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Les foulards de la fille de Trump peuvent s’enflammer

La fille de Donald Trump Ivanka, qui fait campagne auprès de son père dans le but de le voir élu à la tête du Parti républicain, et ultimement comme président des États-Unis, a subi un dur coup commercial au cours des dernières heures.

La jolie Trump, qui possède des lignes de vêtements, a vu l’Office de protection du consommateur américain rappeler 20 000 foulards qu’elle avait commercialisés parce qu’ils ne satisfaisaient pas les critères d’anti-inflammabilité, rapporte le New York Times.

Fait ironique dans l’histoire : les foulards sont fabriqués en Chine, alors que Trump affirme vouloir lutter contre le fait que des produits américains soient produits à l’étranger.

«Nous sommes rassurés que le rappel des foulards se soit fait rapidement», a laissé entendre Ivanka Trump, par voie de communiqué.

Deux lignes de foulards sont visées par le rappel, des écharpes qui sont majoritairement vendues en ligne, mais aussi dans quelques grandes adresses de New York.

Ivanka Trump jouit d’une visibilité certaine, elle qui en plus de profiter de l’aura de son père, compte plus de 1,25 million de fans sur Facebook.

La jeune femme vient de donner naissance à son troisième enfant.

Photo : Facebook

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Gene Simmons aime le franc-parler de Trump

Donald Trump ne fait absolument pas l’unanimité, surtout au sein de la colonie artistique américaine, mais certaines voix s’élèvent tout de même pour lui rendre ce qui lui revient.

Ainsi, selon Gene Simmons du groupe Kiss, Trump est le politicien le plus vrai qu’il a vu sur scène.

«Il est l’animal politique le plus naturel que je n’ai jamais vu. Il n’a pas de gens pour écrire ses discours, il ne se censure pas, rien. S’il dit des gros mots, tu ne peux pas les annuler», a expliqué la rock star, qui fêtera ses 67 ans au cours de l’été.

Sans endosser le candidat à l’investiture républicaine explicitement, Simmons affirme que «tout le monde en a marre du politically correct».

Pour ce qui est de bâtir un mur entre les États-Unis et le Mexique, Simmons affirme que plusieurs exemples ont démontré leur efficacité au cours de l’histoire, même s’ils ne font pas l’affaire de certains.

«Le Pape a dit qu’il était contre le mur, mais il est intéressant de voir qu’il y a un mur au Vatican. Ils ne veulent pas de gens de l’extérieur qui entrent au Vatican», a-t-il imagé.

Photo : BIG

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Susan Sarandon n’aime pas Clinton et Trump

L’actrice Susan Sarandon, qui s’affiche publiquement à gauche depuis des années, affirme qu’elle aurait probablement de la difficulté à voter pour Hillary Clinton si cette dernière était élue à la tête du Parti démocrate, en vue des présidentielles de l’automne aux États-Unis.

«Qu’est-ce qui permet de penser qu’une fois qu’elle sera en place, elle va soudain aller contre les gens qui lui ont donné des millions et des millions de dollars? Je pense que c’est incroyablement naïf», a-t-elle dit de Clinton, lors d’une entrevue à MSNBC lundi soir (28 mars).

Sarandon est une partisane ouvertement affichée du candidat Bernie Sanders, qui fait face à Hillary Clinton dans la course à la chefferie démocrate actuellement.

Pas Trump

Par ailleurs, Sarandon se défend d’avoir dit qu’elle voterait pour Donald Trump si ce dernier affrontait Clinton à l’automne.

«Ce n’est pas ce que j’ai dit. Écoutez l’entrevue au complet, pas seulement les faits saillants», a-t-elle répliqué à quelques internautes qui l’attaquaient sur des positions présumément pro-Trump.

«Plusieurs croient que Donald Trump amènera la solution à tous les problèmes américains en claquant des doigts. S’il est élu, tout va exploser», a-t-elle imagé, se gardant effectivement de supporter l’homme aux cheveux jaunes.

Photo : BIG

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Keith Richards aurait menacé Donald Trump avec un couteau

À la fin des années ’80, le guitariste des Rolling Stones Keith Richards a utilisé un couteau afin de menacer Donald Trump, rapporte Digital Spy.

Le tout s’est déroulé au Trump Plaza d’Atlantic City. Les Stones y jouaient une des dernières dates de leur tournée Steel Wheels, concert qui devait être diffusé sur MTV.

