d’une phase énergique à inactive, s’il baille ou s’il frotte ses yeux. Dès lors, mettez bébé au lit.
Faites une sieste avec lui – Déterminez deux moments dans la journée, en matinée et en après-midi, où vous vous sentez fatigué. Profitez-en pour coordonner ces moments avec le biberon ou l’allaitement et sombrez vous aussi dans les bras de Morphée. Votre état encouragera votre enfant à se laisser aller également.
Portez-le jusqu’à ce qu’il s’endorme – Non, ce n’est pas une mauvaise habitude. Au contraire, si vous bercez votre enfant ou vous promenez avec lui jusqu’à ce qu’il ferme les yeux, il appréciera ce moment de détente. Ensuite, faites la transition vers le lit ou la balançoire pour bébé.
Faites dormir bébé pendant que vous faites votre jogging – Plusieurs nourrissons s’endorment plus facilement lorsqu’ils sont en mouvement. Pourquoi ne pas en profiter pour faire votre exercice?
Les résultats d’une récente recherche sur le sommeil des jeunes enfants ont été publiés dans l’édition de juillet du Journal of Developmental & Behavioral Pediatrics.
Il s’agit là d’une étude basée sur l’analyse du comportement de plus de 9 000 enfants, de leur naissance à l’âge de 4 ans. Selon la Dr Rebecca J Scharf de l’Université de la Virginie, « Les enfants d’âge préscolaire ayant un sommeil insuffisant ont plus de chance de développer de l’agressivité, de la frustration, d’avoir recours à des agressions, des impulsions, des crises et d’avoir un comportement dérangeant. »
En moyenne, un enfant de cet âge aurait besoin d’une période de sommeil d’au moins 9 h 45. En deçà de ce seuil, c’est considéré comme un manque de sommeil. D’ailleurs, les enfants du groupe dormant moins de 9 h 45 ont démontré de plus importants troubles du comportement.
Toujours selon Dr Scharft, « Il y a de très bonnes raisons de croire que la carence de sommeil mène à une extériorisation du comportement[.] Il serait tout à fait avisé de prôner de bonnes habitudes de sommeil, une routine appropriée pour aider les jeunes enfants. »
Des recherches anglaises montrent que le développement cérébral des jeunes enfants peut dépendre d’un horaire de coucher régulier.
Des scientifiques de l’University College de Londres ont trouvé que le manque de rigueur sur l’heure du coucher au quotidien pouvait avoir des effets sur l’horloge biologique de l’enfant et, par conséquent, sur les aptitudes cérébrales à se souvenir et à enregistrer de nouvelles informations.
Leurs résultats ont montré que les effets étaient particulièrement frappants chez les petits de trois ans. Les enfants de cette classe d’âge avaient de moins bons résultats en mathématiques, en lecture et en repérage dans l’espace que les petits du même âge qui se couchaient tous les jours à la même heure.
« Trois ans semble être l’âge où l’on perçoit les effets les plus importants », a noté la chercheuse Amanda Sacker.
« Si un jeune enfant se couche à des horaires irréguliers, il ne synthétise pas toutes les informations autour de lui et aura plus de difficultés lorsqu’il sera plus grand. Cela lui fait prendre une direction plus compliquée. »
Amanda Sacker et son équipe ont analysé des données de 11 178 Anglais alors âgés de sept ans qui entrent désormais dans l’adolescence.
Alors que l’heure à laquelle les enfants se couchaient n’avait que très peu voire aucune conséquence sur leur performance à différents tests, le fait de ne pas avoir d’horaire de coucher fixe influait grandement sur les résultats.
Les résultats étaient plus significatifs pour les filles. En effet, lors de tests passés à l’âge de trois, cinq et sept ans, les filles ayant des horaires de coucher moins fixes enregistraient de moins bons résultats que leurs camarades. Pour les garçons moins bien réglés, leurs résultats aux tests étaient moins bons dans deux catégories d’âge sur trois.
Cette étude est parue en ligne le 8 juillet dans Journal of Epidemiology and Community Health.
Alors que les enfants s’esclaffent devant Bugs Bunny qui sert une paire de gifles à Donald Duck, cette violence, qui peut nous sembler anodine, les empêcherait de bien dormir.
Un récent article publié dans le journal Pediatrics révèle les résultats d’une recherche sur le sujet. La qualité du sommeil d’enfants âgés de 3 à 5 ans a été analysée alors qu’ils avaient l’habitude d’écouter des dessins animés contenant une certaine forme de violence avant le dodo.
Ces enfants avaient tendance à avoir un sommeil plus agité que les enfants regardant des émissions ne comportant aucune ou très peu de violence.
Les émissions telles que ScoobyDoo, Bugs Bunny et Sponge Bob ont été nommées parmi celles qui affectaient le sommeil, alors que Sesame Street, Dora l’exploratrice et Curious George étaient considérées comme plus appropriées.
Les chercheurs spécifient qu’il n’est pas nécessaire de s’alarmer, mais qu’il faudrait tout de même considérer les meilleures options pour nos bambins.
En tant qu’adultes, nous sommes relativement désensibilisés à la violence, surtout celle qui nous semble plutôt banale dans les dessins animés, mais il n’en est pas de même pour les enfants.
Quand maman retourne au travail, c’est souvent une gardienne qui prend la relève. Il est important que l’horaire des enfants soit respecté. Après tout, n’avez-vous pas travaillé fort pour établir une certaine routine?
Sur Babysleepsite, on vous conseille d’expliquer à la nounou, dès son embauche, comment vous souhaitez que la période de gardiennage se déroule. Et surtout, expliquez-lui pourquoi c’est important pour vous. En effet, que ce soit dans ce métier ou tout autre, un employé qui reçoit des directives claires et précises sera beaucoup plus efficace qu’un autre.
Faites preuve de flexibilité. Si bébé fait ses dents ou encore que vous êtes en période de régression du temps de sommeil, il se peut que la gardienne soit forcée de modifier l’horaire. Il est d’ailleurs suggéré de vous assurer que vos exigences sont raisonnables.
Si vous pratiquez la technique « on le laisse pleurer jusqu’à ce qu’il s’endorme », il est fort possible que votre gardienne ne fasse pas preuve d’une aussi grande patience devant les pleurs intenses de bébé.
Vérifiez régulièrement avec la gardienne si tout se passe bien. Demandez à quelle heure le dîner a été donné, et si elle a eu du mal à coucher les petits.
Si, au bout d’un moment, les choses ne se passent pas comme vous le souhaitez, n’hésitez surtout pas à changer d’employé.