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Vivre séparément pour maintenir une relation amoureuse

Selon une nouvelle étude de l’Université de l’Ohio publiée dans le journal Family Relations, lorsque des couples vivant en concubinage avec des enfants décident de ne plus vivre ensemble, cela ne signifie pas nécessairement que leur relation amoureuse est terminée et qu’ils renoncent complètement à l’idée d’être un couple et une famille à part entière.

Cette relation amoureuse qui continue dans des foyers différents pourrait être très bénéfique pour les enfants et pour la famille, explique l’étude.

Il semblerait que les enfants dont les parents sont toujours amoureux et vivent séparément sont portés à aller voir plus souvent, de leur propre gré, le parent chez qui ils vivent moins.

L’étude a démontré que l’implication et la présence du père sont bonnes et très importantes pour l’enfant. Ce mode de vie favoriserait donc le bien-être et la satisfaction de tous.

Les couples qui sont restés connectés même s’ils vivent séparément ont tendance à avoir une meilleure relation d’investissement et d’entraide les uns envers les autres, ce qui peut se traduire par du temps de qualité partagé, un compte bancaire commun et même, dans certains cas, avoir un autre enfant ensemble.

Moins de chaos au sein des familles serait également au rendez-vous. Ces relations d’investissement rendent d’ailleurs les couples moins à risque de se séparer totalement, dévoile l’étude. En effet, les couples ont 22 % plus de chance de vivre une rupture définitive s’ils vivent dans le chaos.

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Un accouchement à la maison

La Dre Patricia Janssen et son équipe, de l’Université de la Colombie-Britannique, affirment que les futures mères peuvent envisager sans crainte de donner naissance à domicile, sous la supervision d’une sage-femme, plutôt que dans un hôpital.

Les chercheurs ont observé que ce type de naissance entraînait moins de césariennes et de complications et que le risque de mortalité du bébé était similaire, sinon moindre, à celui observé en milieu hospitalier.

« Nous ne négligeons pas l’importance du libre choix parmi les femmes qui optent pour la naissance à domicile. Ce libre choix peut être un élément important de la gestion du risque dans les naissances à domicile et, dans ce contexte, il s’agit d’une facette souhaitable de la méthodologie de l’étude. Selon les renseignements que nous avons obtenus, la disponibilité de sages-femmes autorisées peut facilement motiver le choix du lieu de l’accouchement », ont fait savoir les auteurs de cette recherche publiée dans le Journal de l’Association médicale canadienne.