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Donald Trump : « Meryl Streep est une actrice surévaluée »

Après que Meryl Streep ait consacré son message de remerciements à une attaque en règle contre Donald Trump lors de la réception de son prix Cecil B. DeMille lors des Golden Globes 2017, une réponse du nouveau président-élu était à prévoir.

C’est ce matin (9 janvier) que celle-ci est venue, d’abord par l’entremise d’une brève entrevue accordée au New York Times.

« Je n’ai pas regardé l’émission, mais je ne suis pas surpris d’avoir été attaqué par ces personnes libérales du cinéma. Meryl Streep a présenté Hillary Clinton lors de la convention, beaucoup de ces gens ont supporté Hillary », explique d’abord Trump.

Puis, le richissime New-Yorkais et nouveau président des États-Unis s’est tourné vers son compte Twitter pour poursuivre son argumentation.

« Meryl Streep est l’une des actrices les plus surévaluées d’Hollywood. Elle ne me connaît pas, mais elle m’a attaqué hier aux Golden Globes. C’est une groupie d’Hillary qui a perdu gros », écrit notamment The Donald.

D’autres célébrités s’en sont prises à Donald Trump hier, mais bien peu avec un contenu politique véritable ou encore une contrepartie intéressante.

Les bonzes hollywoodiens devront s’y faire : Donald Trump est leur président.

Cela dit, on ne peut se ranger dans le camp de Trump lorsqu’il est question de ses opinions cinématographiques.

Meryl Streep peut en effet difficilement être catégorisée « d’actrice surévaluée », s’avérant possiblement l’une des meilleures de l’histoire d’Hollywood.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Donald Trump : « Meryl Streep est une actrice surévaluée »

Après que Meryl Streep ait consacré son message de remerciements à une attaque en règle contre Donald Trump lors de la réception de son prix Cecil B. DeMille lors des Golden Globes 2017, une réponse du nouveau président-élu était à prévoir.

C’est ce matin (9 janvier) que celle-ci est venue, d’abord par l’entremise d’une brève entrevue accordée au New York Times.

« Je n’ai pas regardé l’émission, mais je ne suis pas surpris d’avoir été attaqué par ces personnes libérales du cinéma. Meryl Streep a présenté Hillary Clinton lors de la convention, beaucoup de ces gens ont supporté Hillary », explique d’abord Trump.

Puis, le richissime New-Yorkais et nouveau président des États-Unis s’est tourné vers son compte Twitter pour poursuivre son argumentation.

« Meryl Streep est l’une des actrices les plus surévaluées d’Hollywood. Elle ne me connaît pas, mais elle m’a attaqué hier aux Golden Globes. C’est une groupie d’Hillary qui a perdu gros », écrit notamment The Donald.

D’autres célébrités s’en sont prises à Donald Trump hier, mais bien peu avec un contenu politique véritable ou encore une contrepartie intéressante.

Les bonzes hollywoodiens devront s’y faire : Donald Trump est leur président.

Cela dit, on ne peut se ranger dans le camp de Trump lorsqu’il est question de ses opinions cinématographiques.

Meryl Streep peut en effet difficilement être catégorisée « d’actrice surévaluée », s’avérant possiblement l’une des meilleures de l’histoire d’Hollywood.

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Donald Trump attaque Arnold Schwarzenegger

Il semblerait que Donald Trump n’accepte pas très bien le fait qu’Arnold Schwarzenegger ait repris les commandes de son émission, The New Celebrity Apprentice.

Après la diffusion lundi soir (2 janvier) du premier épisode de la nouvelle saison de l’émission que Schwarzenegger animait pour la première fois, le nouveau président des États-Unis n’a pas hésité à faire preuve d’une amertume non dissimulée publiquement sur Twitter. 

« Wow, les chiffres sont tombés et Arnold Schwarzenegger a été détruit en comparaison de la machine à audimat », s’est exprimé Donald Trump, signant de ses initiales DJT, en guise de sceau de sa propre parole.

Il faut dire que les chiffres enregistrés par Schwarzenegger étaient en dessous de ceux enregistrés auparavant par Trump, avec seulement 4,9 millions de téléspectateurs contre 6,5 millions pour la première de la saison de Trump il y a deux ans.

« Tant pis pour la star du cinéma, et ce n’était que la saison 1 comparée à la saison 14. Maintenant, comparez-le à ma saison 1. Mais on s’en fiche il a soutenu Kasich et Clinton », a-t-il poursuivi, toujours sur Twitter.

À seulement quelques jours de son investiture, le 20 janvier prochain, cette guerre virtuelle sans merci et extrêmement virulente semble démontrer une fois encore que le nouveau président des États-Unis, Donald Trump, ne mâche définitivement pas ses mots.