Au moment de donner une entrevue à MTV, les Stones ont eu la surprise de voir Donald Trump partager la salle avec eux, lui qui allait donner un point de presse quelques minutes plus tard. Toutefois, les Stones avaient bien spécifié ne pas vouloir faire affaire avec Donald Trump, ni même le voir dans leur entourage pour le spectacle qui allait commencer quelques heures plus tard.

Le gérant de tournée des Stones est donc allé voir Trump et lui a rappelé son engagement à ne pas se trouver près du groupe, sous aucune considération. «Ils ne joueront pas si tu ne quittes pas», avait lancé Michael Cohl à Donald Trump. Le responsable de la tournée se rappelle d’ailleurs que l’ambiance était tranchée ce soir-là.

Sans vouloir faire de mauvais jeu de mots, Keith Richards avait même sorti un couteau et l’avait brandi dans les airs afin de bien faire comprendre à Trump de quitter.

Donald Trump s’était fâché, criant que les Stones ne connaissaient rien, juste avant d’accepter de quitter.

Il semble que plus de 25 ans après les événements, ni Trump ni Richards n’ont jamais osé commenter ce sujet.

Photo : Facebook

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Des émoticônes de Trudeau sur Facebook

 Le réseau social Facebook a lancé la semaine dernière une série d’émoticônes réunies dans ce qu’ils ont appelé des «reaction pack». Il est donc désormais possible d’indiquer si une publication nous fait ressentir l’amour, le rire, la surprise, la tristesse ou la frustration, en plus du célèbre «like» que tous connaissent.

Depuis ce changement de stratégie de la part de Facebook, des programmeurs web se sont mis à l’ouvrage et ont créé des variantes de ces petits visages jaunes que plusieurs ont rapidement apprivoisés.

Ainsi, il est possible d’utiliser six émoticônes de Justin Trudeau, de Donald Trump ou encore des Pokémons, afin de faire connaitre son état d’esprit.

L’émoticône d’amour de Justin Trudeau est certainement le plus explicite d’entre tous, lui qu’on aperçoit dans un moment de tendresse avec sa femme Sophie Grégoire.

En fait, le «reaction pack» de Trudeau, créé par Ian Hardy, est passablement réussi, mis à part l’émoticône où on devrait lire la tristesse, qui n’est pas très explicite.

De très nombreux «reaction packs» sont disponibles sur le site de cette extension web.

Photo : reactionpacks.com et Facebook

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Louis CK, SNL et Bill Maher comparent Trump à Hitler

Donald Trump se fait comparer à Hitler par plusieurs personnalités. 

Les humoristes Louis CK et Bill Maher (animateur sur HBO), les comédiens de Saturday Night Live et l’animateur Glenn Beck ont tous comparé directement ou indirectement l’approche de Donald Trump à celle d’Adolf Hitler au cours des dernières semaines. 

Louis CK a notamment demandé aux Américains de « cesser de voter pour lui (Trump)», affirmant que c’était « drôle cinq minutes, mais que ce type c’est Hitler».

Ces personnalités du divertissement viennent maintenant d’être appuyées dans leurs propos par un politicien bien établi.

Lundi (7 mars), le président mexicain Enrique Pena Nieto a en effet qualifié d’hitlérienne la façon voir les choses de Trump, rapporte l’Agence France Presse.

«Il y a eu des épisodes dans l’histoire de l’humanité où ces expressions, cette rhétorique stridente, n’ont fait qu’aboutir à des scénarios fatidiques. De cette façon, Mussolini et Hitler sont arrivés au pouvoir : en profitant d’un contexte, d’une situation compliquée que connaissait alors l’humanité…», a analysé le président mexicain, visiblement très inquiet des menaces de Trump, à savoir qu’il désirait fermer les frontières américaines s’il est élu à l’automne.

Malgré les reproches adressés à Trump et sa campagne, le président mexicain a affirmé vouloir établir un dialogue constructif entre les deux pays voisins.

Photo : BIG

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Trump croit que Rubio a fait référence à son pénis

Le candidat à l’investiture républicaine Donald Trump a continué de jouer la carte du milliardaire plus ou moins sympathique jeudi soir (3 mars), avec un soupçon de vulgarité bien sentie.

Lors d’un débat tenu en compagnie de ses trois adversaires pour la direction du parti républicain, Trump a répondu à une attaque de Marco Rubio, attaque qu’il avait analysée comme étant une tentative de ridiculiser la taille de son pénis.

