La marque Dolce & Gabbana a de quoi se réjouir. Un juge italien a officiellement retiré les accusations d’évasion fiscale qui pesaient contre le duo de designers, rapporte Coco Perez.
On apprenait l’année dernière que des fonctionnaires avaient découvert que Domenico Dolce et Stefano Gabbana avaient omis de payer des impôts pour plus d’un milliard de revenus.
Le procureur de la Couronne voulait déposer des accusations criminelles contre les deux hommes pour fraude et pour avoir inventé une fausse compagnie.
En général, la sentence maximale pour fraude serait de 5 années de prison, mais selon les détails de ce dossier, les designers auraient pu faire face à deux années de plus derrière les barreaux.
Finalement, la juge Simone Luerti a convenu qu’il n’y avait aucun fondement pour un procès, ce qui signifie que Domenico Dolce et Stefano Gabbana ne feront pas l’objet d’accusations criminelles et ne feront pas face à une possible peine de prison.
En plus des deux designers, la juge a également retiré les accusations qui pesaient contre Alfonso Dolce, Cristiana Ruella, Giuseppe Minoni et Antoine Noella, qui font tous partie de l’équipe de gestion de la compagnie.