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Un mur pour Barack Obama

Après l’élection de Donald Trump en novembre dernier, il va bientôt falloir se rendre à l’évidence : Barack Obama et sa famille vont devoir quitter, le coeur lourd, la Maison-Blanche. 

Pour préparer au mieux sa nouvelle demeure loin de l’agitation présidentielle, Barack Obama semble avoir suivi les bons conseils de Donald Trump… et il fait construire un mur tout autour de la propriété.

La nouvelle maison Obama, située à Washington D.C., avait besoin d’un petit coup de fouet pour pouvoir accueillir le futur ancien président des États-Unis.
Selon des mesures de sécurité accrues, la propriété se devait d’être réhabilitée pour être plus sécuritaire et assurer au mieux la sécurité de l’ancienne famille présidentielle, comme le révèle TMZ.

La construction avance plutôt bien et, très vite, Barack et Michelle Obama ainsi que leurs enfants pourront poursuivre paisiblement leurs vies.
À quelques détails près. Ils devront composer avec leur nouvelle voisine qui, visiblement, ne serait autre qu’Ivanka Trump, la fille de Donald Trump.

Par ailleurs, même s’il surveille attentivement la construction de ce précieux mur, Barack Obama concentre probablement son énergie sur l’énorme fête d’adieu qu’il organise ce soir (6 janvier).

Si Donald Trump peine à trouver des artistes pour sa cérémonie d’investiture, il semblerait que Barack Obama, lui, croule sous les invitations.
C’est entouré d’une armada des plus grosses pointures de l’industrie américaine, Beyoncé et Jay Z, Oprah Winfrey, Bradley Cooper et Stevie Wonder, entre autres, qu’Obama fêtera dignement ses derniers jours à la présidence.

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Le « Big Apple Ball » de Donald Trump

TMZ rapporte que Donald Trump ne souhaite pas se contenter d’une seule soirée d’inauguration et de festivités en marge de son entrée en poste dans le bureau ovale.

En fait, M. Trump aurait décidé de tenir plusieurs soirées thématiques pour marquer le coup, dont un bal inaugural ayant pour thème la ville de New York, le « Big Apple Ball ».

Tous les éléments classiques de « sa » ville s’y retrouveront, et plusieurs personnalités influentes de la ville pourraient s’y présenter.

Par ailleurs, toujours selon TMZ, Donald Trump a toujours bel et bien l’intention d’être très présent à New York durant son mandat.

« Il peut quitter le bureau ovale, conduire au National Airport, voler jusqu’à LaGuardia, conduire jusqu’à Trump Tower et prendre l’ascenseur jusque chez lui », aurait indiqué une source.

Donald Trump sera assermenté comme 45e président des États-Unis d’Amérique le 20 janvier prochain.

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Rebecca Ferguson chantera pour Trump, mais…

Rebecca Ferguson avoue candidement qu’on lui a demandé pour chanter le 20 janvier prochain, lors de l’inauguration de Donald Trump à la présidence des États-Unis.

L’une des seules artistes à signifier qu’un éventuel « oui » serait possible, Rebecca Ferguson propose cependant une condition au président-élu et à son équipe.

« On m’a demandé, et voici ma réponse. Si vous me permettez de chanter Strange Fruit, une chanson qui a une grande importance historique, une chanson qui a été placée sur une liste noire aux États-Unis, parce que trop controversée. Une chanson qui parle à tous les noirs ayant subi de la discrimination aux États-Unis », explique Ferguson sur Twitter.

Celle que le public a découverte grâce à X Factor en 2010 serait donc l’une des premières artistes de réputation internationale à accepter de faire le saut dans le camp de Donald Trump publiquement, si l’entente se concrétise.

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Kanye West explique sa visite chez Trump

Fraîchement sorti de l’hôpital où il avait été placé en observation psychiatrique, et refusant visiblement toujours de se reposer, Kanye West s’est présenté hier (13 décembre) à la Trump Tower pour y rencontrer Donald Trump, à la stupéfaction générale.

Rencontre intrigante au beau milieu d’une série de discussions politiques, celle accordée à Kanye West a fait le tour du monde et soulevé plusieurs interrogations. À ce moment, Donald Trump avait déclaré que les deux hommes avaient simplement parlé « de la vie ».

De retour chez lui, Kanye West a décidé d’expliquer davantage sa présence à la Trump Tower, prenant le plancher de Twitter pour la première fois depuis octobre dernier, rapporte BANG Media International.

« Je voulais rencontrer Trump pour parler de problèmes multiculturels. Ces problèmes incluent l’intimidation, le support des professeurs, moderniser les curriculums, et la violence à Chicago. Je pense que c’est important d’avoir une ligne directe de communication avec le futur président si on veut du vrai changement », écrit West, accompagné d’un #2024 qui semble laisser présager que le rappeur songe à se présenter lui-même à la présidence dans deux mandats.

