Catégories
Uncategorized

5 produits pour aider les tout-petits avec le dodo

1. Un livre : Il existe sur le marché de nombreux livres remplis de conseils et de trucs pratiques. Il y en a pour tous les goûts et toutes les philosophies… Un bon exemple : Dodo, l’enfant do : Le sommeil du tout-petit, sous la direction de Jacky Israël.

2. Un vaporisateur calmant : Avant le sommeil, vaporisez la pièce avec une odeur calmante de lavande… Personne ne pourra résister à cette aromathérapie, pas même votre petit têtu qui n’a pas envie de se coucher.

3. Peluche qui fait des sons Sleep Sheep de Cloud B : Un petit mouton tout doux, qui émet quatre sons apaisants, la pluie, le chant des baleines… Il est possible de le régler pour 23 ou 45 minutes.

4. Alarme pour enfants OK to Wake : Ce joli petit réveil est aussi une veilleuse. Il change de couleur lorsque le temps entré par les parents est écoulé, signifiant aux petits qu’ils peuvent se lever.

5. Peluche veilleuse Twilight Constellation de Cloud B : Une tortue qui crée une constellation d’étoiles au plafond.

Catégories
Uncategorized

Dodo jusqu’à trois ans avec maman

Une récente étude de l’Université de Cape Town, en Afrique du Sud, vient remettre en question les préceptes reçus quant à l’endroit où devrait dormir bébé.

On a souvent parlé, ces derniers temps, des dangers que courait un bébé en dormant avec ses parents. Plusieurs cas de mort subite ont été mentionnés. Ici, on souligne toutefois que ces cas n’étaient pas liés au fait que la mère dormait avec l’enfant. Les causes étaient plutôt la fumée de cigarette, les oreillers ou couvertures, l’abus d’alcool, etc.

Il semble au contraire que le jeune enfant devrait dormir avec ses parents jusqu’à l’âge de trois ans, car cela est bon pour son cœur et conduit à un meilleur comportement à mesure qu’il grandit. Cette situation pourrait même se poursuivre jusqu’à quatre ans, ajoute-t-on sur Mail Online.

Après avoir suivi par moniteur les battements cardiaques de bébés, on a remarqué que ceux qui dormaient avec leur mère dormaient mieux, en comparaison à ceux qui avaient somnolé sur sa poitrine. Leur battement cardiaque révélait aussi moins de stress; on parle ici de trois fois moins.

Catégories
Uncategorized

De beaux dodos durant les vacances

Souvent, lorsque toute la maisonnée se retrouve en vacances d’été, on a tendance à laisser aller un peu la discipline et la routine. Pourtant, selon les experts, les enfants ne devraient pas dormir moins durant cette période de l’année, comme nous l’apprenons sur UPI.com.

L’article Let Kids be Kids: Rescuing Chilhood, présenté par la professeure Mary Muscari de la Decker School of Nursing de la Bringhamton University (New York), soutient qu’un manque de sommeil chez l’enfant peut mener à des problèmes d’apprentissage et des accidents, voire à la dépression.

De plus, l’experte rappelle aux parents qu’un enfant qui est en forme est un enfant heureux. Les enfants et les adolescents doivent bénéficier quotidiennement de neuf heures de sommeil pour bien fonctionner et grandir.

Toutefois, on peut laisser les enfants s’endormir plus tard, mais les lever plus tard aussi dans ce cas. Il faut conserver la même routine et les mêmes habitudes de sommeil, quel que soit le contexte.

Leurs nuits de sommeil doivent par contre revenir au cadre de la vie scolaire au moins une semaine à l’avance, à la fin de l’été.

Catégories
Uncategorized

Un meilleur sommeil pour les sportifs

Des chercheurs associés à l’Université de Bâle, en Suisse, prétendent que les adolescents qui pratiquent fréquemment du sport dorment mieux et sont plus concentrés en classe que ceux qui sont sédentaires.

434 adolescents ont participé à cette étude et 258 d’entre eux s’entraînaient à raison de 17,5 heures par semaine.

« Notre étude démontre qu’être un athlète à l’adolescence est synonyme d’une meilleure qualité du sommeil, de moins de somnolence et d’une meilleure concentration au cours de la journée », ont mentionné les auteurs dans la revue médicale Journal of Adolescent Health.

Catégories
Uncategorized

Lien entre l’apnée du sommeil et la mortalité

Une étude menée par le Dr Naresh Punjabi, de l’Université Johns Hopkins à Baltimore, démontre que les personnes qui souffrent d’apnée du sommeil sévère sont 46 % plus à risque de décéder que les sujets qui ne sont pas atteints de ce trouble du sommeil.

Pendant 8 ans, M. Punjabi et ses collègues ont travaillé avec plus de 6 400 adultes et concluent qu’un stade sévère d’apnée du sommeil est associé à un risque accru de mortalité de toutes sortes, peu importe l’âge, le sexe, le poids et le tabagisme chez les participants.

Pour le chercheur David Rapoport, qui a aussi travaillé à cette étude, les patients qui souffrent de ce trouble du sommeil devraient envisager de perdre du poids et aussi de dormir avec un appareil qui permet de combler les manques d’oxygène durant le sommeil.

