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Les jeunes filles plus affectées par les beuveries

Une étude effectuée par l’Université de la Californie à San Diego et l’Université de Stanford démontre que les beuveries sont plus dommageables pour le cerveau des jeunes filles.
 
Et les effets vont bien au-delà de la simple gueule de bois du lendemain. L’étude rapporte que leurs neurones sont plus affectés.
 
On a examiné le cerveau de 95 jeunes femmes. 40 d’entre elles avaient participé à une beuverie (au moins quatre verres d’alcool de suite pour une femme et cinq pour un homme).
 
L’activité cérébrale de plusieurs zones du cerveau, dont celles de la mémoire et de la capacité d’attention, était considérablement réduite avec une grande consommation d’alcool. Les effets pouvaient se ressentir à long terme également.
 
« Cela suggère que les adolescentes pourraient être particulièrement vulnérables aux effets négatifs d’une consommation excessive d’alcool », mentionne la professeure en psychiatrie et coauteure de l’étude, Susan Tapert.
 
On croit que l’alcool affecte plus le cerveau des filles, car le développement de ce dernier est en général jusqu’à deux ans en avance comparativement à celui des garçons, donc les dommages sont plus grands. Aussi, les filles ont un métabolisme plus lent, un indice de masse graisseuse plus important et un poids moyen inférieur.
 
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Une pilule pour réparer le coeur après une attaque

Des chercheurs britanniques de l’University College de Londres élaborent en ce moment une pilule qui serait capable de réparer le cœur après une crise cardiaque.
 
Ils croient que cela prendra encore une dizaine d’années toutefois avant de parfaire ce médicament. On espère procéder à des essais cliniques sur des humains dans quelques années.
 
Les chercheurs ont découvert que la protéine thymosine bêta-4 (TB4) était la clé de la croissance chez les cœurs jeunes. Elle réveille les cellules souches dormantes dans l’organe adulte.
 
Ainsi, après une crise cardiaque, les muscles et les vaisseaux sanguins pourraient être reconstruits, réduisant les dommages à long terme et améliorant la qualité de vie des victimes.
 
Cette nouvelle méthode serait donc une avancée spectaculaire dans le monde médical si l’on parvient à créer ce médicament efficacement et sans effets secondaires qui causeraient d’autres problèmes de santé.
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Le curcuma pour réparer les dommages après un AVC

Des chercheurs américains seraient parvenus à créer une molécule dérivée du curcuma capable de réparer les dommages d’un accident vasculaire cérébral (AVC).
 
Le curcuma est reconnu depuis longtemps pour ses bienfaits pour la santé.
 
Des expériences menées sur des lapins démontrent que cette molécule, nommée CNB-001, régénère les cellules.
 
« Cette molécule est dotée d’un grand nombre des mêmes vertus que le curcuma, mais avec la capacité de franchir sans problème la barrière naturelle de protection cérébrale et pouvant ainsi être rapidement acheminée et distribuée dans le cerveau afin de modérer plusieurs mécanismes clés jouant un rôle dans la survie des neurones », explique le Dr Paul Lapchak, directeur de recherche du service de neurologie du Centre médical Cedars-Sinai à Los Angeles.
 
La CBN-001 protègerait les cellules des dommages subis et favoriserait également la croissance et la survie des neurones endommagés.
 
Cette molécule permet de réduire les problèmes musculaires et de contrôle des mouvements après un AVC si elle est administrée dans les trois heures suivant l’attaque.
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La vitamine B causerait plus de mal que de bien aux diabétiques

Les diabétiques avec lésions rénales qui prennent de la vitamine B pour diminuer le risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral (AVC) augmentent en fait les risques de ces deux problèmes, en plus de causer plus de lésions à leur fonction rénale.
 
La nouvelle étude, publiée dans le Journal of American Medical Association, démontre clairement un risque accru de crise cardiaque et d’AVC chez les diabétiques qui prennent de la vitamine B. On souhaite donc prévenir les gens des dangers encourus.
 
238 diabétiques avec insuffisance rénale ont participé à la recherche. 50 % ont reçu une forte dose de vitamine B et l’autre moitié un placebo.
 
Après un suivi de 36 mois, ceux ayant pris la vitamine B avaient un taux plus élevé de problèmes. 8 personnes ont fait une crise cardiaque contre 4 chez le groupe ayant eu un placebo. Pour les AVC, on compte six personnes dans le premier groupe et seulement une personne dans le deuxième qui en a été victime.
 
De plus, ceux ayant pris la vitamine ont vu leurs fonctions rénales être diminuées.