Étiquette : Donald Trump

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Robert De Niro : « Donald Trump a souillé la présidence »

En entrevue pour Good Day New York, Robert De Niro s’est une fois de plus insurgé contre son président, Donald Trump. Aux yeux de la star de Casino et de Dirty Grandpa, l’actuel président a désormais « souillé » le poste qu’il occupe.

« Je ne peux l’articuler assez bien, autre que de dire que c’est ridicule. C’est idiot. Ce gars a souillé la présidence. Il a dégradé la présidence. C’est au-delà de surréel ce que ce gars-là a fait », lance Robert De Niro.

Ce dernier avait également confirmé qu’il maintenant ses propos émis lors de la campagne présidentielle, alors qu’il avait affirmé que M. Trump était un « bâtard » et qu’il aimerait bien « le frapper au visage ».

La star de Raging Bull et Taxi Driver avait également écrit une lettre en appui à sa consœur Meryl Streep, après que cette dernière ait profité d’un hommage qu’on lui rendait lors des Golden Globes pour s’en prendre à Donald Trump, rappelle et rapporte également BANG Media International.

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Bella Hadid, fière musulmane

Depuis l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, plusieurs mesures ont été prises.

L’une des plus radicales et contestées reste, à date, sans doute celle sur l’avorté décret anti-immigration qui visait à restreindre l’arrivée de population musulmane aux USA.

Une mesure qui n’a pas laissé de marbre la mannequin vedette Bella Hadid qui, en plus d’avoir participé à une marche de protestation, s’est confiée sur ses origines au magazine Net-a-Porter :  

« Mon père était un réfugié quand il est venu pour la première fois en Amérique, ce n’est donc pas très loin de nous avec ma soeur et mon frère. »

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 «  Il a toujours été très religieux et il a toujours prié avec nous. Je suis fière d’être musulmane », a-t-elle assuré.

Bella et Gigi Hadid revendiquent leurs origines palestino-européennes. Américaines de naissance, Néerlandaises par leur mère et Palestine par leur père, la fraterie Hadid jouit d’une triple culture dont elle est fière.

Depuis quelque temps, les deux soeurs Hadid semblent par ailleurs se faire les porte-paroles d’une culture encore sous représentée dans les médias.

Par ailleurs, le mois dernier, la grande soeur Gigi Hadid avait soulevé la controverse en posant en couverture du tout premier numéro de Vogue Arabia.

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Scarlett Johansson en politique ?

Scarlett Johansson est bien connue pour être une actrice engagée, et une membre du parti démocrate américain.

Ne cachant pas ses opinions en politique, l’héroïne de Match Point aurait même le désir secret d’embrasser un jour une carrière en politique quand sa fille serait un peu plus âgée.

C’est ce que l’actrice de 32 ans a révélé au magazine Event. 

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 « J’espère pouvoir protester de façon pacifique, j’aimerais mieux ne pas aller en prison et si cela implique de se présenter à poste public à un moment donné, j’y réfléchirai », a-t-elle affirmé.

« Ce serait un plaisir et un privilège que d’être en mesure de se présenter à ce type de poste. J’ai toujours pensé que c’est une façon bien plus efficace de faire entendre sa voix », a ajouté l’actrice.

Pour l’heure, il ne semblerait en revanche pas que ce soit le bon moment pour elle de s’engager corps et âme dans ce combat.

« Pour le moment, j’essaie d’élever ma mini-moi », précise-t-elle au magazine en faisant référence à sa fille, Rose, âgée de deux ans.

Actuellement au beau milieu d’une procédure de divorce avec son époux Romain Dauriac, il serait en effet compréhensible que pour Scarlett Johansson, ce ne soit effectivement pas le moment idéal de se lancer en politique.

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Musique

Snoop Dogg tire sur Donald Trump dans un clip

Snoop Dogg n’aime pas trop Donald Trump. Avec ce dernier clip assassin pour le 45e président des États-Unis, difficile d’en douter.

Par une ville peuplée de clowns munis de pistolets en plastique qui tirent des confettis, Snoop Dogg critique frontalement la politique menée par le magnat de l’immobilier américain.

Des bavures policières aux mesures d’immigration, Snoop Dogg passe au crible la situation actuelle aux États-Unis, qui ne date pas que de l’ère Trump.

Dans le clip, Donald Trump apparaît sous les traits d’un clown à la peau maquillée d’orange et abordant une perruque blonde exagérée. D’ailleurs, à la fin, Snoop Dogg n’hésite pas à se mettre en scène en train de tirer directement sur le président.

