Étiquette : Dom Hemingway

L’acteur britannique Jude Law n’accepterait quand même pas un rôle pour l’argent, surtout s’il s’agissait d’un film de superhéros.

Les films de superhéros, même s’il est loin de les juger, ne sont pas son style. Il ne les considère pas comme suffisamment sérieux. « J’aime regarder ces films avec mes enfants. » 

« Je ne vais quand même pas me reprocher de penser à l’argent, non? Je crois qu’à l’intérieur d’une carrière artistique, il y a suffisamment de place tant pour les rôles commerciaux qu’artistiques », a dévoilé Law au magazine italien F. D’ailleurs, il dit qu’avant tout, c’est l’argent que lui rapportera un film tant que le rôle lui-même qui l’intéresse.

« Hollywood est un travail. » Il se réfère aussi à Miley Cyrus, qui a compris, selon lui. « Regardez Miley Cyrus : elle cause un scandale, mais elle fait aussi beaucoup d’argent. »

Le plus récent rôle que l’acteur de 41 ans a accepté est celui de Dom Hemingway, un homme habitué à infiltrer les coffres forts, qui sort de prison et veut son dû.

« Je voulais incarner un personnage offensant et vraiment dégoûtant. Ce genre d’individu existe réellement, et je crois qu’ils ont un certain pouvoir de séduction. »

L’acteur britannique Jude Law n’accepterait quand même pas un rôle pour l’argent, surtout s’il s’agissait d’un film de superhéros.

Les films de superhéros, même s’il est loin de les juger, ne sont pas son style. Il ne les considère pas comme suffisamment sérieux. « J’aime regarder ces films avec mes enfants. » 

« Je ne vais quand même pas me reprocher de penser à l’argent, non? Je crois qu’à l’intérieur d’une carrière artistique, il y a suffisamment de place tant pour les rôles commerciaux qu’artistiques », a dévoilé Law au magazine italien F. D’ailleurs, il dit qu’avant tout, c’est l’argent que lui rapportera un film tant que le rôle lui-même qui l’intéresse.

« Hollywood est un travail. » Il se réfère aussi à Miley Cyrus, qui a compris, selon lui. « Regardez Miley Cyrus : elle cause un scandale, mais elle fait aussi beaucoup d’argent. »

Le plus récent rôle que l’acteur de 41 ans a accepté est celui de Dom Hemingway, un homme habitué à infiltrer les coffres forts, qui sort de prison et veut son dû.

« Je voulais incarner un personnage offensant et vraiment dégoûtant. Ce genre d’individu existe réellement, et je crois qu’ils ont un certain pouvoir de séduction. »

Le magazine Variety décrit le rôle de Jude Law comme un retour fracassant. On ajoute que cela fera changement de la mauvaise presse, tant professionnelle que personnelle, qu’a subie l’acteur de 40 ans ces dernières années.

Law a affirmé que ce rôle représente « le plus gros défi de sa carrière au cinéma ». Un être complexe, gangster psychopathe, avec un penchant pour les monologues shakespeariens, reconnu pour ses accès de violence imprévisibles.

« Pour une raison que j’ignore, il demeure incroyablement charmeur. J’ai tout de suite succombé », a avoué Jude Law, qui était présent au TIFF pour la première de Dom Hemingway.

Mais le défi consiste à rendre justice au personnage à l’écran, et Jude Law est reconnu pour sa tendance à vouloir être plus grand que nature dans ses personnages. Pour commencer, il a dû prendre 30 livres, à coup de crème glacée, burgers, sodas (10 cannettes par jour) et une bonne dose de whisky. 

Ensuite, il lui a fallu pratiquer ses monologues dans lesquels il avoue qu’il « s’empêtrait facilement ». Mais c’est le côté psychotique du personnage qui laissera l’auditoire pantois, selon Richard Shepherd, réalisateur du long métrage. « Vous n’avez jamais vu Jude jouer quoi que ce soit de similaire à ce jour. »

Dom Hemingway est prévu en salles en novembre prochain au Royaume-Uni, puis en avril 2014 en Amérique du Nord.

Le magazine Variety décrit le rôle de Jude Law comme un retour fracassant. On ajoute que cela fera changement de la mauvaise presse, tant professionnelle que personnelle, qu’a subie l’acteur de 40 ans ces dernières années.

Law a affirmé que ce rôle représente « le plus gros défi de sa carrière au cinéma ». Un être complexe, gangster psychopathe, avec un penchant pour les monologues shakespeariens, reconnu pour ses accès de violence imprévisibles.

« Pour une raison que j’ignore, il demeure incroyablement charmeur. J’ai tout de suite succombé », a avoué Jude Law, qui était présent au TIFF pour la première de Dom Hemingway.

Mais le défi consiste à rendre justice au personnage à l’écran, et Jude Law est reconnu pour sa tendance à vouloir être plus grand que nature dans ses personnages. Pour commencer, il a dû prendre 30 livres, à coup de crème glacée, burgers, sodas (10 cannettes par jour) et une bonne dose de whisky. 

Ensuite, il lui a fallu pratiquer ses monologues dans lesquels il avoue qu’il « s’empêtrait facilement ». Mais c’est le côté psychotique du personnage qui laissera l’auditoire pantois, selon Richard Shepherd, réalisateur du long métrage. « Vous n’avez jamais vu Jude jouer quoi que ce soit de similaire à ce jour. »

Dom Hemingway est prévu en salles en novembre prochain au Royaume-Uni, puis en avril 2014 en Amérique du Nord.