Pendant ce temps, plusieurs rumeurs laissent présager une séparation entre « Yeezus » et sa femme, Kim Kardashian. Cette dernière aurait déclaré à plusieurs de ses proches qu’elle était « agacée » par le refus de son mari de se concentrer sur sa santé mentale, ainsi que par plusieurs de ses récents comportements.

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Tina Fey : « la misogynie est de retour »

Selon Tina Fey, les progrès effectués par les femmes au cours des dernières années sont en ralentissement, voire en arrêt complet, depuis un bon moment.

Selon la superstar de SNL et 30 Rock, nous assistons au « moment retour de la misogynie », ce qui ne serait pas étranger à la victoire de Donald Trump sur Hillary Clinton lors des dernières élections présidentielles américaines.

« On dirait que nous étions sur le bord que les choses deviennent pas mal bonnes, mais on est maintenant dans une espèce de retour de la misogynie. Je suis définitivement sortie du mois dernier en ressentant qu’elle est plus réelle qu’il y a deux ans. La chose qui m’inquiète plus que les interactions humaines est Internet. C’est juste horrible : les gens peuvent maintenant être méchants l’un envers l’autre sans avoir à être dans la même pièce. C’est en métastases maintenant, grâce à notre glorieux président-élu qui ne peut même pas afficher la dignité d’un élève de septième année », lance Tina Fey en entrevue avec The Hollywood Reporter, magazine dont elle orne la une ce mois-ci.

Tina Fey a effectué un retour sur les plateaux de Saturday Night Live récemment et en marge de la récente élection, afin de reprendre son iconique interprétation de Sarah Palin.

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Elton John « ne jouera pas » pour Trump

Anthony Scaramucci, le conseiller de Donald Trump, l’a annoncé plein d’aplomb lors d’une entrevue à BBC HARDTalk : « Donald Trump sera le premier président de l’histoire des États-Unis à entrer à la Maison-Blanche avec un militant des droits des homosexuels à ses côtés ». 

Scaramucci expliquait alors qu’Elton John « donnera un concert » lors de la cérémonie d’investiture du nouveau président des États-Unis. 

Mais ce n’est en aucun cas ce qui arrivera en janvier prochain. 

C’est en tous les cas ce qu’a annoncé un représentant d’Elton John à Rolling Stone, affirmant que : « les informations qui annoncent qu’Elton John chantera pour l’investiture de Donald Trump sont fausses », ajoutant un « il ne jouera pas » bien senti.

De toute façon, comment Elton John pourrait-il bien jouer en direct pour la cérémonie d’investiture alors que l’on sait qu’il avait refusé que Donald Trump utilise ses chansons comme hymnes de campagne ? 

À The Guardian, Elton John a assuré être « à des années lumières d’un républicain » et que Donald Turmp devrait plutôt demander à « ce p**** de Ted Nugent » ou à l’une de ces  « p**** d’étoiles du pays » qui elles, le feraient sans hésiter.

Un discours qui en dit long sur la position d’Elton John face au président-élu.

En février dernier sortait le 32e album d’Elton John appelé Wonderful Crazy Night. Dernièrement, il a fait une apparition sur le dernier album de A Tribe Call Quest.

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Gigi Hadid imite Trump

Présenter une grande cérémonie requiert forcément un lot de blagues et d’animation. Aussi, quand Gigi Hadid est maîtresse de cérémonie des American Music Awards, elle donne tout.

Hier soir (20 novembre), sur la scène des AMA, Gigi Hadid et l’humoriste Jay Pharoah se sont adonnés à une imitation pour le moins osée du nouveau président des États-Unis, Donald Trump, et de sa femme Melania.

« J’aime mon mari, le Président Barack Obama. Et nos filles, Sasha et Malia », a plaisanté Gigi Hadid, duck face et accent slovène prononcé pour une imitation grossière de la nouvelle première dame.

Plus tard, c’est au tour de Jay Pharoah de s’adonner à son art et d’imiter le républicain Trump.

« J’adore Bruno Mars. Je ne sais pas vraiment de quelle couleur il est donc je ne peux pas le déporter. Il ressemble à Mowgli de The Jungle Book. J’adore Uptown Funk, c’est totalement à propos de moi et s’appelait à la base Uptown Trump», lance-t-il.

L’occasion également pour le duo comique d’un soir de mentionner le vent de régression qui souffle actuellement sur les États-Unis :

« Green Day joue ce soir, un blanc a été élu président. C’est de nouveau les années ’90 ! »

Après le mannequinat, Gigi Hadid pourrait tout aussi bien se reconvertir dans l’humour, cette fois-ci.

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