Ce dernier morceau de Snoop Dogg est un remix du titre Lavender, initialement signé par Badbadnotgood et le producteur et DJ montréalais Kaytranada.

Rappeur prolifique, Snoop Dogg a par ailleurs sorti l’année dernière Coolaid, son quatorzième album studio en date.

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Alec Baldwin ne fera plus Trump « très longtemps » pour SNL

Après avoir pris d’assaut l’émission Saturday Night Live avec une personnification de l’homme-d’affaires-en-campagne-électorale Donald Trump, puis du président Trump, augmentant au passage les cotes d’écoute de l’émission diffusée sur NBC dramatiquement, l’acteur Alec Baldwin croit maintenant que la blague tire à sa fin.

Interrogé par le USA Today sur ses plans, Baldwin croit qu’il n’en plus pour « très longtemps » avec Trump.

« Je ne sais pas. Je peux dire honnêtement que je ne pense pas continuer pour encore très longtemps. Donc, cette saison, je vais le faire… je sais que je vais faire quelques autres épisodes d’ici la fin de la saison, ils terminent en mai. Ces gens sont très chers à mon coeur. Lorne (Michaels, le manitou de SNL), est un ami proche. C’est comme retourner à la maison que je vais là-bas. Je les adore et j’adore être là-bas. Mais, après cet été, je prends l’été en pause avec ma famille, lors de mon retour, il y a juste tellement de trucs différents que je veux faire. C’est hors de question que je sois disponible pour faire cela à long terme », lance l’ancienne star de 30 Rock.

Alec Baldwin assure par ailleurs « ne pas vraiment avoir peur » de représailles gouvernementales maintenant que Donald Trump est élu, même si plusieurs croient qu’il pourrait lui arriver malheur.

Alec Baldwin croit également qu’il est intéressant d’analyser les opinions des gens qui estiment qu’il a contribué à l’élection de Trump en « l’humanisant » par sa caricature, mais l’acteur de 58 ans assure que ce « n’était assurément pas le but ».

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Lars Ulrich s’en prend à Donald Trump

Le batteur de Metallica en a déjà marre du président américain, qui n’est pourtant qu’en début de mandat.

Pour Lars Ulrich, davantage devrait être tenté afin de « rassembler les gens », et non pour diviser.

Le musicien fait référence au fameux mur que Donald Trump souhaite ériger le long de la frontière séparant les États-Unis du Mexique.

« Je ne pense pas que le monde ait besoin de quelconques murs. Je pense qu’on doit rassembler les gens. Metallica voyage partout dans le monde, et on tente de rassembler à travers la musique. Alors, que l’on soit au Mexique, ou encore en Asie, ou en Europe ou peu importe, on encourage le plus de gens de différents origines et profils à se rassembler et à partager la musique, la vie et la culture et toutes ces expériences », lance Lars Ulrich en entrevue avec une chaîne de télévision mexicaine (Las Estrellas), rapporte BANG Media International.

En janvier dernier, le collègue d’Ulrich au sein de Metallica Kirk Hammett avait lui aussi attaqué Donald Trump en marge de son inauguration, et avait urgé les gens à « se tenir debout » et à « demeurer attentif ».

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Schwarzenegger: « Trump est amoureux de moi »

Invité dans les studios de XM Sirius pour discuter en compagnie de l’animateur Michael Smerconish, Arnold Schwarzenegger n’a évidemment pu éviter les questions concernant Donald Trump, et la star de la saga Terminator n’a pas semblé s’en plaindre.

Questionné sur les raisons qui pourraient expliquer les tweets incessants de Trump concernant ou à l’endroit de Schwarzenegger, ce dernier avait sa petite idée sur le sujet.

« Je crois qu’il est amoureux de moi », lance l’ancien gouverneur de la Californie, du tac au tac.

« Est-ce que c’est ça? », répond avec humour Smerconish.

« Oui, je le pense », persiste et signe Schwarzenegger.

L’acteur qui vient de quitter Celebrity Apprentice, selon lui en chute libre parce que l’émission a été boycottée par trop de gens insatisfaits de voir Trump encore figurer parmi les producteurs recevant des royautés sur l’émission, poursuit maintenant sa route.

Arnold Schwarzenegger sera notamment en vedette dans Aftermath et Why We’re Killing Gunther, en 2017, et le très attendu dernier volet des Expendables de Sylvester Stallone, The Expendables 4, en 2018.

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Des stars montent aux barricades contre Trump

Beyoncé, Lena Dunham, Brie Larson, Katy Perry, Ellen Page et Caitlyn Jenner dénoncent la décision de la Maison-Blanche de mettre fin au dispositif fédéral de protection des droits des étudiants transgenres.

