Catégories
Uncategorized

Le rat-taupe nu continue d’émerveiller la communauté scientifique

On rapportait récemment une étude fascinante effectuée sur le compte du rat-taupe nu et de son incroyable invulnérabilité au cancer, une recherche qui avait fait le tour du monde.

Voilà que le dossier se poursuit, explique Top Santé, alors qu’une nouvelle étude se penche maintenant sur la longévité stupéfiante de l’animal, qui peut vivre jusqu’à 35 ans!

Incroyable, si l’on considère que les animaux de la même famille vivent en moyenne deux petites années…

Une équipe de chercheurs menée par le professeur en biologie Andrei Seluanov a donc effectué des recherches plus poussées sur le rat-taupe nu, pour découvrir un système cellulaire et de création de protéines qui frisent la perfection.

« C’est important, car des protéines sans altération permettent au corps de fonctionner plus efficacement… Bien qu’il s’agisse de recherches fondamentales, nous espérons que notre découverte encouragera d’autres travaux sur des moyens d’améliorer la synthèse des protéines », explique Seluanov, visiblement enthousiaste. 

En clair, les recherches sur le rongeur africain pourraient un jour permettre de contrer certains effets retour du vieillissement, prévenir certaines maladies et peut-être protéger du cancer, comme on le mentionnait dans cette précédente étude publiée dans le magazine Nature récemment.

Catégories
Uncategorized

Des chercheurs espagnols en nutrition découvrent des données troublantes

Des chercheurs de l’Université de Grenade publient une série de conclusions découlant de constats alarmants qu’ils ont eux-mêmes faits lors d’une série de tests sur des produits retrouvés massivement sur les rayons, rapporte Medical News Today.

Les chercheurs, dont le coauteur de l’étude Monsalud del Olmo, ont constaté avec effroi la présence de plusieurs toxines dans les jus de fruits, notamment ceux faits à base de pommes.

Mycotoxines, patuline, fongus sont tous des termes repris par les chercheurs, en traduction libre. Des niveaux alarmants de mycotoxines auraient aussi été détectés dans le riz ainsi que dans la bière!

Les chercheurs de l’Université de Grenade ont pu faire ces découvertes grâce à l’élaboration de nouvelles techniques bien plus efficaces qu’auparavant, ce qui semble indiquer que plusieurs multinationales tablaient sur l’incapacité des autorités à détecter leurs manigances. Cela pourrait aussi indiquer qu’il ne s’agit que de la pointe de l’iceberg…

« Les résultats démontrent que plus de 50 % des échantillons dépassaient la limite de ces ingrédients permise par la loi », lance del Olmo.

Les conclusions de ce dernier ont ensuite été confirmées par des résultats similaires obtenus sur des produits, notamment sur de la bière, en provenance d’Allemagne, de Belgique, d’Italie et de Pologne, pour ne nommer que ces pays.

D’autres études sont attendues pour valider ou invalider ces allégations.

Catégories
Uncategorized

Manger sans grossir grâce aux noix

Les noix profitent d’une belle presse ces temps-ci, alors que plusieurs études sur le sujet sortent les unes à la suite des autres, confirmant l’impact positif de ces aliments sur la santé.

En plus d’apporter son lot d’éléments nutritifs intéressants pour la santé, les noix sont aussi un excellent moyen de manger sans prendre trop de poids.

C’est d’ailleurs précisément sur cet état de fait que s’attarde cette nouvelle super-étude rapportée par The National Library of Medicine, qui analyse les données publiées dans plusieurs autres recherches précédentes.

Les chercheurs américains, en provenance du New Jersey, concluent donc que les noix ne sont pas un facteur de prise de poids, comme le suggèrent certains spécialistes et nutritionnistes.

« La majorité des études sur les noix ne démontrent pas une prise de poids significative chez les patients, en contraste à ce que plusieurs pensent. Nos conclusions supportent l’ajout de noix dans un régime alimentaire sain, ainsi qu’en prévention des maladies cardiovasculaires », résume l’équipe de chercheurs.

Troquer le sac de croustilles pour une boîte de noix (plusieurs variétés sont offertes) s’avère donc une décision que vous ne pouvez tout simplement pas regretter!

Catégories
Uncategorized

Des chercheurs parviennent à connecter deux cerveaux à l’aide d’une interface

Attention, la nouvelle qui suit risque de vous renverser. On nage ici en pleine science-fiction, comme quoi ceux qui croient que l’avenir est en fait maintenant ont peut-être tout à fait raison.

C’est Santé Log qui rapporte cette nouvelle étonnante expliquant que des chercheurs de l’Université Duke ont réussi à connecter deux cerveaux par le biais d’une interface, permettant ainsi l’échange d’informations cérébrales à distance.

On parle d’un système « d’ordinateurs biologiques » dans la publication des résultats de ces tests futuristes, parus dans l’édition du 28 février du Nature Scientific Reports. On n’a pour l’instant réussi la manœuvre que sur des rats, mais les tests sur ces rongeurs se sont avérés plus que concluants.

Outre ses aspects intéressants en matière de transfert de données, on croit également que cette découverte permettrait à certaines personnes paralysées de retrouver une certaine capacité motrice.

Lors des essais, le premier rongeur se trouvait au Brésil, et le deuxième en Caroline du Nord.

« Nos études précédentes sur les interfaces cerveau-machine nous avaient convaincus que le cerveau du rat est beaucoup plus plastique que nous l’imaginions », lance le professeur Michel Nicolelis, de Duke.