Catégories
Uncategorized

Un gène associé au sommeil

Les travaux menés par la neurologue Ying-Hui Fu, de l’Université de Californie à San Francisco, l’amènent à conclure qu’une mutation génétique sur le gène DCE2 pourrait expliquer pourquoi certaines personnes peuvent dormir moins de six heures par nuit sans en être affectées.

Rappelons que la communauté scientifique s’entend pour dire qu’un sommeil réparateur compte huit heures par nuit et qu’une privation peut entraîner des conséquences, comme une hausse du risque de cancer, une dysfonction des glandes endocrines, des pertes de mémoire et des sautes d’humeur.

La Dre Fui croit donc que le gène DEC2 joue un rôle dans la régulation du temps de sommeil ainsi que dans le processus de maintien en éveil.

Catégories
Uncategorized

Le manque de sommeil plus dangereux pour les femmes

Le journal SLEEP a publié une étude révélant que le manque de sommeil chez les femmes leur est plus dommageable que pour l’homme.

L’étude faite par des chercheurs de l’Université de Warwick et de l’University College de Londres, en Grande-Bretagne, a révélé que les marqueurs servant à identifier les risques d’un accident cardio-vasculaire, l’interleukine 6, sont plus bas chez la femme dormant 8 heures par nuit qu’une autre ne dormant que 7 heures.

Un autre marqueur, la protéine C réactive, est également utilisé et son niveau révèle les mêmes conclusions, notamment chez les femmes dormant moins de 5 heures par nuit, qui sont encore plus à risque.

La même étude a démontré que chez l’homme, les différences des niveaux enregistrés de ces marqueurs n’avaient pas un écart très grand, suggérant ainsi que le manque de sommeil chez les hommes est beaucoup moins nocif que chez les femmes.

Michelle Miller, professeure associée à l’école de médecine de Warwick et auteure principale de l’étude, ne peut qu’encourager les femmes à dormir au moins huit heures par jour à la suite de ces résultats.

Pas moins de 4 600 hommes et femmes âgés de 35 à 55 ans ont participé à cette étude.

Catégories
Uncategorized

Une étude contredit un proverbe

Un proverbe bien connu affirme que l’avenir appartient aux lève-tôt, ce qui ne serait toutefois pas le cas, selon les résultats d’une étude publiée dans le journal Science.

Une équipe de chercheurs de l’Université de Liège, en Belgique, a mesuré par résonance magnétique l’activité cérébrale de deux groupes de personnes dont les habitudes de sommeil étaient différentes.

En s’assurant que chaque personne des deux groupes dormait le même nombre d’heures, l’équipe de Christina Schmidt a voulu évaluer la résistance des participants en les confrontant à une tâche d’attention visuelle précise à différents moments de la journée.

Les deux groupes avaient des habitudes de lever décalées de 4 heures. Autant pour le groupe des lève-tôt que des lève-tard, l’activité mesurée 90 minutes après leur lever respectif démontrait qu’ils étaient aussi efficaces l’un que l’autre. Par contre, la même mesure enregistrée 10 heures après leur réveil démontrait une grande différence au bénéfice des lève-tard.

La différence s’expliquerait par deux facteurs : l’horloge circadienne qui synchronise le sommeil avec le rythme du jour et de la nuit et le processus homéostatique qui prend une sorte de mesure du temps que l’on passe éveillé.

Les lève-tôt seraient plus sensibles à la pression homéostatique et accumuleraient ainsi plus rapidement la pression que le sommeil leur impose.

Catégories
Uncategorized

Au lit plus tôt!

Selon le psychiatre James Gangwisch, de l’Université Columbia à New York, l’heure du coucher pourrait jouer un rôle dans le risque de dépression et de pensées suicidaires chez les adolescents.

Le taux de troubles dépressifs est moins élevé chez les jeunes lorsque leurs parents les ont mis au lit avant 22 h, comparativement à ceux que l’on pourrait surnommer les oiseaux de nuit.

« Cette étude apporte des arguments à la théorie qui veut que la privation de sommeil soit associée à la dépression. Les adolescents que les parents ont couchés plus tôt sont moins à risque de souffrir de dépression ou d’avoir des pensées suicidaires », a fait savoir M. Gangwisch, qui a présenté les résultats de sa recherche lors du congrès annuel de l’Associated Professional Sleep Societies.

Catégories
Uncategorized

Lien entre le sommeil et l’hypertension artérielle

Selon la chercheuse Kristen Knutson de l’Université de Chicago, la privation de sommeil entraîne une hausse du risque d’hypertension artérielle chez les adultes.

Une moyenne d’une heure de sommeil en moins chaque nuit, pendant cinq ans, fait grimper l’incidence de haute pression de 37 %.

Selon les U.S. Centers for Disease Control and Prevention, un adulte doit dormir en moyenne de sept à neuf heures par nuit. Bien des études antérieures ont démontré que des nuits de sommeil plus courtes entraînaient un lot de conséquences sur la santé, comme le risque accru de maladies coronariennes et d’accidents vasculaires cérébraux.

578 adultes, âgés d’environ 40 ans, ont participé à cette étude qui comparait leur pression sanguine en fonction des heures de sommeil.