À la suite de cette décision, il pourrait devenir plus difficile pour les étudiants transgenres d’avoir accès aux installations non mixtes selon l’identité de genre plutôt que sexuelle. La précédente administration, celle de Barack Obama, protégeait les droits des transgenres depuis 2016.

Caitlyn Jenner, l’une des transgenres les plus connues des États-Unis, et ouvertement démocrates, dénonce la décision du président Trump. Dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux, elle avait un message pour les jeunes transgenres de son pays : « J’ai un message pour les jeunes trans d’Amérique, vous allez gagner. Très bientôt, nous gagnerons notre totale liberté et cela deviendra un appui bipartisan. »

Caitlyn Jenner avait aussi d’autres messages à faire passer : « Maintenant un message pour les intimidateurs : Vous êtes des malades. » Au président Trump, la star de la téléréalité a dit ceci : « Finalement un message pour le président Trump. Ceci est un désastre et vous pouvez réparer cela. Vous avez fait la promesse de protéger la communauté des LGBTQ. Appelez-moi », dit-elle.

De nombreuses célébrités ont également utilisé les réseaux sociaux afin de désapprouver la décision de l’administration Trump. 

Selon un récent sondage Gallup paru aux États-Unis en janvier dernier, plus de 10 millions d’Américains se disent LGBTQ.

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Photo : BANG/BIG

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Lindsay Lohan soutient Donald Trump

Lindsay Lohan vogue à contresens en appuyant Donald Trump, alors que la grande majorité des vedettes hollywoodiennes se montrent opposées au président américain.

La sortie de la star de 30 ans lors d’une interview sur Facebook avec le Daily Mail de Londres peut surprendre. En effet, Donald Trump s’en est déjà pris à l’actrice alors qu’elle n’était qu’une adolescente.

« Je crois que dès que vous êtes dans l’oeil du public, vous serez critiqué. Il est le président, vous devez donc vous joindre à lui. Si vous ne pouvez le battre, joignez-vous à lui », incite l’actrice.

Pourtant, Lindsay Lohan est choquée par les positions de Donald Trump à l’endroit de sept pays musulmans qui pourraient se voir fermer les frontières.

« J’ai peur de revenir au pays en raison de mes croyances personnelles », ajoute la vedette qui vit maintenant en Angleterre.

En effet, la vedette démontre de plus en plus d’intérêt pour l’Islam, une religion qui ne semble pas dans les bonnes grâces du président Trump.

À ce propos, la vedette de Mean Girls qualifie de « magnifique » l’Islam et songe a s’y convertir depuis qu’elle étudie le Coran.

La prise de position de Lindsay Lohan envers Donald Trump étonne, étant donné qu’en janvier dernier, elle rencontrait le président turc Tayyip Erdogan afin de discuter de la situation des réfugiés syriens dans son pays.

Ces mêmes réfugiés qui ne sont plus les bienvenus aux États-Unis, depuis l’entrée à la Maison-Blanche de Donald Trump.

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Alec Baldwin n’aime pas incarner Donald Trump

Sa première imitation sur le plateau de Saturday Night Live avait fait fureur. À tel point que le Donald Trump d’Alec Baldwin est devenu un personnage récurrent chez SNL. 

Si au début, cette imitation était plutôt drôle à jouer, il semble qu’Alec Baldwin commence à s’en lasser un peu. Principalement à cause des caractéristiques de la peau personnage dans lequel doit se glisser l’acteur.

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 « J’adore faire partie de tout ça. Mais le jouer n’est pas vraiment une partie de plaisir. C’est un homme tendu, il est en colère, il est énervé et ce n’est pas drôle à jouer », a affirmé Baldwin à Extra, en ajoutant qu’« il ne fait que revenir sur sa victoire. »

Du côté de la Maison-Blanche, le discours est un peu différent.

Sean Spicer, le porte-parole de Donald Trump aurait décrit ces imitations comme « méchantes » et ne verrait pas d’un très bon oeil ces pastiches récurrents, tout comme son patron qui passe son temps à critiquer l’émission sur Twitter.

« Qu’est-il censé dire? Tous ces gens travaillent pour Trump et ils vont dire ce qu’ils doivent dire pour s’entendre et faire partie de la bande », estime Baldwin concernant Spicer. 

Demain, 11 février, Alec Baldwin animera par ailleurs pour la 17e fois SNL. 

Diffusée sur NBC, l’émission promet d’être une fois encore forte en sarcasmes envers le controversé 45e président des États-Unis.

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Crédits photo : BANG/BIG