Il reste à voir s’il sera possible de transposer cet incroyable modèle chez l’homme.

Catégories
Uncategorized

Nouvel effort collectif majeur dans la lutte au Parkinson

Après la nouvelle concernant une percée dans la lutte à l’Alzheimer, en voici une autre qui dévoile un effort collectif impressionnant dans celle livrée au Parkinson.

C’est www.nih.gov qui confirme la chose, et pour cause, puisque l’association en est aussi l’instigatrice. Le projet est simple, mais brillant : concevoir un système collectif afin d’accélérer les recherches en matière de biomarqueurs.

Ces derniers permettent de prédire et de diagnostiquer de façon précoce la maladie de Parkinson, notamment.

En améliorant collectivement le processus de recherche et en combinant les efforts de chercheurs d’un peu partout qui auront maintenant accès, entre autres, à une gigantesque base de données, les spécialistes croient que les choses pourraient aller plus vite dans le cas du Parkinson, et que le système permettrait d’importantes percées en matière de biomarqueurs.

En diagnostiquant la maladie plus rapidement, on a de bien meilleures chances de la « contrôler » et, un jour, de la guérir. La découverte de biomarqueurs propres au Parkinson serait une percée majeure vers la mise au point d’un traitement.

« Notre but est d’accélérer le processus de recherche et de progrès en matière de biomarqueurs du Parkinson, en soutenant les chercheurs qui ont déjà de belles pistes et qui font preuve d’innovation dans le domaine. On veut les rassembler, les rapprocher, et rendre leur travail et leurs analyses plus faciles », lance le directeur du NINDS, Story Landis.

Catégories
Uncategorized

Cancers pédiatriques : les chercheurs se rassemblent pour trouver une solution

Le St. Jude Children’s Research Hospital aux États-Unis, en collaboration avec l’Université de Washington, a décidé de partager le génome complet de 260 enfants atteints de cancer avec les chercheurs du monde entier désirant participer à l’avancement de la recherche pour les cancers pédiatriques.
 
« Ce travail va apporter des informations sur ce que sont les tumeurs et les altérations qui les caractérisent. On va pouvoir identifier leur talon d’Achille », se réjouit le Pr Gilles Vassal, directeur de la recherche clinique à l’Institut Gustave-Roussy (IGR, Villejuif), au journal Le Figaro.
 
Ainsi, pour mieux comprendre la provenance et l’agressivité de certains cancers, et aussi dans le but de prescrire un traitement personnalisé et ciblé pour chacun et multiplier les chances de guérison et de survie, ce partage de données à l’échelle internationale tentera de pointer du doigt les causes génétiques des cancers restant inaccessibles et d’identifier le génome propre à chaque enfant malade.
 
Bien que la science et les outils de recherche se soient grandement améliorés au cours des dernières années, les mutations génétiques sont malheureusement à l’infini et compliquent le scénario.
 
« Lorsque les mutations sont rares, le seul moyen de les repérer est de mettre en commun un maximum de données », affirme le professeur.
 
Rappelons que selon le Bulletin épidémiologique hebdomadaire du 28 décembre 2010, les leucémies (29 %), les cancers du cerveau (23 %) et les lymphomes (12 %) sont les cancers pédiatriques les plus répandus.
 
Catégories
Uncategorized

Les parents sous-estiment le poids de leurs enfants

Un rapport de Statistique Canada démontre que les Canadiens sous-estiment le poids et surestiment la taille de leurs enfants.

 

Même pour eux-mêmes, les adultes ont vraiment du mal à évaluer les bonnes données concernant leur poids et leur taille. Le rapport entre la grandeur et la taille permet de déterminer si une personne compte parmi les obèses morbides.

Lorsqu’on demande aux parents d’évaluer le poids et la taille de leurs enfants, les données sont également inexactes. Le poids est erroné de 1,09 kg et la taille de 3,3 cm, en moyenne.

La plupart du temps, les enfants dont on avait sous-estimé le poids étaient en réalité obèses, alors qu’au contraire ceux qu’on avait dit obèses étaient des candidats dont on avait sous-estimé la taille. Il serait donc important de pouvoir bien évaluer les données.

Ainsi, le taux d’obésité que l’on retrouve chez les enfants est erroné, car il est basé sur les données recueillies par les parents.

 

Catégories
Uncategorized

Le poids est sous-estimé et la taille surestimée.

Un rapport de Statistique Canada démontre que les Canadiens sous-estiment leur poids et surestiment leur taille, y compris chez leurs enfants.

Les adultes ont vraiment du mal à évaluer les bonnes données concernant leur poids et leur taille. Le rapport grandeur et taille permet de déterminer si une personne compte parmi les obèses morbides.

Lorsque l’on demande aussi aux parents d’évaluer le poids et la taille de leurs enfants, les données sont également inexactes. Le poids est erroné de 1,09 kg et la taille de 3,3 cm en moyenne.

La plupart du temps, les enfants dont on avait sous-estimé le poids étaient en réalité obèses, alors qu’au contraire, ceux qu’on avait dit être obèses, étaient des candidats dont on avait sous-estimé la taille. Il serait donc important de pouvoir bien évaluer les données.

Ainsi, le taux d’obésité que l’on retrouve chez les enfants est erroné car il est basé sur les données recueillies auprès des parents.