«Il a attaqué mes mains. Regardez ces mains. Ce sont de petites mains ? Il a parlé de mes mains en sous-entendant que si elles étaient petites, autre chose devait être petit. Je vous garantis que je n’ai aucun problème de la sorte», a assuré Trump, en début de discours.

La référence phallique évidente a vivement fait réagir sur les réseaux sociaux.

«Je plains celui qui doit vérifier les faits de la campagne de Donald Trump», a notamment écrit plusieurs internautes, référant à la fonction de «fact checker».

Plusieurs ont aussi dénoncé le niveau de la conversation pour un débat politique visant à déterminer le candidat des présidentielles de l’automne.

Photo : BIG

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Miley Cyrus veut déménager si Trump devient président

La chanteuse Miley Cyrus n’est pas tendre à l’endroit du candidat républicain Donald Trump, qui semble en voie de devenir le candidat officiel du parti, en vue des élections présidentielles américaines de l’automne.

Sur son compte Instagram, suivi par près de 40 millions de personnes, Cyrus a affirmé mardi (1er mars) que «Donald Trump est un putain de cauchemar».

Mercredi, la chanteuse en a rajouté, publiant un diagramme affichant le nombre de délégués élus jusqu’à maintenant pour chacun des candidats du Parti républicain. Sous la photo, elle a tout simplement lancé un «je vais vomir et déménager de ce pays» bien senti.

Cyrus est l’une des artistes ayant publiquement manifesté un désaccord profond avec les politiques de Donald Trump.

Jane Fonda, Danny Glover, Harry Belafonte, Rosie O’Donnell et Michael Moore font tous partie du mouvement Stop Hate, Dump Trump, tout comme des milliers d’Américains.

Photo : BIG

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Le Pape affronte Donald Trump

La campagne électorale de Donald Trump a subi un sursaut inattendu jeudi (18 février) lorsque le Pape François s’est mêlé de politique américaine. Le leader de l’Église catholique a lancé une bombe en direction de Trump, affirmant que celui-ci n’était «pas chrétien» en raison de sa fermeture face aux immigrants.

«Une personne qui veut construire des murs et non des ponts n’est pas chrétienne. Ce n’est pas dans l’Évangile. Voter, ne pas voter, je ne m’immisce pas. Mais je dis seulement : ce n’est pas chrétien», a lancé le souverain pontife.

Donald Trump, qui a annoncé vouloir construire un mur pour remplacer le grillage actuel entre le Mexique et les États-Unis s’il est élu, a vivement réagi.

«Qu’un leader religieux mette en doute la foi d’une personne est honteux», a-t-il lancé sans retenue.

La semaine dernière, Trump avait déclaré que le Pape François était un pape très politique.

«Je pense qu’il ne comprend pas les problèmes de notre pays. Je ne suis pas sûr qu’il mesure le danger que représente (pour nous) cette frontière ouverte avec le Mexique», a expliqué le candidat républicain, ses propos ayant été rapportés par l’Agence France-Presse.

Donald Trump s’est quelques fois inscrit en faux par rapport au Pape François depuis l’annonce de sa candidature aux élections américaines.

Photo : Facebook

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Michael Bloomberg, président ?

L’ancien maire de New York Michael Bloomberg n’accepte pas que la présente campagne présidentielle, qui n’en est qu’à ses débuts, soit d’aussi bas niveau. Bloomberg déteste à ce point les discours des candidats actuels qu’il songerait à se présenter comme indépendant.

«Je trouve que le niveau des discours et des discussions est incroyablement banal. C’est une insulte aux électeurs, qui méritent beaucoup mieux», a-t-il déclaré à The Financial Times lundi (8 février).

Selon Bloomberg, il faudrait soumettre sa candidature en mars afin de se trouver légitimement dans la course.

Toutefois, un sondage du New York Times n’accorde pas beaucoup de chances à Bloomberg si jamais celui-ci décidait de se lancer. Seulement 17% des démocrates et 9% des républicains auraient aujourd’hui une image positive de l’ancien leader de New York.

Plus de la moitié des républicains et 26% des démocrates auraient même une opinion négative de lui.

Michael Bloomberg a été maire de New York de janvier 2002 à décembre 2013. Il est aujourd’hui âgé de 73 ans.

Photo : Facebook